Jai eu cette peur en voyant un jeune homme blond Ă  l'horizon. Ton frĂšre est passĂ© devant moi, avec cette mĂȘme dĂ©marche, Qu'il est innocent, perdu dans l'enfance, loin de ta raison. Je t'en prie, dĂ©pose tes armes, prends mĂȘme mon arc. Je voulais te voir par par simple hasard, Quel dommage, mais aurais-tu acceptĂ© la chose J'aurai tout fait, ça
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- “L'homme est un apprenti, la douleur est son maĂźtre. Et nul ne se connaĂźt tant qu'il n'a pas souffert. C'est une dure loi, mais une loi suprĂȘme, vieille comme le monde et la fatalitĂ©, qu'il nous faut du malheur recevoir le baptĂȘme et qu'Ă  ce triste prix tout doit ĂȘtre achetĂ©â€ Alfred de Musset . Dec 16, 2016 - “L'homme est un apprenti, la douleur est son maĂźtre
Home/citation/L’homme est un apprenti, la douleur est son maĂźtre, – Et nul ne se connaĂźt tant qu’il n’a pas souffe Musset Alfred de L’homme est un apprenti, la douleur est son maĂźtre, – Et nul ne se connaĂźt tant qu’il n’a pas Nuit d’octobre 1837Citations de Alfred de MussetAlfred de Musset Autres citations Il y aurait, gravĂ©es sur sa tombe, deux dates cĂŽte Ă  cĂŽte, 1926-1876, sĂ©parĂ©es par un tiret. Giraudoux Jean Il y aurait, gravĂ©es sur sa tombe, deux dates cĂŽte Ă  cĂŽte, 1926-1876, sĂ©parĂ©es par un 1926Citations 
 La diffĂ©rence entre la France et les Etats-Unis. Quand les collaborateurs massacrent les rĂ©sistants, SĂ©bastien Patrick La diffĂ©rence entre la France et les Etats-Unis. Quand les collaborateurs massacrent les rĂ©sistants, le hĂ©ros c’est de 


Lhomme est un apprenti, la douleur est son maĂźtre, Et nul ne se connaĂźt tant qu’il n’a pas souffert. C’est une dure loi, mais une loi suprĂȘme, Vieille comme le monde et la fatalitĂ©, Qu’il nous faut du malheur recevoir le baptĂȘme, Et qu’à ce triste prix tout doit ĂȘtre achetĂ©.. septembre 23, 2009 FrĂ©dĂ©rick JĂ©zĂ©gou . L’homme est un apprenti, la douleur est son

Le deal Ă  ne pas rater Coffret PokĂ©mon Ultra Premium Dracaufeu 2022 en français oĂč le ... Voir le deal † Hors-jeu † Personnages Archives +2sir KadoudalMordred d'Orcanie6 participantsAuteurMessageInvitĂ©InvitĂ©Sujet L'homme est un apprenti, la douleur est son maĂźtre. Dim 25 Jan - 2147 Il n'y a rien de si infortunĂ© qu'un homme qui n'a jamais de MaistreL'Orcanie sommeillait paisiblement sous un duveteux manteau de neige et ses arbres tendaient ses bras squeletiques, emprisonnĂ©s sous une verriĂšre de glace, vers le firmament, comme s'ils tentaient d'attraper les anges blancs et de les contraindre Ă  demeurer si prĂšs de la terre... Si ces ĂȘtres ailĂ©s vivaient prĂšs de la terre, y aurait-il moins de souffrance? Moins de larmes? Margot Ă©tait persuadĂ©e que si ses griffes gĂ©antes parvenaient Ă  capturer l'Ăąme de sa belle cousine, la dĂ©funte Ă©pouse du roy Mordred, et que toujours sa voix divine pouvait rĂ©soner... nul gens ne pourrait ressentir du mĂ©pris ou quelques chagrins prĂȘtresse d'Avalon, qui Ă©tait dĂ©sormais sous la protection du vieillard de Camelot ce fou de Myrddin, premier conseiller du Haut Roy de Bretagnes, Ă©tait revenue en Orcanie... elle n'avait pu assister aux ceremonies de deuil de sa belle amie, car elle n'avait su, que trop tard, qu'elle s'Ă©tait retirĂ©e la vie...Des semaines durant, le noir corbeau Ă©tait demeurĂ© allitĂ© Ă  consommer diverses herbes et concoctions magiques afin de trouver une vision, un indice... Mais rien ne lui Ă©tait apparut. Comme si la DĂ©esse l'avait abandonnĂ©e... Mais Merlin l'avait rassurĂ©. MĂšre la Terre lui laissait l'opportunitĂ© de choisir sa propre destinĂ©e... sa propre fin, ou sa propre Conduisez-moi au roy. , ordonna la prĂȘtresse, en posant une main sur le manche d'une longue Ă©pĂ©e, certie d'Ă©tranges symboles illuminĂ©s par une magie quelconque... mystĂ©rieuse... dangeureuse. Et de suite. Sans protestation ni objection. Mordred d'OrcanieMembre fondateur/administrateur en chefNombre de messages 5040Age 1534Camp Orcanie! Classe sociale Tyran d'Orcanie et Dieu dĂ©mon ? vivant !Terre l'enfer sur terre !Date d'inscription 27/03/2007Feuille de personnageReligion ChrĂ©tienStatut Social Sujet Re L'homme est un apprenti, la douleur est son maĂźtre. Lun 26 Jan - 419 Mais d'oĂč sortait donc cette folle furieuse et hystĂ©rique ?! Des Ă©gouts telle la rate immonde qu'elle Ă©tait ?!De par la fenĂȘtre, qu'elle avait franchit avec l'apparence d'une chauve souris ?!Ou grand classique, elle Ă©tait arrivĂ©e ici, sur son balais malĂ©fique ?!Qu'importe qu'elle se taise cette dĂ©mente imbĂ©cile !Qu'elle la boucle la nainesse de fosse Ă  purin !Qu'on lui ferme son clapet puant Ă  cette truie du diable !!Ou se croyait elle pour faire ainsi irruption sans prĂ©avis dans le chĂąteau du grand Mordred d'Orcanie ?!Pour vocifĂ©rer, cracher et postillonner ses inepties et ses ordres dĂ©risoires ? !Ou ? Chez les sorciĂšres de l'Ăźle prĂ©tendument sacrĂ©e ? ! Dans leur trou infect et dĂ©moniaque d'Avalon ? ! Ah mais vraiment, oui qu'elle ferme sa grande trogne cette espĂšce de pauvre pomme avariĂ©e et pestilentielle !!Si elle tenait, elle, encore Ă  sa misĂ©rable petite vie sans intĂ©rĂȘt pour l'Orcanie Elle pue du bec bon sang !!!Silence !Et en parlant de mauvaise odeur ...Un fumet de relent de vinasse se rĂ©pandit soudain en ces lieux, un signe qui ne trompait point Kadoudal allait faire son apparition !Aussi, les sentinelles devant la porte et une partie de la garde prĂ©torienne du tyran qui entouraient la sorciĂšre vindicative cessĂšrent ... de ricaner grandement et ... levĂšrent les yeux en direction du haut de l'escalier reliant l'antichambre de la salle du trĂŽne aux appartements royaux ... *Clap ! clap ! clap ! clap ! clap ! clap !*Le butor, tout sourire, descendait nonchalamment les marches sans se presser le moins du monde et ... applaudissait ? *clap !clap ! clap !clap ...*ArrivĂ© en bas des escaliers, le soudard s'immobilisa et considĂ©ra l'intruse d'un air goguenard ... Silence !RĂ©pĂ©ta t-il en fixant la diablesse avec ses yeux bleus acier d'aigle royal ...Le dernier acte va dĂ©buter !Ou comment ... La chienne d'Avalon fut ... Ă©gorgĂ©e par le ... *hum* soudard d'Orcanie !Proclama t-il fiĂšrement tĂȘte haute et ... torse bombĂ© .DĂ©claration qui fut suivis ... d'un grand silence assourdissant de plusieurs longues secondes ...Ha ! ha ! ah ! ah ! ah ! ah ! ah ! ah !!S'esclaffĂšrent les gros rustres sans aucune retenue .Notre bon roy est Ă  Camelot, traĂźnĂ©e ...Il "honore" sa nouvelle femme la reyne Blanche !