Lemariage est une institution divine. 1. « L'Éternel Dieu dit : Il n'est pas bon que l'homme soit seul ; je lui ferai une aide semblable Ă  lui » (GenĂšse 2:18). 2. « L'Éternel Dieu forma une femme de la cĂŽte qu'il avait prise de l'homme, et il l'amena vers l'homme. Et l'homme dit : Voici cette fois celle qui est os de mes os et chair de L’homme, chef » de la femme ? par Jean-Pierre BORY Paul Ă©crit en 1 Co avec une certaine fermetĂ© et le rĂ©pĂšte presque mot Ă  mot en Ep Je veux que vous sachiez que de tout homme, la tĂȘte kephalĂš c’est Christ, la tĂȘte de la femme c’est l’homme, la tĂȘte de Christ c’est Dieu ». Le triple usage de ce mot kephalĂš dans trois expressions parallĂšles d’une mĂȘme phrase oblige Ă  lui donner un sens proche, voire identique dans chaque cas. Certains auteurs ont voulu attĂ©nuer ce qui apparaĂźt ici comme une suprĂ©matie masculine sur la femme ; ils y ont vu une influence culturelle qui aurait marquĂ© la conception de l’auteur ; ils rapprochent le dĂ©but du v. 3 du v. 8 de 1 Co 11 en relevant qu’Adam est plutĂŽt la source » de la femme créée aprĂšs l’homme, et Ă  partir d’une cĂŽte de l’homme selon Gn Cependant, il est difficile d’enlever au mot kephalĂš un sens de primautĂ©, de prééminence dans les deux expressions suivantes de 1 Co l’homme n’est pas l’égal de Christ, fut-il croyant et enfant de Dieu ; et le Christ reconnaĂźt la prééminence du PĂšre par rapport Ă  lui-mĂȘme en tant que personne, mĂȘme s’il y a identitĂ© d’essence entre le PĂšre et le Fils Tu m’as envoyĂ© » Jn JĂ©sus a appris l’obĂ©issance bien qu’il fĂ»t Fils » HĂ© Dans ce dernier verset on a pensĂ© que ce n’était que dans sa nature humaine que JĂ©sus avait souffert et s’était soumis ; toutefois d’autres textes suggĂšrent que ce respect du Fils par rapport Ă  la volontĂ© du PĂšre prĂ©cĂšde de loin le temps de l’incarnation Jn ; ; ; Ep ; Dieu est celui qui a conçu le dessein du salut par l’envoi du Fils. Par ailleurs, dans le Nouveau Testament, le mot kephalĂš n’a jamais le sens de source hormis son emploi en 1 Co on le trouve dans 74 autres textes 58 fois avec le sens de tĂȘte, 11 fois de façon imagĂ©e il dĂ©signe le chef de l’armĂ©e, la tĂȘte de l’armĂ©e, et 5 fois encore il signale qu’une chose est principale par exemple en Luc la pierre principale de l’angle ». Il serait surprenant que kephalĂš ait une seule fois le sens de source dans 1 Co sans idĂ©e de primautĂ©, de prééminence. Comment comprendre alors cette primautĂ© de l’homme sur la femme ? La Bible met en Ă©vidence que les trois personnes de la trinitĂ© se prĂ©sentent dans un ordre », et non sur le mĂȘme rang. Nous voyons le PĂšre prendre des initiatives avant la fondation du monde » Ep Le PĂšre et Le Fils sont associĂ©s dans l’envoi du Saint-Esprit Jn Et mĂȘme dans la gloire retrouvĂ©e, le Fils lui-mĂȘme se placera sous l’autoritĂ© de celui qui lui a tout soumis » 1 Co On ne peut que reconnaĂźtre un ordre dans la trinitĂ© le PĂšre, puis le Fils, puis le Saint-Esprit, tout en affirmant la pleine Ă©galitĂ© de ces trois personnes, en essence, en puissance, en divinitĂ©, en gloire le Fils et le PĂšre sont unis intrinsĂšquement le PĂšre est en moi et je suis dans le PĂšre Jn ; tout ce que le PĂšre a est Ă  moi Jn La trinitĂ© reste un mystĂšre