Dansla boîte à outils. Voici une petite chanson de Corinne Albaut, une chanson par accumulation avec des gestes et des onomatopées. Interprétée dans la vidéo ci-dessous par Isabelle van Bastelaer, une logopède ( orthophoniste) belge : Dans la boîte à outils de papa il y a (x2) – un marteau qui fait comme ça tap tap tap tap tap
opale comptine d'un autre été opale comptine d'un autre été ● 1959 TW alcool, adolescence, sexualitéRoyaume-Unis, été 1938. Demeure de vacances délaissée pour le weekend, Pernelle s’en est allée en promenade de santé chez les Amaru, tandis qu’Emeraude et Opale ont rejoint leurs amies respectives - des nées-moldues, lui a-t-on dit. Pour la première fois depuis bien longtemps, Nicolas est seul. Pas question de repos à cette heure, l’alchimiste profite de la solitude pour s’affairer à une transmutation nouvelle et périlleuse. Au milieu de son laboratoire de fortune, fioles et tubes à essai virevoltent, causant un fracas ainsi que plusieurs explosions. Un odeur de soufre et de mercure le pousse à ouvrir une fenêtre. Dès lors, le chercheur retire sa veste et déboutonne les deux premiers boutons d’une chemise revêtue grossièrement. Une énième détonation lui intime un sursaut, tant et si bien qu’il décide de laisser de côté le dernier rapport sur les travaux de Stephanos d’Alexandrie pour s’offrir une pause méritée. Flamel se rend à la cave et en sort une bouteille de spiritueux, un vieil armagnac. Approchant du tourne-disque, il tourne le poignet et un son moderne s'échappe du phonographe. In the mood, ou ce que les moldus appellent du swing. Secouant la tête, un rire quitte les lippes du sorcier qui s’affale, satisfait, dans un divan en cuir. Débouchonnant le brandy à coup de baguette, il humecte ses arômes avant de s’en servir un verre généreux. Puis deux. Puis trois. Glenn Miller poursuit ses cuivres clairs et l’homme n’est déjà plus tout à fait lucide. L’esprit léger, Nicolas se surprend à faire une danse au milieu du salon lorsqu’il entend la porte d'entrée s’ouvrir et se refermer. Le claquement inopiné, il tourne la tête et aperçoit soudainement la silhouette de sa fille aînée. “Opale ?” s’enquiert-il. Il pose son verre sur une table basse avant de baisser le son du tourne-disque à la hâte. Se redressant, il finit par la rejoindre, visiblement gêné. Ce n’est pas tous les jours que Nicolas Flamel se prend une cuite seul et en musique. Se raclant la gorge, il l’aide à défaire son manteau et baisse immédiatement le regard sur son accoutrement. N’est-ce pas le même que celui qu’elle portait il y a deux jours ? Secoué d’un frisson, il invite l’adolescente à s’asseoir. “Excuse mon état, je ne t’attendais pas avant demain. L’odeur de soufre est-elle partie ?” Plongeant ses billes d’argent dans les siennes, il se racle la gorge comme il le fait lorsqu’il s'apprête à poser une question délicate. Les collants déchirés, Opale n’a pas l’air d'être restée chez son amie comme elle l’a promis. “Opale Iseult Flamel.” Nerveux, il pose un doigt sur ses lèvres, elles-mêmes quittées par un soupir lourd de signification. “Tu ne reviens pas de chez ton amie, n’est-ce pas ?” Voilà l’hexa-centenaire face à une conversation de père à fille encore jamais entreprise. Tandis que Pernelle aurait aisément géré la situation, lui cherche ses mots, confus. “Ta mère t’a-t-elle déjà parlé de… Mmh...” Il se baisse et reprend une gorgée d’armagnac avant de poursuivre “D’intimité ?” Re opale comptine d'un autre été ● 1058 TW alcool, adolescence, sexualitéDiplôme en poche, la sorcière de dix-sept ans passe les vacances avec ses parents et sa sœur dans le sud d’Angleterre. Après une année mouvementée et une autre à l’horizon, le choix de quitter la France n’est pas anodin, l’occasion de souffler entre deux tornades. Opale, elle, se serait bien contentée de retrouver ses amis moldus comme elle le fait habituellement, mais les temps en famille sont toujours emplis de félicité. Sa crainte est d’entendre les récits éducatifs de son père là où elle aspire davantage à la légèreté de la vie. Les grasses matinées, les après-midi à faire tout et n’importe quoi mais certainement pas s’affliger une énième leçon sur l’alliage des métaux. Comme