Épouse aimante, docile et ... plus douĂ©e oh mais pourquoi ? que ta fĂ©lonne de cousine !Persifla mĂ©chamment Kadoudal ... Tout en s'avançant vers sa proie, et en "passant en revue" les dizaines de prĂ©toriens alignĂ©s comme Ă  la parade ...FĂ©lonne que tu iras trĂšs bientĂŽt rejoindre dans les chaudrons des enfers !Conclu t-il avant de se planter devant "Conane la barbante" et d'esquisser le plus hideux des rictus ...Ah oui j'oubliai ta rĂ©ponse, femme !Cracha t-il avec haine juste avant ... de lui cracher plus concrĂštement au visage ...Et le filet de glaire aah dĂ©gueu ^^ n'eut guĂšre le temps de s'Ă©couler sur le joli front de la petite sotte il a visĂ© le croissant de lune que le soudard administra une trĂšs violente manchette hj plus violent qu'un soufflet, moins qu'un bourre pif Ă  la face de la malheureuse, puis une seconde, encore plus brutale ...MĂȘme une mĂąchoire d'homme, de soldat, aurait grandement souffert de ce double coups de battoirs ... Alors celle d'une petite mijaurĂ©e si elle n'Ă©tait pas tombĂ©e, elle Ă©tait plutĂŽt sonnĂ©e .Kadoudal, dont les yeux brĂ»laient comme des torches, en profita pour tirer son Ă©pĂ©e hors de son fourreau et ... fit face Ă  la pĂ©ronnelle trop hardie .Maintenant, bats toi !Meurs ou ... *hĂ©hĂ©* vaincs, mais bats toi !!Ceci dit, il se mit en garde, en maintenant sa lame Ă  deux mains .Tu n'aimerais pas tomber entre les griffes de Mordred !Encore une oeillade meurtriĂšre Ă  l'encontre de la vile paĂŻenne ... et le soudard se figea, prĂȘt Ă  bondir tel un fauve ...Ses tempes battant Ă  tout rompre, battant et faisant raisonner un roulement de tambours incessant dans son crĂąne d'alcoolique ......Attaque !Quelle idĂ©e aussi, quand on est petite agnelle, d'allez se fourrer droit dans la gueule du grand mĂ©chant loup !Argumentum baculinumDerniĂšre Ă©dition par Mordred d'Orcanie le Mar 27 Jan - 1148, Ă©ditĂ© 1 fois InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re L'homme est un apprenti, la douleur est son maĂźtre. Lun 26 Jan - 1429 Les gardes avaient encerclĂ©s la belle cousine de l'ancienne reyne orcanienne, hĂ©sitant Ă  porter la main sur elle. Car bien que bons chrĂ©tiens, ils ne pouvaient s'empĂȘcher d'ĂȘtre effrayĂ© par cette magie bleutĂ©e qui s'Ă©chappait du corps de la prĂȘtresse d' prĂ©sence du soudard les rassura cependant... et quel soulagement lorsque celui-ci, serein et courageux, menaça la vilaine sorciĂšre en la provoquant dans un duel!- Sire Kadoudal! tonna la voix autoritaire d'un viel homme, appuyĂ© sur une canne en malicieux conseiller du Grand Roy de Bretagnes souriait, niais ou bien sĂ»r de lui... ce qui revenait, en vĂ©ritĂ©, Ă  quelque chose de trĂšs Croyez-vous que votre sage souverain serait heureux de savoir que vous faites verser le sang au pied de sa dynastie, lorsqu'il s'Ă©loigne de son pays? Le jour de ses Ă©pousailles?Bien sĂ»r que non! Mordred, petit gamin que le vieux sĂ©nile avait vu grandir, aurait Ă©tĂ© ravit de savoir que la cousine de sa dĂ©mente d'Ă©pouse avait succombĂ© dans d'atroces douleurs... et quelle rĂ©jouissance! DĂ©barassĂ© du fardeau de ses souvenirs, de sa vengeance, lors d'un jour si heureux!Au loin, les cloches sonnĂšrent...... pour qui?- Messire, je vous prĂ©sente Margot d'Aurey... derniĂšre survivante de la lignĂ©e des Valois, si l'on exclu - bien entendu - les triplĂ©s druide prit la main de sa protĂ©gĂ©e dans la sienne, toujours aussi souriant, parlant avec civilitĂ©, comme si aucune menace n'avait Ă©tĂ© profĂ©rĂ©e. Et pourtant, une menace se dissimulait sous les paroles du vieil homme... Kadoudal saurait-il les saisirs?- PrĂȘtresse Margot, hĂ©ritiĂšre du comtĂ© d'Aurey, je vous prĂ©sente Sire Kadoudal, conseiller d'Orcanie... Et je suis Myrddin Embrais!Au cas oĂč le saoulons aurait trinquĂ© ce matin et qu'il n'est pas eu de jugeotte... ou bien qu'il n'est point recconu le principal ami du roy connu sous le nom de Merlin! Merlin l'Enchanteur!Il rit, comme amusĂ© par cette appellation stupide. Il ne dĂ©bala pas ses titres... L'alcoolique devait les connaĂźtre... Il devait savoir qu'il Ă©tait un homme d'importance. Et que l'Orcanie entrerait en guerre contre Camelot si mal il lui Ă©tait fait. Et si Margot Ă©tait blessĂ©, ou tuĂ©... Kadoudal serait le premier Ă  pendre au bout d'une qu'il se tienne, le petit pĂ©dent! Ou bien il taterait de la ceinture ou du gibet!- Nous ne savions point que le roy Mordred s'Ă©tait dĂ©jĂ  dĂ©placĂ© vers Camelot pour y Ă©pouser sa maĂźtresse!Alors soit!Qui s'occupera de nous assigner une chambre? Nous prendrons la mĂȘme...Certains des hommes de la garde du roy se regardĂšrent... À son Ăąge, Merlin pouvait-il...? Margot Ă©tait-elle sa maĂźtresse? Ou bien Ă©tait-ce dans un but tout autre, comme celui de la protĂ©ger, qu'il demandait Ă  avoir une mĂȘme chambre? sir KadoudalConseiller Royal et Membre du Haut Conseil de la CouronneNombre de messages 790Age 29Camp Orcanie!Classe sociale NobleTerre Celle de son roy et maĂźtreDate d'inscription 25/03/2008Feuille de personnageReligion ChrĂ©tienStatut Social Sujet Re L'homme est un apprenti, la douleur est son maĂźtre. Lun 26 Jan - 1553 Kadoudal toisa sĂ©vĂšrement le vieux grigous qui venait de faire son apparition ... Puis rengaina son arme .L'orcanien pesta intĂ©rieurement et Ă©couta, non sans mal, le mage fou dĂ©biter sa litanie lĂ©nifiante ...Sans tenir aucunement compte de la sorciĂšre fĂ©lonne qu'il aurait bien voulut Ă©gorger comme un lapin ...Le conseiller fixa maĂźtre Merlin droit dans les yeux, le foudroyant, sans vergogne et bien imprudemment du regard .Je sais qui vous ĂȘtes !Je sais ce que vous reprĂ©sentez !!Guide suprĂȘme d'une religion ... de "paix" pratiquant le sacrifice humain, mĂ©prisant toute morale, ne pouvant souffrir la prĂ©sence d'autres croyances Ă  vos cĂŽtĂ©s !Vous ĂȘtes le passĂ© ! et nous ... nous sommes l'avenir ! et c'est cela qui vous effraient tant !!Si vous saviez ... mais il savait le devin sĂ©nile ... Ă  quel point je vous mĂ©prise vous me feriez un sort !Kadoudal ricana, puis jetant Ă  peine un semblant de coup d'oeil vers l'impudente traĂźtresse, il lança, Ă  l'adresse de ses hommes Elle pourra demeurer, mais sachez qu'il s'agit d'une ennemie dĂ©clarĂ©e de l'Orcanie !Retirez lui son arme ! hj j'insiste ^^ La rĂ©gente, qui va recevoir ces "gens", dĂ©cidera de son sort ! Puis, l'orgueilleux messire s'avança, passa devant le vilain barbu, le dĂ©passa, avant de s'immobiliser .Vous qui savez tout, sur tout ĂȘtre et ... sur toutes choses ...Sachez ... Qu'une femme me fut enlevĂ©e, de la main de vos fidĂšles, de vos disciples, de vos amis ...Celle que j'aimais et aimerais Ă  jamais !Mais peu importe pour vous, peu vous importe !!Alors ... allez au Diable !Tous autant que vous ĂȘtes ! Allez au Diable !!!Et sur ce, il s'en fut ... Alors que le doux visage d'ange de Lydia apparaissait en son esprit ainsi soit il ... Deux gardes s'avancĂšrent pour rĂ©clamer l'arme de la prĂȘtresse ... Et les autres s'Ă©cartĂšrent pour laisser passer l'enchanteur et sa protĂ©gĂ©e ...Ils allaient ĂȘtre reçu par Morgause .Et kadoudal ? ... Direction la taverne !