pour nous Ă  nos yeux, prééminence du PĂšre et unitĂ© d’essence du PĂšre et du Fils semblent faire paradoxe, pourtant les textes bibliques affirment ces deux vĂ©ritĂ©s. L’analogie faite par l’apĂŽtre Paul Ă  plusieurs reprises entre la relation qui existe Ă  l’intĂ©rieur du couple humain avec celle qui l’est dans la trinitĂ©, aide Ă  saisir les nuances difficiles Ă  exprimer dans nos mots lorsque nous voulons dĂ©crire cette relation Paul affirme dans le couple homme-femme comme dans la trinitĂ© une unitĂ© de nature, une Ă©galitĂ© de valeur et un ordre des personnes. C’est Ă  l’homme de prendre certaines initiatives en tant que tĂȘte» du couple, mais il se doit aussi d’imiter le Christ, tĂȘte de l’Eglise » qui a aimĂ© l’Eglise et a donnĂ© sa vie pour elle, qui s’est fait serviteur lui-mĂȘme des disciples dont il Ă©tait le maĂźtre, invitant les disciples Ă  l’imiter. Devant Dieu, homme et femme sont Ă©galement objets de son amour, ont Ă©galement accĂšs au salut et Ă  sa communion Ga cependant Dieu confĂšre Ă  l’homme des responsabilitĂ©s et une mission particuliĂšre vis-Ă -vis de son Ă©pouse, responsabilitĂ©s qu’il ne peut toutefois accomplir en dominant mais en aimant et en servant. EnFrance, les hommes sont rĂ©munĂ©rĂ©s en moyenne 28,5 % de plus que les femmes.; En France, 76 % des emplois en temps partiel sont occupĂ©s par des femmes. Les femmes sont surreprĂ©sentĂ©es en France dans le secteur du soin. Par exemple, 91% des aides-soignante·s sont des femmes. 42 % des femmes disent qu’elles ne peuvent avoir un travail Question RĂ©ponse 1 Corinthiens aborde la question des femmes et du voile. Le contexte de ce passage est la soumission Ă  lÊŒordre instituĂ© par Dieu et Ă  la chaĂźne dÊŒautoritĂ© ». Le voile qui couvre la tĂȘte dÊŒune femme est employĂ© pour illustrer lÊŒordre, la seigneurie et lÊŒautoritĂ© divine. Le verset-clĂ© de ce passage est 1 Corinthiens Je veux cependant que vous sachiez ceci Christ est le chef de tout homme, lÊŒhomme est le chef de la femme, et Dieu est le chef de Christ. » Le reste du passage traite des implications de cette vĂ©ritĂ©. Voici lÊŒordre dÊŒautoritĂ© Dieu le PĂšre, Dieu le Fils, le mari, puis la femme. Le voile qui couvrait la tĂȘte dÊŒune femme corinthienne croyante montrait quÊŒelle Ă©tait sous lÊŒautoritĂ© de son mari, donc soumise Ă  Dieu. Le verset 10 est intĂ©ressant VoilĂ  pourquoi, Ă  cause des anges, la femme doit porter sur la tĂȘte une marque dÊŒautoritĂ©. » Pourquoi est-ce important pour les anges quÊŒune femme se couvre la tĂȘte ? Nous savons que les hommes apprennent de la relation de Dieu avec lÊŒhumanitĂ© 1 Pierre La soumission dÊŒune femme Ă  lÊŒautoritĂ© dĂ©lĂ©guĂ©e par Dieu est donc un exemple pour les anges. Les saints anges, qui sont parfaitement soumis Ă  Dieu, sÊŒattendent Ă  ce que nous, en tant que disciples de Christ, le soyons aussi. La couverture mentionnĂ©e au verset 13 pouvait ĂȘtre un tissu, mais aussi une rĂ©fĂ©rence Ă  la longueur des cheveux dÊŒune femme, comme le montrent les deux versets suivants La nature elle-mĂȘme ne vous enseigne-t-elle pas que cÊŒest une honte pour lÊŒhomme de porter les cheveux longs, alors que cÊŒest une gloire pour la femme dÊŒen porter parce que la chevelure lui a Ă©tĂ© donnĂ©e pour lui servir de