un coup de pouce du sort, c’est un Nicolas Flamel dandinant au milieu du salon qu’elle retrouve après avoir fermé la porte avec précaution, afin de le prendre en flagrant délit. Pernelle et Emeraude, quant à elles, sont sorties plus tôt dans la matinée, du moins c’est ce qui était prévu puisqu’Opale entre d’une escapade de pratiquement quarante-huit heures. La fatigue amenuise ses perceptions puisque son paternel l’interpelle elle n’a pas été aussi douce avec la porte qu’elle pensait. Elle ne répond pas, s’immobilise telle une statue et qu’importe la posture désagréable le dos plié pour défaire un lacet résistant dans l’espoir qu’il retourne gentiment à ses occupations pendant qu’elle irait se changer et prétendre qu’elle revient d’une soirée pyjama allongée en deux jours. Tel était son plan d’origine retrouver une amie moldue qu’elle n’a pas revue depuis plusieurs années. Le destin en a voulu autrement quand Moïra, une correspondante anglaise, lui a fait parvenir un hiboux lui indiquant sa présence dans le coin. Alors si Opale a bien passé une soirée avec son amie moldu, c’est principalement à la nuit dernière que l’on doit le sourire resplendissant quand son père la rejoint. Pas le temps de filer dans sa chambre, de ressortir par la porte d’entrée sans que son comportement ne paraît d’autant plus questionnable. Alors elle choisit un air nonchalant, encore une fois difficile à garder au regard de ses collants déchirés de toutes parts, de ses chaussures inondées de sable. Quoique prise en flagrant délit, Opale espère qu’il ne remarquera pas le rictus qu’elle s’épuise à retenir. “Excuse mon état, je ne t’attendais pas avant demain. L’odeur de soufre est-elle partie ?” La proximité de son père la surprend, aussi se redresse-t-elle à l’instar d’un balai brut pour mieux s’asseoir à ses côtés comme il lui invite. Elle hoche la tête et ajoute “Ne t’en fais pas, tu as bien le droit de décompresser un peu” Elle l’excuse de son état, espère ainsi inverser la situation. Parce qu’elle a beaucoup à se faire pardonner, elle aussi. Elle a enfreint plusieurs interdits dont le premier d'un adolescent. Elle a atteint l’extase de l'étreinte pour la première fois de son existence et il n’y a que cela dans ses pensées. Elle a menti, Opale, et elle déteste cela. Déteste se retrouver en telle posture, mais qu’aurait-elle dû faire ? “Et puis c’est sympa le swing, mais il faudrait changer de registre un peu !” taquine-t-elle, en dissimulant ses chaussures sous le banc. Elle profite de la distraction pour ôter son collant déchiré et rejoue le moment d’impatience entre les deux jeunes femmes réduit en miette par l’entrain de Moïra qui s’attaqua à son collant pour mieux caresser le creux de ses cuisses. Opale en rougirait presque. “Opale Iseult Flamel.” qu’elle entend son paternel tel un robot. A la différence près que son ton ne laisse d’espace à aucune interrogation sur ses pensées. “Tu ne reviens pas de chez ton amie, n’est-ce pas ?” Il a compris que sa fille ne s’est pas montrée tout à fait honnête quant à son programme. Mais pourquoi perçoit-elle de la nervosité au lieu de la colère ? Opale met en boule son collant et le fait passer de sa main gauche à sa main droite pour supporter la tournure étrange de ces retrouvailles. “C’est à dire que… d’un point de vue sémantique, je reviens bien de chez mon amie. ” Moïra est son amie. Une amie proche. Très proche. “J’ai bien rejoint Estelle, nous avons dinés avec ses parents avant hier. Seulement hier, dans la journée, une correspondante m’a informée être dans le coin alors je l’ai rejoint. Mais promis j’étais en sécurité, ses parents étaient présents.” Elle s’arrête un instant avant d’ajouter, pour l’amadouer “Par ailleurs, ils m’ont demandée de te saluer et te transmettre leur admiration. Ils sont très friands de ton travail. ” Ce qui n’est pas mensonger en soit sans être totalement la vérité. A cette pensée, elle rougit davantage. “Ta mère t’a-t-elle déjà parlé de… Mmh...” Opale n’est pas certaine de comprendre. Pourquoi se montre-t-il si gêné ? Opale n’est pas tout à fait certaine non plus de vouloir comprendre. “D’intimité ?” Le choc est brutal. Aussi douloureuse qu'une chute en balai. La mâchoir