_________________ MorgauseReine d'OrcanieNombre de messages 1324Age 33Camp OrcanieClasse sociale Reine d'OrcanieTerre OrcanieDate d'inscription 09/04/2007Feuille de personnageReligion ChrĂ©tienStatut Social Sujet Re L'homme est un apprenti, la douleur est son maĂźtre. Mar 27 Jan - 431 Morgause qui elle mĂȘme Ă©tait dans une rage folle, qu'espĂ©rait cette derniĂšre des Auray ? Que voulait le vieux bouffon qui osait la soutenir, ici, au coeur de l'Orcanie qu'elle avait penser dĂ©truire ? Apprenant l'arrivĂ©e des deux protagonistes, le sang de la Pendragon ne fit qu'un tour, elle se dirigea de son pas toujours leste malgrĂ© se grossesse vers le salle du trĂŽne, oĂč en l'absence de Mordred, elle seule avait sa place !Elle ne croisa pas Kadoudal, sinon elle lui aurait demandĂ© de rester, avoir Geoffroy Ă  ses cĂŽtĂ©s lui eut Ă©tĂ© rĂ©confortant. C'est donc seule que la reine mĂšre entra dans cette salle et que, sans dire un seul mot mais le regard noir, qu'elle pris place sur le siĂšge qui lui Ă©tait dĂ©volu, en dessous du trĂŽne royal d'Orcanie... Son siĂšge de rĂ©gente, rĂŽle qu'elle assumait en ce moment totalement, rĂŽle que mĂȘme l'ancien conseiller de Bretagne ne pourrait lui contester, rĂŽle que la derniĂšre des Auray serait bien Ă  mal de lui refuser... La haine allumait le regard intelligent de Morgause... elle pris nĂ©anmoins place, dĂ©licatement, sans hĂąte... comme si cette affaire Ă©tait de peu d'importance et se tournant vers les deux "solliciteurs" demanda d'une voix posĂ©e - Margot d'Aurey... en l'absence de mon fils retenu par son oncle Ă  Camelot, je reprĂ©sente le pouvoir en Orcanie... je n'ai qu'une chose Ă  vous demander que venez vous faire ici ? La rĂ©gente n'avait pas semblĂ© remarquer le noble vieillard qui accompagnait la maudite... Son regard Ă©tait noir mais ses paroles douces... Mordred d'OrcanieMembre fondateur/administrateur en chefNombre de messages 5040Age 1534Camp Orcanie! Classe sociale Tyran d'Orcanie et Dieu dĂ©mon ? vivant !Terre l'enfer sur terre !Date d'inscription 27/03/2007Feuille de personnageReligion ChrĂ©tienStatut Social Sujet Re L'homme est un apprenti, la douleur est son maĂźtre. Mar 27 Jan - 1141 Alors que la rĂ©gente, aussi impĂ©rieuse que sereine, recevait les visiteurs paĂŻens ... Le capitaine Brutus, chef de la garde personnelle du tyran, fit son apparition, accompagnĂ© par une dizaine de prĂ©toriens ... Tandis que le chef des soudards d'Orcanie se positionnait, debout et droit comme un I Ă  la droite de sa majestĂ© Morgause, les soldats formĂšrent un demi cercle autour des deux trĂŽnes ...Les orcaniens avaient ils peur des deux Ă©pouvantails Ă  moineaux qui sollicitaient leur attention ? Non point !Il s'agissait ici de leur faire comprendre qui Ă©taient les maĂźtres et leur rappeler leur condition de solliciteurs ...Sur ces terres, Margot d'Aurey Ă©tait considĂ©rĂ©e telle une ennemie mortelle, et le brave Brutus n'attendait qu'un claquement de doigts ou un sifflet pour empoigner la bougresse et la balancer dans une oubliette ...VoilĂ  ce que voulait Mordred et sa mĂšre le savait .Qu'importe Merlin et sa baguette de sorcier dĂ©risoire esbroufe que tout ça ! propre a effrayer les seuls niais et simples d'esprits !Et le fou pourrait toujours en appeler Ă  son trĂšs cher Arthur on lui collerait alors sous son vilain nez la proclamation conjointe du haut roy et de son neveu, de nouveau revenu en grĂące !Les adeptes de la DĂ©esse ne feraient point leur loi ici ... MorgauseReine d'OrcanieNombre de messages 1324Age 33Camp OrcanieClasse sociale Reine d'OrcanieTerre OrcanieDate d'inscription 09/04/2007Feuille de personnageReligion ChrĂ©tienStatut Social Sujet Re L'homme est un apprenti, la douleur est son maĂźtre. Mar 27 Jan - 1158 Avant que le derniĂšre des Aurey ou l'ancien conseiller d'Arthur ne rĂ©agisse Ă  cette "intrusion", la Reine Morgause lança un regard vers la garde, un regard assez blasĂ©, comme si cette garde qui entrait n'avait que peu d'importance... elle dĂ©clara d'une voix douce et apaisĂ©e - Capitaine Brutus, je vous remercie pour cette initiative, mais veuillez pour le moment rester Ă  distance et faire prĂ©venir Sire Talbot que la dame d'Aurey est dans cette salle et va me fournir les explications que je lui demande... Puis se tournant vers Merlin - Je ne pense pas que cette dame et le conseiller Merlin n'en veuille Ă  ma sĂ©curitĂ© ... Je n'ose penser quelles seraient les consĂ©quences d'un attentat contre la rĂ©gente reine mĂšre d'Orcanie, reine d'Austrasie et soeur d'Arthur et de Morgane en ce lieu... Myrddin Embrais est un vieil ami de ma famille... dit-elle en le regardant d'un oeil cordial... et revenant vers la dame d'Aurey toujours avec douceur - Madame, veuillez excuser les gardes qui quand ils voient une criminelle entrer dans cette salle deviennent nerveux ... et veuillez aussi, je vous prie, rĂ©pondre Ă  ma question initiale que venez vous faire ici ? InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re L'homme est un apprenti, la douleur est son maĂźtre. Mer 28 Jan - 2023 Le vieillard sourit Ă  l'officier orcanien, alors qu'il dĂ©bitait une sĂ©rie de paroles haineuses, qui n'avaient pas lieu d'ĂȘtre. Était-ce de sa faute Ă  lui si, par le passĂ©, du mal avait Ă©tĂ© fait Ă  une innocente? Il ne pouvait contrĂŽler les gestes de tous...Et Kadoudal aurait-il mĂ©prisĂ© les chrĂ©tiens, s'il s'agissait de leurs crimes? Les sacrifices humains se faisaient de moins en moins. Il s'agissait d'une pratique rarissime, qui ne se pratiquait plus qu'en Avalon depuis de multiples Vous m'en voyez navrĂ©, Sire Kadoudal... lui rĂ©pondit-il, sincĂšre, un brin de compassion illuminant son regard tout se bouscula l'apparition de la reine mĂšre, le dĂ©part de Kadoudal, la prĂ©sence de ce ''fameux'' Brutus!Morgause qui parla... et qui s'adressa Ă  lui, avec une douceur Ă  laquelle il ne s'Ă©tait pas lui sourit...- Ma belle enfant! , lui dit-il d'un ton Il avait toujours considĂ©rĂ© les enfants de Vivianne comme Ă©tant les siens. Le sang d'Avalon courait dans leurs veines... Peut-ĂȘtre mĂȘme que le sien circulait dans leurs corps! Il avait aimĂ© Vivianne! Et ils avaient liĂ©s leurs corps Ă  de nombreuses s'Ă©tait-elle dĂ©jĂ  doutĂ© que Merlin avait peut-ĂȘtre Ă©tĂ© son pĂšre?