voile. » 1 Corinthiens Dans le contexte de ce passage, une femme aux cheveux plus longs se distingue clairement en tant que femme, et non en tant quÊŒhomme. LÊŒapĂŽtre Paul dit que, dans la culture corinthienne, quand les cheveux dÊŒune femme Ă©taient plus longs que ceux de son mari, cela montrait sa soumission Ă  son autoritĂ©. Les rĂŽles masculin et fĂ©minin ont Ă©tĂ© conçus par Dieu pour symboliser une leçon spirituelle profonde la soumission Ă  la volontĂ© et Ă  lÊŒordre de Dieu. Mais pourquoi les cheveux Ă©taient-ils un problĂšme Ă  Corinthe ? La rĂ©ponse est liĂ©e Ă  la culture de lÊŒĂ©poque la ville de Corinthe avait un temple dĂ©diĂ© Ă  Aphrodite, la dĂ©esse de lÊŒamour, un endroit rĂ©putĂ© pour sa pratique de la prostitution sacrĂ©e. Les femmes qui servaient dans le temple avaient la tĂȘte rasĂ©e. Dans la culture corinthienne, une femme Ă  la tĂȘte rasĂ©e Ă©tait une prostituĂ©e du temple. Paul Ă©crit Ă  lÊŒĂ‰glise quÊŒune femme tondue ou rasĂ©e devait avoir la tĂȘte couverte 1 Corinthiens parce quÊŒune femme dĂ©pouillĂ©e de ses cheveux avait perdu sa gloire » et nÊŒĂ©tait pas sous la protection dÊŒun mari. Une tĂȘte rasĂ©e et dĂ©couverte communiquait le message suivant Je refuse de me soumettre Ă  lÊŒordre divin. » Par consĂ©quent, Paul enseigne aux Corinthiens que la longueur des cheveux ou le port dÊŒun voile par une femme Ă©taient une manifestation extĂ©rieure de sa soumission Ă  Dieu et Ă  lÊŒautoritĂ© Ă©tablie par lui. CÊŒĂ©tait une maniĂšre pour lÊŒĂ‰glise de Corinthe de se sĂ©parer de la culture paĂŻenne corrompue qui les environnait 2 Corinthiens Ce passage nÊŒenseigne pas que la femme est infĂ©rieure Ă  lÊŒhomme ou quÊŒelle doit ĂȘtre soumise Ă  chaque homme il expose seulement lÊŒordre divin et la direction spirituelle dans la relation conjugale. Dans la culture corinthienne, une femme qui se couvrait la tĂȘte pendant le culte ou en public manifestait sa soumission Ă  lÊŒautoritĂ©. Dans notre culture aujourdÊŒhui, le voile fĂ©minin nÊŒest plus considĂ©re comme un signe de soumission. Dans la plupart des sociĂ©tĂ©s modernes, les foulards et couvre-chefs ne sont rien de plus que des accessoires de mode. Une femme dÊŒaujourdÊŒhui peut toujours porter un voile si elle le considĂšre comme un signe de sa soumission Ă  lÊŒautoritĂ© de son mari, mais cÊŒest un choix personnel et non un signe de spiritualitĂ©. Le vĂ©ritable problĂšme est lÊŒattitude du cƓur lÊŒobĂ©issance et la soumission Ă  lÊŒautoritĂ© comme au Seigneur » ÉphĂ©siens Dieu se soucie bien plus de ce quÊŒil y a dans nos cƓurs que de ce qui couvre nos tĂȘtes. English Retour Ă  la page d'accueil en français Les femmes chrĂ©tiennes doivent-elles se couvrir la tĂȘte ? Surtoutquand l’homme est plus ĂągĂ©, qu’il a une aura, de par sa fonction, son intelligence C’est l’homme fort. Mais la femme qui lui est attachĂ©e est forte, elle aussi. C’est elle RĂ©servĂ© aux abonnĂ©s PubliĂ© hier Ă  0800, Mis Ă  jour hier Ă  1042 Christine Lagarde se confie Ă  Madame Figaro depuis son bureau Ă  Francfort. Matias Indjic ENTRETIEN EXCLUSIF - Pour Madame Figaro, la prĂ©sidente de la Banque centrale europĂ©enne revient sur deux annĂ©es intenses, entre pandĂ©mie, guerre en Ukraine et inflation. Elle nous parle d'elle, des dĂ©fis Ă  relever et de sa