d’Opale s’en décroche et elle s’éloigne inconsciemment de son père. De quelques centimètres qui disent plus que l'on ne n'oserait. “De… d’intimité ?” répète-t-elle pour être certaine d’avoir bien entendu. Est-ce que Nicolas Flamel, le très célèbre Nicolas Flamel, le savant fou qui a réussi l’impossible, essaye de lui parler de relations sexuelles ? Pire, est-ce qu'il a déjà échangé avec Pernelle de la vie sexuelle de leurs filles ? La gêne s’empare d’Opale. Aurait-il appris ce qui s’est passé la nuit précédente ? Elle voit difficilement comment ça aurait pu être le cas, mais l’impossible est à la portée de son renommé père. “Eh bien… non. Non, elle ne m’en a jamais parlé. ” dit-elle de manière plus posée qu’elle ne l’aurait espéré. Et elle ose même poser la question qui l'invite à développer son propos, plus par politesse que véritable intérêt. “Euh... pourquoi ?” opale comptine d'un autre étéPermission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forumTéléchargezla partition Comptine Dun Autre ete pour Piano, par Yann Tiersen dans Musique pop. Téléchargez gratuitement les partitions de musique : Télécharger en PDF. Aidez ♥️.
Texte jacquette CD de classe Chers parents, Les comptines, les chansons, les jeux chantés, les rondes font partie du folklore littéraire et musical enfantin. Ce patrimoine culturel accompagne la vie quotidienne de la classe. On se retrouve autour du plaisir de chanter, danser, jouer avec les mots, les sonorités, les rimes, les gestuelles. Les paroles sont mi-chantées, mi-parlées, mises en jeu avec les mains, les doigts, le corps, dans des marches, des frappés, des balancements, des gestes…Les textes sont rythmés, les gestes ritualisés. Enumérations, dénombrements, crescendo, inflexions, intonations entourent la poésie, la fraîcheur, le dépouillement de ces donnant du sens au prévu comme à l’imprévu, malicieuses, cocasses, illogiques, drôles, les comptines par le biais de l’imaginaire expriment des petits fragments de rengaines ont un rôle affectif et sécurisant. Elles calment, bercent, amusent, questionnent, repèrent. Ce sont des amies, ancrèes dans le cœur des enfants. Cette compil’ des galoupiots, c’est aussi la construction d’un répertoire commun du groupe classe, dans le plaisir. C’est un souvenir de temps collectifs joyeux, légers, quotidiens. Les chants défilent en donnant à l’enfant la joie d’anticiper, la jubilation de l’attente, de maîtriser, de retrouver ce qu’il connaît intact, de construire ses propres durées intérieures. La socialisation, l’intégration au groupe, la structuration dans l’espace et dans le temps se jouent aussi dans ces moments-là. J’espère sincèrement que l’écoute de ce CD cet été, aura pour les enfants, un effet madeleine de Proust » , comme si soudain, par l’oreille se forme un parfum d’école… Sylvie Maillard - petit cheval va à l'école / rythme - ouistiti - une souris verte / proposition relative - gugus - j'aime la galette - et quand serons nous sages ? - dansons la capucine ! - petit lapin gourmand / rimes - l'éléphant se mouche / ch ..... - les mots des sorcières / articulation - la boite à outils de papa - pomme d'api - la chouette a mis ses lunettes - hérisson tout hérissé ! / rythme - le moineau pomme de terre / rythme - mal au ventre - tous les légumes, au clair de lune - tape, tape dans tes mains ! - le jour que je préfère - qu'est-ce qui revient chaque année ? - les ans qui passent / comptine numerique - le petit ver / paroles et gestes - coccinelle - plonge-t'y, plonge-t'y pas ? / la peur de l'eau - petite chaussette - le robot - madame la lune - am stram gram ! / compter sur ses doigts - oiseau zozo - le grand cerf - papillon d'été - la famille Tortue - le grand méchant loup - une fourmi m'a piqué la main - plein de poils ! - chut ! chut ! chut ! - petits pouces - as-tu peur ? / forme interrogative - un éléphan,t tout jaune / contraste de postures - qui a peur du méchant loup ? merci ! Petit cheval va à l’école Petit cheval va à l’école… Au pas, au pas, au pas, Petit cheval va à l’école… Au trot, au trot, au trot, Petit cheval va à l’école… Au galop, au galop, au galop… YOUPI ! Le ouistiti Dans la forêt, un ouistiti… Tout petit, Tout petit, Tout