- Comme il fait bon de vous retrouver! poursuivit-il en s'inclinant devant le pouvoir royal qu'elle reprĂ©sentait. Le temps n'efface en rien votre beautĂ© d'antan! Au contraire... il l'accentue! J'en suis, Ă  chacune de nos rencontres, fort surpris! Utilisez-vous les quelques recettes de dĂ©coctions que je vous ai fait parvenir il y a quelques annĂ©es?Ah... Il s'Ă©garait! HJ Bon... je vois qu'on ne me laisse pas le temps !DerniĂšre Ă©dition par Myrddin Embrais le Jeu 5 FĂ©v - 1613, Ă©ditĂ© 1 fois Mordred d'OrcanieMembre fondateur/administrateur en chefNombre de messages 5040Age 1534Camp Orcanie! Classe sociale Tyran d'Orcanie et Dieu dĂ©mon ? vivant !Terre l'enfer sur terre !Date d'inscription 27/03/2007Feuille de personnageReligion ChrĂ©tienStatut Social Sujet Re L'homme est un apprenti, la douleur est son maĂźtre. Ven 30 Jan - 121 HJ Quand merlinou aura fini, je laisse Morg rĂ©pondre, ensuite le tyranneau arrive avec ses gros sabots ^^Juste une chose, Van, sur Camelot et ici, il est indiquĂ© sur ma fiche et sur celle de Morgause que celle ci est la fille de Gorlois et Ygerne ou Ygraine je sais, dans les dames du lac c'est pas ça ... AprĂšs, si Merlin a fautĂ© avec la duchesse de Cornouailles ... MorgauseReine d'OrcanieNombre de messages 1324Age 33Camp OrcanieClasse sociale Reine d'OrcanieTerre OrcanieDate d'inscription 09/04/2007Feuille de personnageReligion ChrĂ©tienStatut Social Sujet Re L'homme est un apprenti, la douleur est son maĂźtre. Ven 30 Jan - 437 [ hj bienvenue mon fils ! ]Morgause fut assez heureuse que le ton de Merlin, de qui elle aussi se sentait proche, soit doux conciliant... elle eut un sourire face Ă  son compliment, le vieux bougre ne changeait pas, on le disait toujours sensible Ă  la beautĂ©, la reine savait qu'elle vieillissait, mais savait aussi que son austĂšre beautĂ© rĂ©sistait plutĂŽt bien au temps qui passe. Elle s'adressa donc Ă  lui puisque la dame d'Aurey ne rĂ©pondait pas, et toujours sur un ton doux et paisible, teintĂ© d'ironie rĂ©pondit - Mon vieil ami, je vois que toi aussi tu ne changes pas, la beautĂ© des dames te perdra, crois moi... tes charmes et ceux de ma soeur sont puissants, mais je crois, sans prĂ©somption, que c'est surtout parce que je ne renoncerai jamais que je me maintiens peu changĂ©e... mais, cessons nos amabilitĂ©s, Ă  mon grand regret, et revenons Ă  ce qui nous prĂ©occupe qui est -dit elle en tournant un regard glacial vers la dame d'Aurey- la prĂ©sence de cette femme ici... Talbot D'OrkneyConseiller Royal et Membre du Haut Conseil de la CouronneNombre de messages 1048Age 36Camp OrcanieClasse sociale Conseiller RoyalTerre OrcanieDate d'inscription 02/10/2008Feuille de personnageReligion PaĂŻenStatut Social Sujet Re L'homme est un apprenti, la douleur est son maĂźtre. Sam 31 Jan - 1203 [Attention le croc mitaine arrive ^^]Le conseiller entra dans la salle du trĂŽne. Il avait devancĂ© le tyran pour annoncer son arrivĂ©, et pour que tous se prĂ©parent Ă  son retour. Il fit ouvrir grand les portes. Il s'avança prĂšs de la rĂ©gente, se plaçant Ă  sa s'adressa Ă  elle Morgause, le roi est arrivĂ©, il sera lĂ  d'un instant Ă  l' que les gardes commençaient Ă  se mettre en ordre pour la venu de Mordred, Talbot lança enfin un regard au deux paĂŻens prĂ©sents. Il ne pouvait guĂšre cacher une certaine nervositĂ©, le jugement risquait d'ĂȘtre expĂ©ditif envers les ennemis dĂ©signĂ©s de la couronne. De nouveaux jours sombres Ă  venir, quel folie leur a pris de venir se jeter dans la gueule du loup. MorgauseReine d'OrcanieNombre de messages 1324Age 33Camp OrcanieClasse sociale Reine d'OrcanieTerre OrcanieDate d'inscription 09/04/2007Feuille de personnageReligion ChrĂ©tienStatut Social Sujet Re L'homme est un apprenti, la douleur est son maĂźtre. Mer 4 FĂ©v - 1221 [hj Ă  qui hein Ă  qui ? je suis prĂȘte pour une rĂ©action Ă  Talbot mais aurais aimĂ© que Margot ou Merlin me rĂ©ponde....] Mordred d'OrcanieMembre fondateur/administrateur en chefNombre de messages 5040Age 1534Camp Orcanie! Classe sociale Tyran d'Orcanie et Dieu dĂ©mon ? vivant !Terre l'enfer sur terre !Date d'inscription 27/03/2007Feuille de personnageReligion ChrĂ©tienStatut Social Sujet Re L'homme est un apprenti, la douleur est son maĂźtre. Mer 4 FĂ©v - 1254 hj Oui nous devons attendre l'achĂšvement du post de Merlin InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re L'homme est un apprenti, la douleur est son maĂźtre. Jeu 5 FĂ©v - 1623 Merlin dĂ©posa son bras sur celui de la prĂȘtresse d'Avalon, cousine de la reyne d'Aurey. Il ne cessait de sourire, bien qu'Ă©puisĂ© par un long voyage, bien qu'irritĂ© que d'ĂȘtre reçu avec tant de froideur. - Ma Dame! Cette femme est la derniĂšre... - ici, il marqua une brĂšve pause, cherchant un terme appropriĂ© et qui n'irriterait personne - reprĂ©sentante de la longue lignĂ©e de la famille d'Aurey. Margot d'Aurey, orpheline de toute part, cousine de la deuxiĂšme reyne d'Orcanie. Elle souhaite s'entretenir avec votre souverain. Et avec lui vieux souffla et se laissa guider par Margot, vers un siĂšge qu'il prit, sans y ĂȘtre invitĂ©. AprĂšs tout... il aurait fallut un peu de cordialitĂ©! Et conviĂ© une personne de son Ăąge et de son rang vers quelques rafraĂźchissements! N'Ă©tait-il pas un vieil ami de la famille des Pendragon? N'Ă©tait-il pas un personnage de Haut Rang? Ne reprĂ©sentait-il pas l'autoritĂ©, peu importe oĂč il se trouvait en Bretagnes? Le dĂ©prĂ©ciait-on parce qu'il avait prit sous son aile une prĂȘtresse qui avait dĂ©cidĂ© de lutter pour la survie de ces croyances?- Et moi, Ma Dame... Je viens Ă©tudier l'Ă©tat de l'Orcanie, au nom d'Avalon, mais Ă©galement avec la bĂ©nĂ©diction de mon aucunement. Un simple Je viens porter secours Ă  votre pays, menacĂ© par une terrible crĂ©ature surgit du fond des Ăąges.... comme le souhaitait l'ancienne reyne d'Orcanie! Mordred d'OrcanieMembre fondateur/administrateur en chefNombre de messages 5040Age 1534Camp Orcanie! Classe sociale Tyran d'Orcanie et Dieu dĂ©mon ? vivant !Terre l'enfer sur terre !Date d'inscription 27/03/2007Feuille de personnageReligion ChrĂ©tienStatut Social Sujet Re L'homme est un apprenti, la douleur est son maĂźtre. Jeu 5 FĂ©v - 1900 Coup de tonnerre !Les portes de la grande salle du trĂŽne s'ouvrirent soudain Ă  la volĂ©e et la premiĂšre personne a apparaĂźtre fut ... Mordred .Statique, il releva la tĂȘte, le visage fermĂ©, la haine dĂ©formant ses traits ... Mais Ă©trangement, Ă  la vue des deux indĂ©sirables, le masque du dĂ©mon tomba et ... un large sourire, certes fort inquiĂ©tant vint changer la physionomie de son visage de gamin attardĂ© .Il fit signe Ă  Talbot et Ă  ses hommes d'avancer et ouvrit la marche, il se planta ensuite devant les deux paĂŻens, en les fixant avec des yeux de braises, puis ... esquissa un lĂ©ger rictus ironique ... Alors que d'autres soldats entouraient ses "invitĂ©s"Voyez vous cela !Deux visiteurs indĂ©sirables ...MaĂźtre Merlin ... l'empoisonneur et ... Margot l'exĂ©cutante !Dit il sans rire avant de foudroyer miss D'Aurey du regard, oeillade qui semblait signifier " toi tu es Ă  moi et rien qu'Ă  moi ! "Cette femme ! Cette ... vermine du diable !! *tonna t-il en la dĂ©signant d'un index accusateur*A Ă©tĂ© dĂ©crĂ©tĂ©e proscrite et ennemie de la Bretagne par le haut roy lui mĂȘme !!PrĂ©tendez vous l'ignorer ? Messire Merlin ? ! Vous, premier conseiller d'Arthur ?!Ses titres, ainsi que tout ceux de sa maudite famille leurs ont Ă©tĂ© dĂ©niĂ©s et retirĂ©s !!Et vous vous faites son protecteur ? !Vous injuriez votre roy et ... vous m'outragez sous mon propre toit !!Pourquoi devrais je vous recevoir ou vous Ă©coutez ?Surtout ... Connaissant votre proximitĂ© avec Oph ... la fĂ©lonne ?!Et ... votre attitude plus que trouble envers ... La duchesse Blanche !Le vil tyran fit ensuite face Ă  Margot, la toisa sĂ©vĂšrement puis ... se rua sur elle pour s'emparer de ses poignets il la releva sĂšchement ...Et toi !Tu vas me suivre !Mais apercevant Blanche installĂ©e sur un siĂšge prĂšs de son trĂŽne, il entraĂźna la pauvre fille avec lui ... Mais avant ... Nous allons rendre hommage Ă  la prochaine reyne d'Orcanie !Veux tu la bougresse ?Mordred relĂącha la prĂȘtresse brutalement, puis considĂ©ra son Ă©pouse Blanche !Installez vous sur mon trĂŽne ! VoilĂ  qui Ă©tait dit sans aucune courtoisie, c'Ă©tait un ordre impĂ©rieux bref le tyran Ă©tait dĂ©chaĂźnĂ©, Dieu le pĂšre lui mĂȘme aurait eut bien du mal Ă  le raisonner alors Merlin ... qui Ă©tait encerclĂ© par les prĂ©toriens du dĂ©mon il jeta presque Margot au pied du trĂŽne, avant de sortir son Ă©pĂ©e hors de son fourreau Jure lui allĂ©geance !Rends lui hommage !Supplie lĂ  de faire preuve de clĂ©mence !Ou sinon ...Il n'osa pas achever son dĂ©but de phrase, mais appliqua la pointe de son Ă©pĂ©e entre les omoplates de la belle d'Avalon ...Le roy dĂ©ment afficha alors un large sourire .DerniĂšre Ă©dition par Mordred d'Orcanie le Dim 8 Mar - 1557, Ă©ditĂ© 2 fois Blanche d'OrcanieMembre fondateur/reyne d'OrcanieNombre de messages 1591Age 31Camp Mordred !Classe sociale Souveraine d'OrcanieTerre Orcanie !Date d'inscription 19/06/2007Feuille de personnageReligion ChrĂ©tienStatut Social Sujet Re L'homme est un apprenti, la douleur est son maĂźtre. Ven 6 FĂ©v - 2102 DiscrĂštement, la duchesse prit place a cotĂ© du trĂŽne de son roi. Elle avait figĂ© au premiĂšre parole de Mordred. Merlin un empoisonneur ? Elle avait toujours respectĂ© Merlin. Faisait-il allusion Ă  sa maladie ? Celle ou Merlin n'avait rien pu faire, ou n'aurait rien fait ?Peu importe, Blanche en dĂ©battrait plus !Installez vous sur mon trĂŽne ! La soi disante duchesse regarda le roi et su qu'elle ne pourrait le dĂ©fier cette fois. La jeune femme prit place sur le trĂŽne de Mordred, plutĂŽt mal Ă  l'aise et tenta de dĂ©chiffrer le regard du Tyran. Elle avait la gorge nouĂ©e. Pourquoi avait-il voulu sa prĂ©sence ?_________________Spoiler" Sur mon honneur je jure fidĂ©litĂ© et loyautĂ© Ă  mon Ă©poux, seigneur et maĂźtre Mordred !Car mon amour pour lui est aussi intense que sa puissance est grandissante !Que notre passion puisse durer et perdurer pour l'Ă©ternitĂ© !Gloire Ă  l'Orcanie ! " InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re L'homme est un apprenti, la douleur est son maĂźtre. Sam 7 FĂ©v - 1609 Aed le fidĂšle Ă©cuyer du Roy Ă©tait toujours Ă  ses cĂŽtĂ©s. Il l'avait suivi lors de son dĂ©placement Ă  Camelot, avait Ă©tĂ© le plus heureux des hommes quand il apprit que son maĂźtre allait se marier Ă  une bonne chrĂ©tienne qu'Ă©tait Dame Blanche, et avait assistĂ© Ă  son mariage. Aujourd'hui ils Ă©taient enfin de retour en Orcanie et Ă  Warminster. Ils avaient posĂ© leurs bottes Ă  terre qu'on leur apprit que Merlin et la dĂ©mone Margot Ă©tait ici. Le Roy Ă©tait rentrĂ© dans une colĂšre noire et avait filĂ© droit dans la salle du trĂŽne. Le jeune Aed donna jusque quelques ordres pour que les appartements du Roy soit prĂšs et le colĂšre du Roy explosa une bonne fois pour toute face Ă  Margot. Aed ne savait vraiment pas comment agir, il regarda le Roy attrapĂ© la fĂ©lonne et la jeter aux pieds de Dame Blanche. Instinctivement le jeune homme se plaça au cĂŽtĂ© de sa nouvelle maĂźtresse pour la protĂ©ger. Il regarda son maĂźtre d'un air suppliant, lui demandant sans rien prononcer de se calmer. MorgauseReine d'OrcanieNombre de messages 1324Age 33Camp OrcanieClasse sociale Reine d'OrcanieTerre OrcanieDate d'inscription 09/04/2007Feuille de personnageReligion ChrĂ©tienStatut Social Sujet Re L'homme est un apprenti, la douleur est son maĂźtre. Lun 9 FĂ©v - 701 Morgause elle non plus, fait rarissime, ne savait comment rĂ©agir. Elle allait exploser Ă  la face de Merlin quand la furie de Mordred se Ă  la face du vieux fou ? Oui, car ces "lui seul" et surtout "Ă©tudier l'Ă©tat de l'Orcanie" poussait la reine mĂšre Ă  faire un sort au vieux sorcier...Mais l'irruption d'un Mordred dĂ©chaĂźnĂ© empĂȘcha Morgause de dire ses 4 vĂ©ritĂ©s au sorcier qu'elle connaissait depuis sa tendre enfance... et c'est une Morgause effarĂ©e qui voyait son fils se prĂ©cipiter sur la derniĂšre des Aurey, ordonner Ă  Blanche terrorisĂ©e de prendre place sur le trĂŽne... Elle contempla cette fureur avec stupĂ©faction, puis avec fiertĂ©... prĂȘte Ă  apporter son soutien Ă  la tornade d'Orcanie au cas oĂč le besoin s'en ferait sentir. Geoffroy De CromwellConseiller du RoyNombre de messages 97Age 31Camp OrcanieClasse sociale Comte d'OrcanieDate d'inscription 01/12/2007Feuille de personnageReligion ChrĂ©tienStatut Social Sujet Re L'homme est un apprenti, la douleur est son maĂźtre. Dim 8 Mar - 1501 Je suis vraiment dĂ©solĂ©, je ne suis pas revenue sur le forum depuis cet Ă©tĂ©. Je vous promet un vĂ©ritable retour ^^ parmi vousDans un coin isolĂ© de cette salle en perpĂ©tuel mouvement depuis l'arrivĂ©e de cette Margot, de Merlin, de Morgause et maintenant de ce conseiller de l'escorte principale du Roy, un autre conseiller, celui-ci, par exemple, fort oubliĂ© depuis quelque temps, Ă©crivait en l'absence de Mordred, tous les dires, les faits et gestes de tous ces personnages au caractĂšre si diffĂ©rent. Geoffroy de Cromwell, fier serviteur du Roy tapis dans l'ombre depuis son intervention Ă  Camelot pour son Roy. Tapis dans l'ombre depuis que la reine Ă©tait morte et que son supĂ©rieur ait pris pour femme Blanche, la belle duchesse qui, en silence, a toujours su faire battre son cƓur de conseiller. Toutefois, il savait pertinemment que le Roy prendrait sa maĂźtresse pour successeur de la dĂ©funte reine et il en Ă©tait fort aise puisqu'il savait que c'Ă©tait une alliance judicieuse cĂŽtĂ© politique. D'ailleurs, il avait Ă©tĂ© de ceux qui avait encouragĂ© le Roy Ă  faire telle alliance avec Blanche de Camelot. Et tous ceux connaissant Geoffroy savaient que cet homme adorait les rapprochements politiques, encourageait la droiture mais, dans son fond intĂ©rieur, Ă©tait en fait une crapule qui s'exaltait de plaisir en temps de conflit. Il avait plus d'un tour dans son sac et son long silence des derniers mois ne prĂ©voyait qu'un retour plus tordu que jamais. En somme, le silence se brisera aujourd'hui mĂȘme car, autant on ne remarque pas sa prĂ©sence pendant longtemps quand il est concentrĂ© Ă  Ă©crire