petit ! Se balançait, de ci, de là… Hop là ! Hop là ! Hop là ! Un gros serpent, vint en rampant… Pan, pan, pan, pan ! Le ouistiti, il est parti… Parti ? … Tant pis ! Une souris verte Une souris verte, qui courait dans l’herbe Je l’attrape par la queue, je la montre à ces messieurs, Ces messieurs me disent trempez la dans l’huile, Trempez la dans l’eau, ça fera un escargot tout chaud ! » Je la mets dans mon chapeau, elle me dit qu’il fait trop chaud ! Je la mets dans mon mouchoir, elle me dit qu’il fait trop noir ! Je la mets dans ma culotte, elle me fait trois petites crottes ! Je la mets dans ma chemise, elle me fait trois petites bises ! Gugus C’est Gugus avec son violon Qui fait danser les filles, qui fait danser les filles C’est Gugus avec son violon Qui fait danser les filles et les garçons ! Mon papa ne veut pas, que je danse, que je danse Mon papa ne veut pas, que je danse la polka Il dira ce qu’il voudra, moi je danse, moi je danse Il dira ce qu’il voudra, moi je danse la polka ! J’aime la galette J’aime la galette, savez-vous comment ? Quand elle est bien faite, avec du beurre dedans ! Tra la la la la la lalère… Tra la la la la la lalère Et quand serons-nous sages ? Et quand serons-nous sages Jamais, jamais, jamais La terre nourrit tout, la terre nourrit tout Les sages, les sages La terre nourrit tout, La terre nourrit tout Les sages et les fous Dansons la capucine Dansons la capucine Y’a pas de pain chez nous ! Y’en a chez la voisine, Mais ce n’est pas pour nous…. YOU ! Dansons la capucine Y’a pas de vin chez nous ! Y’en a chez la voisine, Mais ce n’est pas pour nous… YOU ! Dansons la capucine Y’a du plaisir chez nous ! On pleure chez la voisine, On rit toujours chez nous… YOU ! Le petit lapin gourmand C’était un petit lapin, qui courait sur le chemin C’était un petit lapin, qui courait sur le chemin L’a attrapé Sylvie, pour la manger avec du riz ! Un éléphant tout jaune… Un éléphant tout jaune, tout jaune, tout jaune, Un éléphant tout jaune, t’as jamais vu et moi non plus ! Faut pas rire, faut pas pleurer, faut pas remuer le nez, Faut pas rire, faut pas pleurer, faut pas remuer le nez ! Les mots de la sorcière NATUCHODONOZOOR RAMINOGRABIS pour déclencher un tempête pour faire venir Noël un peu plus vite La boîte à outils de papa Dans la Boîte à outils de papa, il y a… Un marteau qui fait boom, boom, boom… » Un tournevis qui fait crr, crr, crr » Une tenaille qui fait pôt, pôt, pôt » une scie qui fait zzz, zzz, zzz » Pomme d’Api Pomme de reinette et pomme d’api, Tapis, tapis rouge ! Pomme de reinette et pomme d’api, Tapis, tapis gris ! Cache ta main derrière ton dos, Il n’y a plus qu’une… Cache les deux derrière ton dos, Il n’y en a plus ! Si ! ! ! La chouette La chouette a mis ses lunettes, Elle tricote des chaussettes, Pour le hibou du grand bois, Qui tousse quand il a froid… La chouette a mis ses lunettes, Elle tricote des chaussettes, Pour le hibou du poirier, Qui a toujours froid aux pieds ! Le hérisson Hérisson, tout hérissé, Montre moi ton bout du nez ! Hérisson tout hérissé, N’a pas voulu le montrer… A roulé sa boule, Roule, roule, roule… M’a claqué la porte au nez, Hérisson tout hérissé ! ! ! Le moineau pomme de terre Tape-queue, tape-queue, le moineau pomme de terre, Tape-queue, tape-queue, tape sa queue sur la terre. Tape-queue, tape-queue, pour appeler son petit frère, Tape-queue, tape-queue, ou bien madame sa mère, Tape-queue, tape-queue, ou peut-être le TONNERRE ! ! ! Mal au ventre Madame la main a mal au ventre ; Que faut-il lui donner ? Le premier un gros câlin Mmmmh ! » Le deuxième lui met un suppositoire non ! » Le troisième lui donne du sirop miam ! » Le quatrième lui donne un médicament Berk ! » Et le tout petit lui fait plein de piqûres ! Pic, pic, pic ! » Tous les légumes Tous les légumes, au clair de la lune Etaient en train de s’amuser Ils s’amusaient, tant qu’ils pouvaient Et les passants les regardaient Un cornichon, tournait en rond Un salsifis se faisait tout petit Une pomme de terre sautait en l’air Et un chou-fleur se dandinait avec ardeur ! Donne-moi la main Donne-moi la main, donne-moi la main ! Donne-moi la main Papa ! bis Aujourd’hui, je suis petit, Boum, Badaboum, Boum