et en temps de dĂ©prime majeure, autant, quand il commence Ă  parler, il est fringuant, arrogant et bavard. Bref, on le distingue facilement de la revenir aux Ă©vĂšnements en cours, Geoffroy n'avait pas cessĂ© de lancer quelques regards pointus en direction de la femme d'Avalon. De plus, quand il avait observĂ© son comparse de travail Kardouai, il n'avait pu s'empĂȘcher d'Ă©mettre quelques ricanements. Ah, comme ce conseiller Ă©tait rustre quand il le voulait! Lui, il avait observĂ©, analysĂ© et bien pensĂ© Ă  la maniĂšre dont il devait rĂ©agir. Si longuement, certes, que le Roy avait eu le temps de revenir en Orcanie. Ce n'Ă©tait pas trĂšs grave. De toute façon, mĂȘme si Morgause aurait voulu qu'il rĂ©agisse avait- il en Ă©tait certain et l'avait ressenti- il avait prĂ©fĂ©rĂ© voir comment tous s'en sortaient et se rendait bien compte que rien n'avançait! Dans cette salle, planait un atmosphĂšre morne et statique, c'est-Ă -dire que s'il n'agissait pas, son Roy serait dĂ©sabusĂ© par ce manque d'ordre de la par de ses s'adressant un peu Ă  tous Ă  la fois, il s'exclama, brisant ainsi le silence de la presque arrivĂ©e du Roy'' Pourquoi tous ses dĂ©tours? Pourquoi ne pas en venir aux faits? Il est certain que la religion catholique sera toujours le cƓur battant de l'Orcanie, ça je ne le nierai pas et surtout ne le renierai jamais. Toutefois, connaissant bien son Excellence Mordred, je sais qu'il ne voudrait pas de tout ce raffut. Si vous avez quelque chose Ă  nous dire, demoiselle d'Avalon et vous, cher Merlin, dites-le immĂ©diatement avant que notre cher Mordred arrive. Je ne voudrais pas, qu'au retour de ses noces, il ne rencontre en son patelin que la discorde. De quoi avons-nous l'air en ce moment? Ne sommes-nous pas sensĂ© ĂȘtre une terre accueillante et chaleureuse d'apparence certes ? En somme, foi de Geoffroy, digne reprĂ©sentant du Roy en son absence, je suis certain que la venue de cette demoiselle mĂ©rite des explications puisque, je ne veux pas faire mon impertinent, mais je suis outrĂ© de voir Ă  quel point cette discussion tourne au vinaigre. Que diriez-vous de faire un banquet en l'honneur du retour de sa majestĂ© et de l'arrivĂ©e de cette demoiselle paĂŻenne pour tout clarifier cette mĂ©sentente? Il me semble que nous agissons toujours ainsi en Orcanie? Pourquoi cela devrait ĂȘtre diffĂ©rent, cette fois? Il n'y a pas d'entre deux ici. Soit on festoie ensemble, soit on prend les armes pour l'amour du Roy et de Dieu...''Et voilĂ  que le Roy entra en toute sa fureur et... sa ''joie'' auprĂšs de la belle Blanche et de son escorte. Et voilĂ  qu'enfin Merlin mettait les choses au clair par la mĂȘme occasion. Margot voulait s'entretenir avec le Roy en tĂȘte Ă  tĂȘte? Cela sentait mauvais toute cette affaire! Avec ces nouvelles donnĂ©es, Geoffroy se promettait de faire de nouveaux calculs. Tout ce clarifiait, mais d'une façon plutĂŽt dĂ©cousue! Encore une fois, ce conseiller promettait d'ĂȘtre la voix de la raison. Maintenant que Mordred Ă©tait lĂ , il Ă©tait trop tard pour cacher ce raffut. Toutefois, il n'Ă©tait pas trop tard pour donner quelques conseils.'' Vous dites que cette demoiselle veut s'entretenir seule avec le Roy? Et c'est seulement maintenant que vous nous le dites? Enfin, bref. Est-ce que quelques conseillers pourraient rester au cĂŽtĂ© du Roy pendant cet entretien?? Ce moment, certes, sera peut-ĂȘtre important. Il faut noter quelques Ă©changes, j'en suis convaincu afin que le royaume comprenne davantage la prĂ©sence d'Avalon ici aujourd'hui.''Ces deux discours, il avait fait exprĂšs de les dires assez fortement et presque trop tardivement pour que le Roy, entrant, comprenne en quelques lignes la voulait s'arranger pour ĂȘtre prĂšs du Roy... Mordred d'OrcanieMembre fondateur/administrateur en chefNombre de messages 5040Age 1534Camp Orcanie! Classe sociale Tyran d'Orcanie et Dieu dĂ©mon ? vivant !Terre l'enfer sur terre !Date d'inscription 27/03/2007Feuille de personnageReligion ChrĂ©tienStatut Social Sujet Re L'homme est un apprenti, la douleur est son maĂźtre. Dim 8 Mar - 1541 hj Content de revoir mon scribe favoris ! Orcaniens ! On joue le surnombre contre Merlinou et la harpie !!!- On sait jamais, ils pourraient nous rĂ©server un tour de cochon ces bestiaux lĂ  Je joke Van Mais fais gaffe les nerfs de Mordred sont Ă  fleur de peau et ... il a une crampe la !!! MorgauseReine d'OrcanieNombre de messages 1324Age 33Camp OrcanieClasse sociale Reine d'OrcanieTerre OrcanieDate d'inscription 09/04/2007Feuille de personnageReligion ChrĂ©tienStatut Social Sujet Re L'homme est un apprenti, la douleur est son maĂźtre. Lun 9 Mar - 1039 [ HJ cher Geoffroy, vous avez de la chance que j'attende la rĂ©ponse du conseiller de mon frĂšre ou de la "derniĂšre des aurey"... votre "raffut" alors que je suis sensĂ©e ĂȘtre rĂ©gente en l'absence de ton -notre Roi-, mon fils, vous aurait certainement valu volĂ©e de bois vert... mais je vieillis, moi... ] Contenu sponsorisĂ©Sujet Re L'homme est un apprenti, la douleur est son maĂźtre. L'homme est un apprenti, la douleur est son maĂźtre. Page 1 sur 1 Sujets similairesPermission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum † Hors-jeu † Personnages ArchivesSauter vers

Lhomme est un apprenti, la douleur est son maĂźtre . Adresse msn ==> gothico67@ Il Ă©TaIt uNe fOiS Un pEtIt gArÇoN QuI Se pRoMeNaIt dAnS La pRaIrIe, Un cOuTeAu Ă  lA MaIn M O T H E R F U
LE POÈTE Le mal dont j'ai souffert s'est enfui comme un rĂȘve. Je n'en puis comparer le lointain souvenir Qu'Ă  ces brouillards lĂ©gers que l'aurore soulĂšve, Et qu'avec la rosĂ©e on voit s'Ă©vanouir. LA MUSE Qu'aviez-vous donc, ĂŽ mon poĂšte ! Et quelle est la peine secrĂšte Qui de moi vous a sĂ©parĂ© ? HĂ©las ! je m'en ressens encore. Quel est donc ce mal que j'ignore Et dont j'ai si longtemps pleurĂ© ? LE POÈTE C'Ă©tait un mal vulgaire et bien connu des hommes ; Mais, lorsque nous avons quelque ennui dans le coeur, Nous nous imaginons, pauvres fous que nous sommes, Que personne avant nous n'a senti la douleur. LA MUSE Il n'est de vulgaire chagrin Que celui d'une Ăąme vulgaire. Ami, que ce triste mystĂšre S'Ă©chappe aujourd'hui de ton sein. Crois-moi, parle avec confiance ; Le sĂ©vĂšre dieu du silence Est un des frĂšres de la Mort ; En se plaignant on se console, Et quelquefois une parole Nous a dĂ©livrĂ©s d'un remord. LE POÈTE S'il fallait maintenant parler de ma souffrance, Je ne sais trop quel nom elle devrait porter, Si c'est amour, folie, orgueil, expĂ©rience, Ni si personne au monde en pourrait profiter. Je veux bien toutefois t'en raconter l'histoire, Puisque nous voilĂ  seuls, assis prĂšs du foyer. Prends cette lyre, approche, et laisse ma mĂ©moire Au son de tes accords doucement s'Ă©veiller. LA MUSE Avant de me dire ta peine, Ô poĂšte ! en es-tu guĂ©ri ? Songe qu’il t’en faut aujourd’hui Parler sans amour et sans haine. S’il te souvient que j’ai reçu Le doux nom de consolatrice, Ne fais pas de moi la complice Des passions qui t’ont perdu, LE POÈTE Je suis si bien guĂ©ri de cette maladie, Que j’en doute parfois lorsque j’y veux songer ; Et quand je pense aux lieux oĂč j’ai risquĂ© ma vie, J’y crois voir Ă  ma place un visage Ă©tranger. Muse, sois donc sans crainte ; au souffle qui t’inspire Nous pouvons sans pĂ©ril tous deux nous confier. Il est doux de pleurer, il est doux de sourire Au souvenir des maux qu’on pourrait oublier. LA MUSE Comme une mĂšre vigilante Au berceau d’un fils bien-aimĂ©, Ainsi je me penche tremblante Sur ce coeur qui m’était fermĂ©. Parle, ami, – ma lyre attentive D’une note faible et plaintive Suit dĂ©jĂ  l’accent de ta voix, Et dans un rayon de lumiĂšre, Comme une vision lĂ©gĂšre, Passent les ombres d’autrefois. LE POÈTE Jours de travail ! seuls jours oĂč j’ai vĂ©cu ! Ô trois fois chĂšre solitude ! Dieu soit louĂ©, j’y suis donc revenu, À ce vieux cabinet d’étude ! Pauvre rĂ©duit, murs tant de fois dĂ©serts, Fauteuils poudreux, lampe fidĂšle, Ô mon palais, mon petit univers, Et toi, Muse, ĂŽ jeune immortelle, Dieu soit louĂ©, nous allons donc chanter ! Oui, je veux vous ouvrir mon Ăąme, Vous saurez tout, et je vais vous conter Le mal que peut faire une femme ; Car c’en est une, ĂŽ mes pauvres amis HĂ©las ! vous le saviez peut-ĂȘtre, C’est une femme Ă  qui je fus soumis, Comme le serf l’est Ă  son maĂźtre. Joug dĂ©testĂ© ! c’est par lĂ  que mon coeur Perdit sa force et sa jeunesse ; - Et cependant, auprĂšs de ma maĂźtresse, J’avais entrevu le bonheur. PrĂšs du ruisseau, quand nous marchions ensemble, Le soir, sur le sable argentin, Quand devant nous le blanc spectre du tremble De loin nous montrait le chemin ; Je vois encore, aux rayons de la lune, Ce beau corps plier dans mes bras
 N’en parlons plus
 – je ne prĂ©voyais pas OĂč me conduirait la Fortune. Sans doute alors la colĂšre des dieux Avait besoin d’une victime ; Car elle m’a puni comme d’un crime D’avoir essayĂ© d’ĂȘtre heureux. LA MUSE L’image d’un doux souvenir Vient de s’offrir Ă  ta pensĂ©e. Sur la trace qu’il a laissĂ©e Pourquoi crains-tu de revenir ? Est-ce faire un rĂ©cit fidĂšle Que de renier ses beaux jours ? Si ta fortune fut cruelle, Jeune homme, fais du moins comme elle, Souris Ă  tes premiers amours. LE POÈTE Non, – c’est Ă  mes malheurs que je prĂ©tends sourire. Muse, je te l’ai dit je veux, sans passion, Te conter mes ennuis, mes rĂȘves, mon dĂ©lire, Et t’en dire le temps, l’heure et l’occasion. C’était, il m’en souvient, par une nuit d’automne, Triste et froide, Ă  peu prĂšs semblable Ă  celle-ci ; Le murmure du vent, de son bruit monotone, Dans mon cerveau lassĂ© berçait mon noir souci. J’étais Ă  la fenĂȘtre, attendant ma maĂźtresse ; Et, tout en Ă©coutant dans cette obscuritĂ©, Je me sentais dans l’ñme une telle dĂ©tresse Qu’il me vint le soupçon d’une infidĂ©litĂ©. La rue oĂč je logeais Ă©tait sombre et dĂ©serte ; Quelques ombres passaient, un falot Ă  la main ; Quand la bise sifflait dans la porte entr’ouverte, On entendait de loin comme un soupir humain. Je ne sais, Ă  vrai dire, Ă  quel fĂącheux prĂ©sage Mon esprit inquiet alors s’abandonna. Je rappelais en vain un reste de courage, Et me sentis frĂ©mir lorsque l’heure sonna. Elle ne venait pas. Seul, la tĂȘte baissĂ©e, Je regardai longtemps les murs et le chemin, - Et je ne t’ai pas dit quelle ardeur insensĂ©e Cette inconstante femme allumait en mon sein ; Je n’aimais qu’elle au monde, et vivre un jour sans elle Me semblait un destin plus affreux que la mort. Je me souviens pourtant qu’en cette nuit cruelle Pour briser mon lien je fis un long effort. Je la nommai cent fois perfide et dĂ©loyale, Je comptai tous les maux qu’elle m’avait causĂ©s. HĂ©las ! au souvenir de sa beautĂ© fatale, Quels maux et quels chagrins n’étaient pas apaisĂ©s ! Le jour parut enfin. – Las d’une vaine attente, Sur le bord du balcon je m’étais assoupi ; Je rouvris la paupiĂšre Ă  l’aurore naissante, Et je laissai flotter mon regard Ă©bloui. Tout Ă  coup, au dĂ©tour de l’étroite ruelle, J’entends sur le gravier marcher Ă  petit bruit
 Grand Dieu ! prĂ©servez-moi ! je l’aperçois, c’est elle ; Elle entre. – D’oĂč viens-tu ? Qu’as-tu fait cette nuit ? RĂ©ponds, que me veux-tu ? qui t’amĂšne Ă  cette heure ? Ce beau corps, jusqu’au jour, oĂč s’est-il Ă©tendu ? Tandis qu’à ce balcon, seul, je veille et je pleure, En quel lieu, dans quel lit, Ă  qui souriais-tu ? Perfide ! audacieuse ! est-il encor possible Que tu viennes offrir ta bouche Ă  mes baisers ? Que demandes-tu donc ? par quelle soif horrible Oses-tu m’attirer dans tes bras Ă©puisĂ©s ? Va-t’en, retire-toi, spectre de ma maĂźtresse ! Rentre dans ton tombeau, si tu t’en es levĂ© ; Laisse-moi pour toujours oublier ma jeunesse, Et, quand je pense Ă  toi, croire que j’ai rĂȘvĂ© ! LA MUSE Apaise-toi, je t’en conjure ; Tes paroles m’ont fait frĂ©mir. Ô mon bien-aimĂ© ! ta blessure Est encor prĂȘte Ă  se rouvrir. HĂ©las ! elle est donc bien profonde ? Et les misĂšres de ce monde Sont si lentes Ă  s’effacer ! Oublie, enfant, et de ton Ăąme Chasse le nom de cette femme, Que je ne veux pas prononcer. LE POÈTE Honte Ă  toi qui la premiĂšre M’as appris la trahison, Et d’horreur et de colĂšre M’as fait perdre la raison ! Honte Ă  toi, femme Ă  l’oeil sombre, Dont les funestes amours Ont enseveli dans l’ombre Mon printemps et mes beaux jours ! C’est ta voix, c’est ton sourire, C’est ton regard corrupteur, Qui m’ont appris Ă  maudire Jusqu’au semblant du bonheur ; C’est ta jeunesse et tes charmes Qui m’ont fait dĂ©sespĂ©rer, Et si je doute des larmes, C’est que je t’ai vu pleurer. Honte Ă  toi, j’étais encore Aussi simple qu’un enfant ; Comme une fleur Ă  l’aurore, Mon coeur s’ouvrait en t’aimant. Certes, ce coeur sans dĂ©fense Put sans peine ĂȘtre abusĂ© ; Mais lui laisser l’innocence Était encor plus aisĂ©. Honte Ă  toi ! tu fus la mĂšre De mes premiĂšres douleurs, Et tu fis de ma paupiĂšre Jaillir la source des pleurs ! Elle coule, sois-en sĂ»re, Et rien ne la tarira ; Elle sort d’une blessure Qui jamais ne guĂ©rira ; Mais dans cette source amĂšre Du moins je me laverai, Et j’y laisserai, j’espĂšre, Ton souvenir abhorrĂ© ! LA MUSE PoĂšte, c’est assez. AuprĂšs d’une infidĂšle, Quand ton illusion n’aurait durĂ© qu’un jour, N’outrage pas ce jour lorsque tu parles d’elle ; Si tu veux ĂȘtre aimĂ©, respecte ton amour. Si l’effort est trop grand pour la faiblesse humaine De pardonner les maux qui nous viennent d’autrui, Épargne-toi du moins le tourment de la haine ; À dĂ©faut du pardon, laisse venir l’oubli. Les morts dorment en paix dans le sein de la terre Ainsi doivent dormir nos sentiments Ă©teints. Ces reliques du coeur ont aussi leur poussiĂšre ; Sur