Badaboum Mais bientôt , j’aurai grandi, Boum, Badaboum, Boumboum Lâche-moi la main, Lâche-moi la main Lâche-moi la main, Papa ! bis Cette fois-ci, j’ai bien grandi, Tam tipitam, Tam tipitam, Oui, oui, oui, oui, c’est la vie, Tam tipitam, tam, tam... Tape, tape dans tes mains ! Tape, tape dans tes mains, Lève, lève les deux mains, Quand on chante, Fais-moi coucou, Quand on chante tous ensemble ! Fais-moi coucou de très loin ! Frotte, frotte tes deux mains, Compte les doigts de ta main, Quand le sable, Dis-moi combien, Quand le sable colle aux doigts ! Dis-moi combien il y en a 1, 2, 3, 4, 5 ! Serre la main de ton voisin, Bouge, bouge un peu la main, Comment ça va, comment ça va On va se dire, on va se dire, Ca va bien ! Au revoir ! Le jour que je préfère C’est mon anniversaire, le jour que je préfère, Et je soufflerai bientôt, les bougies de mon gâteau On éteindra la lumière et j’aurai un cadeau ! Qu’est-ce qui revient chaque année ? Qu’est-ce qui ne fait que passer ? Habillé d’un beau sourire, Sur la tête un grand chapeau, Plein de petits doigts de cire, Qui s’allument quand il faut... Les ans qui passent Moi j’ai 3 ans, 3 ans comme ça ! Alors pour toi on tape 3 fois … 1, 2, 3 ! Tout petit ou très grand y’a les ans qui passent Aujourd’hui si c’est toi, demain ce sera moi ! Le petit ver Un jour trois écoliers, en tapant du pied… Ont fait sortir de terre, en tapant du pied… Un petit ver de terre, en tapant du pied… Qui se mit en colère, en tapant du pied… Il leur a dit fillette, en battant des mains… Tout le bruit que vous faites, en battant des mains… Résonne dans ma tête, en battant des mains… Et la folie me guette, en battant des mains… Retournez à l’école, en croisant les bras… De monsieur Anatole, en croisant les bras… Votre allure me désole, en croisant les bras… Je n’aime pas les fofolles, en croisant les bras… Alors pour le calmer, la main dans la main… Elles se mirent à chanter, la main dans la main… Et l’on vit dans le pré, la main dans la main… Le petit ver danser, la main dans la main… Et pour les remercier, la main sur le cœur… Il les a invitées, la main sur le cœur… A prendre une tasse de thé, la main sur le cœur… Avec des petits sablés, la main sur le cœur… Coccinelle Coccinelle, Demoiselle, Bête à bon Dieu Coccinelle, Demoiselle, Vole jusqu’au cieux Petit point rouge… elle bouge Petit point blanc… elle attend Petit point noir… Coccinelle, au revoir ! Plonge t’y, plonge t’y pas ? Plonge t’y, plonge t’y pas ? Se demande la grenouille. Plonge t’y, plonge t’y pas ? Ail ! Ail ! Ail ! ouille ! Si je plonge, l’eau glacée va me faire frissonner Si je plonge, l’eau glacée va me faire éternuer ! Si je plonge, le héron va me pincer le menton Si je plonge, le héron va me piquer le bidon ! Ca ne fait rien, je vais plonger, Maintenant c’est décidé ! Petite chaussette Petite chaussette, veux-tu te montrer ? Coquine, coquinette, qui me fait marcher ! Petite chaussette, je vais me fâcher Sors de ta cachette le bout de ton nez ! Je t’ai posée là sur le coin du tapis, Aussitôt couché, je me suis endormi. Et puis ce matin dès sept heures et demi, Pour te retrouver, j’ai défait tout mon lit !….. J’aurai tout à l’heure au petit déjeuner, Du chocolat froid, des tartines beurrées. Je suis en retard et pour tout arranger, On va me gronder si l’école est fermée !….. Enfin te voilà, j’aperçois ton talon, Qui dépasse un peu de mon vieux pantalon. Je vais tout ranger demain sous lédredon, Et mes deux chaussettes dans mes deux chaussons ! ….. Le robot Dans mon château, Y’a un robot Il mange du fer, Il boit de l’eau ! Quand le robot tape, Tout le monde tape Quand le robot tape, Tout le monde tape Puis, claque …frappe …dort … Madame la lune Bonsoir, madame la lune ! Bonjour, monsieur le soleil ! Que faîtes vous donc là ? Que faîtes vous donc là ? Je fais mûrir des prunes, Je fais mûrir des groseilles Pour tous ces enfants là… Pour tous ces enfants là… Mmm… Lala… Doudou… Am stram gram Sur mes doigts, je compte 1 Lève le pouce et tiens le bien ! Sur mes doigts, je compte 2 Lève l’index et ferme les yeux ! Sur mes doigts, je compte 3 Lève le majeur cette fois ! Am stram gram Pic et pic et colegram Bour et bour et ratatam Am stram gram