leurs restes sacrĂ©s ne portons pas les mains. Pourquoi, dans ce rĂ©cit d’une vive souffrance, Ne veux-tu voir qu’un rĂȘve et qu’un amour trompĂ© ? Est-ce donc sans motif qu’agit la Providence Et crois-tu donc distrait le Dieu qui t’a frappĂ© ? Le coup dont tu te plains t’a prĂ©servĂ© peut-ĂȘtre, Enfant ; car c’est par lĂ  que ton coeur s’est ouvert. L’homme est un apprenti, la douleur est son maĂźtre, Et nul ne se connaĂźt tant qu’il n’a pas souffert. C’est une dure loi, mais une loi suprĂȘme, Vieille comme le monde et la fatalitĂ©, Qu’il nous faut du malheur recevoir le baptĂȘme, Et qu’à ce triste prix tout doit ĂȘtre achetĂ©. Les moissons pour mĂ»rir ont besoin de rosĂ©e ; Pour vivre et pour sentir l’homme a besoin des pleurs ; La joie a pour symbole une plante brisĂ©e, Humide encor de pluie et couverte de fleurs. Ne te disais-tu pas guĂ©ri de ta folie ? N’es-tu pas jeune, heureux, partout le bienvenu ? Et ces plaisirs lĂ©gers qui font aimer la vie, Si tu n’avais pleurĂ©, quel cas en ferais-tu ? Lorsqu’au dĂ©clin du jour, assis sur la bruyĂšre, Avec un vieil ami tu bois en libertĂ©, Dis-moi, d’aussi bon coeur lĂšverais-tu ton verre, Si tu n’avais senti le prix de la gaĂźtĂ© ? Aimerais-tu les fleurs, les prĂ©s et la verdure, Les sonnets de PĂ©trarque et le chant des oiseaux, Michel-Ange et les arts, Shakspeare et la nature, Si tu n’y retrouvais quelques anciens sanglots ? Comprendrais-tu des cieux l’ineffable harmonie, Le silence des nuits, le murmure des flots, Si quelque part lĂ -bas la fiĂšvre et l’insomnie Ne t’avaient fait songer Ă  l’éternel repos ? N’as-tu pas maintenant une belle maĂźtresse ? Et, lorsqu’en t’endormant tu lui serres la main, Le lointain souvenir des maux de ta jeunesse Ne rend-il pas plus doux son sourire divin ? N’allez-vous pas aussi vous promener ensemble Au fond des bois fleuris, sur le sable argentin ? Et, dans ce vert palais, le blanc spectre du tremble Ne sait-il plus, le soir, vous montrer le chemin ? Ne vois-tu pas alors, aux rayons de la lune, Plier comme autrefois un beau corps dans tes bras, Et si dans le sentier tu trouvais la Fortune, DerriĂšre elle, en chantant, ne marcherais-tu pas ? De quoi te plains-tu donc ? L’immortelle espĂ©rance S’est retrempĂ©e en toi sous la main du malheur. Pourquoi veux-tu haĂŻr ta jeune expĂ©rience, Et dĂ©tester un mal qui t’a rendu meilleur ? Ô mon enfant ! plains-la, cette belle infidĂšle, Qui fit couler jadis les larmes de tes yeux ; Plains-la ! c’est une femme, et Dieu t’a fait, prĂšs d’elle, Deviner, en souffrant, le secret des heureux. Sa tĂąche fut pĂ©nible ; elle t’aimait peut-ĂȘtre ; Mais le destin voulait qu’elle brisĂąt ton coeur. Elle savait la vie, et te l’a fait connaĂźtre ; Une autre a recueilli le fruit de ta douleur. Plains-la ! son triste amour a passĂ© comme un songe ; Elle a vu ta blessure et n’a pu la fermer. Dans ses larmes, crois-moi, tout n’était pas mensonge. Quand tout l’aurait Ă©tĂ©, plains-la ! tu sais aimer. LE POÈTE Tu dis vrai la haine est impie, Et c’est un frisson plein d’horreur Quand cette vipĂšre assoupie Se dĂ©roule dans notre coeur. Écoute-moi donc, ĂŽ dĂ©esse ! Et sois tĂ©moin de mon serment Par les yeux bleus de ma maĂźtresse, Et par l’azur du firmament ; Par cette Ă©tincelle brillante Qui de VĂ©nus porte le nom, Et, comme une perle tremblante, Scintille au loin sur l’horizon ; Par la grandeur de la nature, Par la bontĂ© du CrĂ©ateur, Par la clartĂ© tranquille et pure De l’astre cher au voyageur. Par les herbes de la prairie, Par les forĂȘts, par les prĂ©s verts, Par la puissance de la vie, Par la sĂšve de l’univers, Je te bannis de ma mĂ©moire, Reste d’un amour insensĂ©, MystĂ©rieuse et sombre histoire Qui dormiras dans le passĂ© ! Et toi qui, jadis, d’une amie Portas la forme et le doux nom, L’instant suprĂȘme oĂč je t’oublie Doit ĂȘtre celui du pardon. Pardonnons-nous ; – je romps le charme Qui nous unissait devant Dieu. Avec une derniĂšre larme Reçois un Ă©ternel adieu. - Et maintenant, blonde rĂȘveuse, Maintenant, Muse, Ă  nos amours ! Dis-moi quelque chanson joyeuse, Comme au premier temps des beaux jours. DĂ©jĂ  la pelouse embaumĂ©e Sent les approches du matin ; Viens Ă©veiller ma bien-aimĂ©e, Et cueillir les fleurs du jardin. Viens voir la nature immortelle Sortir des voiles du sommeil ; Nous allons renaĂźtre avec elle Au premier rayon du soleil !
Lhomme est un apprenti, la douleur est son maĂźtre, Et nul ne se connaĂźt tant qu'il n'a pas souffert. [Alfred de Musset] Ignorant d'oĂč je viens, incertain oĂč je vais. les forumsForum Blabla 18-25 ans Etoile Abonnement RSS RĂ©glages Mise en forme JVCode Afficher les avatars Afficher les signatures Afficher les spoilers Miniatures Noelshack Sujet L'Homme est un apprenti . RĂ©pondreNouveau sujetListe des sujets 1 juju299999 MP 11 dĂ©cembre 2010 Ă  135247 la douleur est son maĂźtre . Musset Bus-Jacking MP 11 dĂ©cembre 2010 Ă  135304 Nul. 1 Nouveau sujetListe des sujets RĂ©pondre PrĂ©visu ? Victime de harcĂšlement en ligne comment rĂ©agir ? Sous-forums Religion Infos 0 connectĂ©s Gestion du forum ModĂ©rateurs Suumas, Love-n-peace, odoki, LikeGod, [FIREWORK] Contacter les modĂ©rateurs - RĂšgles du forum Sujets Ă  ne pas manquer Aucun sujet Ă  ne pas manquer La vidĂ©o du moment CitationsL homme est un apprenti la douleur est son maitre Meilleures Courtes 1 citation (ou proverbe) Citation Homme & Douleur L'homme est un
12 octobre 2009 par webmaster Laisser une rĂ©ponse » Dans mon bouquin mon pĂŽte Alex m’a Ă©crit cette pensĂ©e d’Alfred de Musset L’homme est un apprenti, la douleur est son maĂźtre, et nul ne se connaĂźt tant qu’il n’a pas souffert.? En voyant le Thalassa de vendredi on constate la force et l’énergie de tous les stagiaires, chacun a sa part de souffrances et d’injustices et le miracle de la vie fait que tout le monde rĂ©ussi Ă  trouver la petite Ă©tincelle pour allumer le grand feu de la vie. J’ai Ă©tĂ© heureux de partager cette semaine avec vous et comme le symbolise cette photo rien n’est impossible ». Il ne faut pas oublier d’oĂč on vient sans ĂȘtre passĂ©iste et regarder le futur sans oublier que le plus important c’est l’instant prĂ©sent. Dans quelques mois je pars pour une longue aventure qui m’isolera longtemps, sachez que vos sourires m’accompagneront dans les moments difficiles. Je continuerai la croisade Bout de vie car je crois que sur cette terre d’égoĂŻstes et de nombrilistes les vraies valeurs sont, l’amour et le partage. Tous le reste n’est qu’éphĂ©mĂšre comme notre passage sur terre d’ailleurs. Je vous embrasse tous et que votre chemin ne soit plus qu’un sentier de lumiĂšre qui Ă  son tour Ă©clairera les autres. PS Jo Zef s’est vu dans les bras de Louane dans le reportage ! Je vous explique pas comme il frime maintenant !!! A pluche
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