Oiseau Zozo Je suis un oiseau , Quand je vole là-haut, Avec un chapeau. Je vois des ruisseaux, Un oiseau zozo, Des moulins et des bateaux, Avec un joli pipeau. Et je leur dis "à bientôt ! ²" Le grand Cerf Dans sa maison un grand cerf regardait par la fenêtre, Un lapin venir à lui et crier ainsi Cerf ! Cerf ! ouvre moi, ou le chasseur me tuera ! … - Lapin, lapin entre et viens, me serrer la main ! » Le papillon Ce matin, j’ai rencontré un beau papillon d’été . Il était de toutes les couleurs, Et je l’aurais voulu pour ton cœur… Il était bleu comme le ciel, Jaune comme le soleil, Blanc comme les fleurs du printemps, Ce papillon bleu, ce papillon blanc. La famille Tortue Jamais on n’a vu, jamais on ne verra, La famille tortue courir après les rats ! Le papa Tortue, Et la maman Tortue, Et les enfants Tortue, Iront toujours au pas… Le grand méchant loup Qui a vu l'grand méchant loup ? Qui a vu le p'tit lapin ? L'grand méchant loup, Le p'tit lapin, Qui rôde, qui rôde... partout ! Qui saute, qui saute... partout ! Il rôde, il rôde... Il saute, il saute ... Le grand méchant loup. Il saute, le p'tit lapin. Il rôde, il rôde, il rôde, Il saute, il saute, il saute Partout ! Partout ! Une fourmi Une fourmi m'a piqué la main, Une fourmi pique les copains, La coquine, la coquine... La coquine, la coquine... Une fourmi m'a piqué la main, Une fourmi pique les copains, La coquine, elle avait faim ! La coquine, elle avait faim ! Plein de poils ! Petit lapin, plein de poils ! Par dessus, par dessus... Petit lapin, plein de poils ! Par dessous, par dessous... Petit lapin, plein de poils partout ! Par devant, par devant... Par derrière, par derrière... Petit lapin, plein de poils partout ! Chut, chut, chut !... Un petit doigt sur la bouche, J'écoute voler les mouches. mmh Chut, chut, chut !... Un petit doigt sur l'oreille, J'écoute voler l'abeille. zzz Chut, chut, chut !... Un petit doigt sur la joue, J'écoute chanter le hibou. hou hou Chut, chut, chut !... Un petit doigt sur le front, J'écoute voler le papillon. fr fr Petits pouces Petits pouces ont peur du loup Courent par ci, sautent par là Hou, hou, voici le loup ! CACHEZ – VOUS ! As-tu peur ? - As-tu froid ? - As-tu chaud ? - As-tu faim ? - Quelquefois - Quelquefois - Quelquefois - As-tu soif ? - As-tu peur du loup ? - Quelquefois - Jamais ! Qui a peur du méchant loup ? Qui a peur du méchant loup, Du méchant loup, qui rôde partout ? Qui a peur du méchant loup, Du méchant loup, ça c’est pas nous ! Qui rôde, qui rôde, qui rôde le méchant loup, Qui rôde, qui rôde, qui rôde partout ! Qui a vu le petit lapin, qui saute partout ? L’éléphant L’éléphant, Il se douche, douche, douche, Sa trompe est un arrosoir ! L’éléphant, Il se mouche, mouche, mouche, Il lui faut un grand mouchoir ! L’éléphant, Il se couche, couche, couche, A huit heures tous les soirs… merci ! C’est grâce à l’initiative et au dynamisme des parents d’élèves de la classe, que la réalisation de ce CD et du livret ont été possible. Merci à Abderazag Azzouz pour la technique d’enregistrement numérique, le montage et l’habillage du CD. Merci à Sophie de la Chapelle pour la réalisation du livret Merci à Evelyne Vignard et Carole Gaboriau pour la saisie de quelques textes. Merci à Damien et Gaëlle Sion pour avoir demandé un enregistrement des chansons de la classe…
BZH. Comptine d'un autre été l'après midi (Live). TikTok. Téléverser . Connexion. Pour toi. Abonnements. LIVE. Connecte-toi pour suivre des créateurs, aimer des vidéos et voir les commentaires. Connexion. Sujets populaires. Comédie Gaming Cuisine Danse Beauté Animaux Sport. Comptes suggérés. À propos TikTok Browse Salle de presse Contact Emplois
Bonjour à tous et bienvenue dans ce numéro spécial de votre chronique musicale sur Vonguru. Vous l’aurez compris, il sera question ici de musique, et plus particulièrement des musiques qui ont bercé et qui continuent de bercer l’univers geek, qu’il s’agisse de jeux vidéo, de films ou d’animés. Le format de cette chronique pourra varier d’un numéro à l’autre selon les musiques qui vous seront proposées. Présentations, analyses, extraits de partitions seront autant d’éléments que vous pourrez retrouver dans la boîte à musique de Vonguru. VonGuru suivra aujourd’hui la vague d’Halloween à quelques jours des échanges de bonbons et des déguisements sanguinolents, nous nous penchons aujourd’hui sur ces musiques qui font peur, celles dont quelques notes suffisent à insuffler l’effroi, et plus particulièrement du côté du cinéma. Fermez donc vos volets, éteignez les lumières et montez le son de votre casque c’est parti. Si le cinéma parvient depuis longtemps à nous effrayer, et de bien des manières, il est tout de même évident que même le meilleur film d’horreur, dépourvu de son, retombe bien vite sur l’échelle de l’angoisse. Au même titre qu’une belle musique qui sublime la scène d’un film, sa musique horrifique viendra habiller l’action, l’accentuer, souligner le sursaut ou l’image dérangeante, sans oublier le fait d’instaurer une ambiance, celle de la tension latente et progressive ; on ne la discerne pas toujours directement, et pourtant, c’est insidieusement qu’elle se glisse jusqu’à nos oreilles, presque toujours comme un élément précurseur à l’horreur visuelle et concrète. Pour parvenir à cela, et comme dans tout genre musical, de nombreux procédés d’écriture existent, et l’on parvient alors grâce à eux à catégoriser le type de peur que l’on souhaite distiller dans l’extrait. Explorons donc ces techniques d’écriture au travers de quelques extraits, à tête reposée, sans le support de l’image qui a souvent tôt fait de nous détourner du son. Les demis-tons, les dissonances et les accords Une musique horrifique se doit d’être avant tout omniprésente, parfois latente, parfois percutante, mais toujours dérangeante à l’oreille. Pour cela, les compositeurs se basent sur des schémas musicaux réputés comme étant dissonants », c’est-à-dire, difficiles à écouter. Cette notion, purement culturelle et historique fait donc que nous sommes habitués à entendre certains enchaînements plus que d’autres. Ces derniers, beaucoup plus rares, sont donc utilisés pour provoquer un malaise auditif. Ainsi, des intervalles comme celui de la seconde, de la septième, ou encore du triton la fausse quinte pour les fous de solfège sont perçus comme désagréables dans notre représentation musicale, et ils sont donc omniprésents dans toute musique à suspense. Il reste à noter que cette vision manichéenne de ce qui est écoutable ou non varie avec le temps, et de cette manière, on sait désormais que les intervalles qui abondent dans la pop et la variété étaient jugés sacrilèges au Moyen-Age et comme des images valent mieux qu’un long discours, rendez-vous sur ce sketch de Kaamelott En plus des dissonances, on retrouve l’enchaînement très cliché » de demi-tons, intervalle popularisé entre autres par la bande-originale du film Les Dents de la Mer » ce même thème ayant par ailleurs servi de support au générique du JT de TF1… c’est par ici. Le rythme marqué de la musique, ainsi que cette alternance de demi-tons provoque donc l’angoisse et l’effroi, tout comme c’est le cas pour l’oppressante musique de Psychose. Ce procédé, toutefois un peu passé de mode, résonne aujourd’hui comme un cliché, mais il reste cependant très efficace, utilisé subtilement et avec parcimonie. Vous pouvez également retrouver ce fameux procédé du demi-ton dans une des musiques du film Eyes Wide Shut. Enfin, certains enchaînements d’accords, que l’on ne retrouve jamais dans nos chansons pop et variétés, même les plus tristes, suffisent à instaurer un climat propice au malaise, à la peur, l’angoisse, voire même à l’urgence, comme c’est le cas dans le générique de la série The Walking Dead on y retrouve des enchaînements d’accords particuliers qui, en plus des rythmiques irrégulières créent la tension, et la sensation de danger imminent. Les comptines et berceuses Un autre grand code du genre, vous l’aurez compris, consiste à orienter la musique vers un caractère de berceuse ou de comptine pour enfants, afin de créer un décalage pour le moins malsain. On entre alors dans les souvenirs de nos peurs primaires, à grand renfort de monstres sous le lit, et de clowns malveillants. Là encore, rien de très nouveau, et pourtant, c’est diaboliquement efficace. Qui plus est, cet aspect infantilisé » de la musique lui confère, dans la plupart des cas, une dimension assez triste, mélancolique, voire poétique dans certains cas, ce pourquoi on retrouve ces thèmes particuliers dans des films où l’ambiance et la tension cohabitent pour sublimer un scénario plus fouillé et tourmenté. C’est le cas du thème de Silent Hill par exemple, de Candyman, ou encore dans des films tels que The Ring. Pour les Loliens, le thème musical de Thresh reprenait également ce stratagème. Enfin, et dans le même ordre d’idée, on retrouve les thèmes musicaux jouant sur la répétition de notes. On développe alors une mélodie dont chaque note est ponctuée d’une autre, médiane, et cela crée alors un sentiment assez hypnotisant et captivant pour l’auditeur. La répétition systématique de ces cellules fonctionne, et c’est principalement dans des films tels que L’Exorciste ou encore dans Death Note que l’on s’en souvient. Les ambiances Enfin, il y a ces musiques que l’on ne parvient pas réellement à définir en tant que telles, puisqu’il s’agit davantage d’une ambiance sonore, plus que d’une réelle trame mélodique. Ces musiques-là se font depuis des dizaines d’années, et rencontrent toujours autant de succès, puisque l’on s’en rappelle difficilement. En effet, pas de mélodie à retenir, ni rien de marqué dans le tempo ou la pulsation une simple accumulation de notes, où l’on retrouve nos fameux intervalles qui dérangent. Parfois même, les personnages du film entendant certains sons de la vie de tous les jours, au sein même de la musique ce type de morceaux sont appelés diégétiques » et font partie intégrante de l’action. Ainsi, ces musiques d’ambiance servent davantage à créer une immersion dans l’esprit du personnage mis en scène, comme pour entrer dans son état d’esprit, sa peur, son danger ou encore sa folie. Les musiques d’ambiance servent à accompagner un suspense visuel, qui progressivement arrivera au dénouement d’une action, ou encore à un sursaut. Ces thèmes musicaux sont en fait écrits sur base de contrastes on y retrouve les aigus qui s’opposent aux graves, le calme qui s’oppose au violent coup de percussion, etc. On veut insinuer la peur, la distiller sans que le spectateur ne s’en rende compte jusqu’au moment-clé de l’action. Essayez donc une de ces scènes vidéo en coupant le son vous verrez, il ne reste plus grand chose de l’effroi. Dans cet état d’esprit, on peut mentionner l’excellent travail sonore effectué dans The Dark Knight, chaque fois que le Joker raconte l’origine de ses cicatrices. Prenez bien garde à l’ambiance musicale qui règne et progresse derrière le monologue de l’acteur, pour générer, puis accentuer le malaise Certains bruitages, en eux-mêmes, contribuent parfois à provoquer l’effroi ou la menace. On peut notamment se souvenir du bruit que produisent les vaisseaux dans La Guerre des Mondes », ou encore d’un simple cri qui suggère la violence d’une action. L’impact des bruitages est donc, vous l’aurez compris, vital dans le fait de véhiculer la peur dans l’image. Certains films, et de manière beaucoup plus sournoise » ont même été jusqu’à insérer dans leur bande-originale des ultra-sons ou infra-basses, presque inaudibles, mais qui provoquent pourtant chez le spectateur un sentiment plus ou moins fort de malaise, de vertige, voire même de nausées. L’impact est d’autant plus troublant que ces derniers spectateurs ne parviennent pas à réellement distinguer l’origine du malaise, dont ils imputent l’entière responsabilité à l’image ; pourtant, elle n’est alors pas la seule responsable. On retrouve notamment cet exemple dans la première demie-heure du film de Gaspard Noé, Irréversible. Maintenant que vous avez quelques clés en main pour mieux comprendre ces musiques qui vous font frissonner, prenez le temps, lors d’un futur visionnage de film d’horreur, d’analyser un peu sa musique, sous le prisme des différents procédés d’écritures énoncés ici. Vous serez parfois surpris de voir et d’entendre que la peur ne se crée parfois qu’avec peu de choses ! C’est donc sur ces quelques mots que je vous laisse, cher lecteur, sans oublier de vous avertir de prendre garde au monstre sous votre lit, à la menace derrière votre fenêtre, ou au fantôme, juste derrière vous…