vision pour l'avenir. Pour la voir, il faut passer plusieurs sas. Celui du calendrier mĂ©diatique, d'abord. Christine Lagarde n'appartient plus Ă  la France depuis longtemps, mais doit depuis le 1er novembre 2019 – date de sa nomination Ă  la tĂȘte de la Banque centrale europĂ©enne BCE – se partager entre les 19 pays de l'Union europĂ©enne utilisant l'euro. Ce qui rĂ©duit la fenĂȘtre de tir et contribue Ă  rendre sa parole rare et prĂ©cieuse. Le second sas, lui, est physique. À l'image de cette tour Ă  la fois anguleuse et torsadĂ©e – signĂ©e de l'architecte autrichien Wolf Dieter Prix – qui s'Ă©lĂšve sur les rives du Main, Ă  Francfort, la prĂ©sidente semble presque isolĂ©e dans son bureau du 40e Ă©tage – quand seuls les badges d'une garde rapprochĂ©e peuvent dĂ©passer le 37e. Deux ascenseurs et un couloir plus loin, elle est lĂ , souriante, accessible, dans son bureau de verre qui surplombe la coulĂ©e verte du quartier d'Ostend et cette ville oĂč elle rĂ©side la semaine – elle essaie de rentrer autant que possible le week-end en
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Lhomme, « chef » de la femme ? par Jean-Pierre Bory Paul Ă©crit en 1 Co 11.3 avec une certaine fermetĂ© (et le rĂ©pĂšte presque mot Ă  mot en Ep 5.23-24) : « Je veux que vous sachiez que de tout homme, la tĂȘte (kephalĂš) c'est Christ, la tĂȘte de la femme c'est l'homme, la tĂȘte de Christ c'est Dieu ». Le triple usage de ce mot kephalĂš
Question RĂ©ponse Bien que l’homme et la femme soient Ă©gaux devant Christ, les Écritures leur attribuent des rĂŽles spĂ©cifiques dans le mariage. Le mari doit assumer la direction du foyer 1 Corinthiens ÉphĂ©siens Son rĂŽle de chef de famille ne doit pas ĂȘtre autoritaire, hautain ou condescendant envers la femme, mais doit suivre l’exemple de Christ avec l’Église. Maris, aimez votre femme comme Christ a aimĂ© l’Église. Il s’est donnĂ© lui-mĂȘme pour elle afin de la conduire Ă  la saintetĂ© aprĂšs l’avoir purifiĂ©e et lavĂ©e par l’eau de la parole. » ÉphĂ©siens Christ a aimĂ© l’Église son peuple avec compassion, misĂ©ricorde, pardon et respect, sans rien attendre en retour. C’est ainsi que les maris doivent aimer leurs Ă©pouses. Les femmes doivent se soumettre Ă  l’autoritĂ© de leur mari. Femmes, soumettez-vous Ă  votre mari comme au Seigneur, car le mari est le chef de la femme, comme Christ est le chef de l’Église qui est son corps et dont il est le Sauveur. Mais tout comme l’Église se soumet Ă  Christ, que les femmes aussi se soumettent en tout Ă  leur mari. » ÉphĂ©siens Si les femmes doivent se soumettre Ă  leur mari, la Bible dit aussi Ă  plusieurs reprises aux hommes comment ils doivent se comporter avec leur femme pas comme des dictateurs, mais et la respectant, elle et ses opinions. En fait, ÉphĂ©siens exhorte les maris Ă  aimer leurs femmes comme leur propre corps, qu’ils nourrissent et dont ils prennent soin. L’amour d’un homme pour sa femme devrait ĂȘtre le mĂȘme que l’amour de Christ pour son corps, l’Église. Femmes, soumettez-vous Ă  votre mari comme il convient dans le Seigneur. Maris, aimez votre femme et ne vous aigrissez pas contre elle. » Colossiens Maris, vivez de mĂȘme en montrant de la comprĂ©hension Ă  votre femme, en tenant compte de sa nature plus dĂ©licate ; montrez-lui de l’estime, car elle doit hĂ©riter avec vous de la grĂące de la vie. Agissez ainsi afin que rien ne fasse obstacle Ă  vos priĂšres. » 1 Pierre Dans ces versets, on voit que le rĂŽle du mari comme de la femme se caractĂ©rise par l’amour et le respect. À partir de lĂ , l’autoritĂ©, la direction, l’amour et la soumission ne poseront problĂšme Ă  aucun des deux conjoints. Pour ce qui est du partage des responsabilitĂ©s au sein du foyer, la Bible demande aux maris de pourvoir aux besoins de leurs familles. Cela implique qu’il travaille et gagne assez d’argent pour pourvoir Ă  tous les besoins de la vie quotidienne pour sa femme et ses enfants. Manquer Ă  cela a des consĂ©quences spirituelles claires Si quelqu’un ne prend pas soin des siens, et en particulier des membres de sa famille proche, il a reniĂ© la foi et il est pire qu’un non-croyant. »1 TimothĂ©e Un mari qui ne fait aucun effort pour pourvoir aux besoins de sa famille ne peut donc pas, en toute bonne conscience, se dire chrĂ©tien. Cela ne signifie pas dire que l’épouse ne puisse pas l’aider dans cette tĂąche Proverbes 31 montre qu’une femme de valeur le fera certainement ; toutefois, ce n’est pas sa premiĂšre responsabilitĂ©, mais celle de son mari. Si le mari doit aider sa femme Ă  s’occuper des enfants et participer aux tĂąches mĂ©nagĂšres conformĂ©ment Ă  son devoir d’aimer sa femme, Proverbes 31 dit clairement que le foyer est la principale sphĂšre d’influence et de responsabilitĂ© de la femme. MĂȘme si elle doit se coucher tard et se lever tĂŽt, elle s’occupe bien de sa famille. Vivre ainsi n’est pas facile pour beaucoup de femmes, surtout dans les pays occidentaux dĂ©veloppĂ©s. Beaucoup trop de femmes sont stressĂ©es et dĂ©bordĂ©es jusqu’à l’épuisement. Pour Ă©viter cela, les deux conjoints doivent réévaluer leurs prioritĂ©s dans la priĂšre et suivre les injonctions bibliques quant leurs rĂŽles respectifs. Les conflits concernant la rĂ©partition des tĂąches dans le mariage sont inĂ©vitables, mais si les deux conjoints sont soumis Ă  Christ, leur ampleur restera minime. Si les disputes Ă  ce sujet sont trop frĂ©quentes ou virulentes ou semblent caractĂ©riser une union, il s’agit d’un problĂšme d’ordre spirituel. Dans ce cas, les conjoints doivent se reconsacrer Ă  la priĂšre et Ă  la soumission, d’abord Ă  Christ, puis l’un Ă  l’autre, dans une attitude d’amour et de respect. English Retour Ă  la page d'accueil en français Quel est le rĂŽle du mari et de la femme au sein de la famille ?

Sice contrĂŽle fait dĂ©faut, l'homme se rabaisse au niveau de l'animal livrĂ© Ă  ses instincts. On trouve des indications trĂšs claires au sujet des rapports dans le couple en 1 Corinthiens 7 : 3-5 : « Que le mari rende Ă  la femme ce qui lui est dĂ», de mĂȘme aussi la femme au mari. La femme ne dispose pas de son propre corps, mais le mari

ÉgalitĂ© des droits, divorce, Ă©ducation pour tous
 Celle qui plaça la femme au cƓur de sa lutte, dans la tempĂȘte politique que fut la RĂ©volution, avait une libertĂ© de parole qui lui coĂ»ta la Laura Manzanera, Ă©crivainePublication 14 juil. 2021, 1400 CESTOlympe de Gouges remettant sa DĂ©claration des droits de la femme et de la citoyenne » Ă  Marie-Antoinette. Estampe Ă©ditĂ©e en 1790. PHOTOGRAPHIE DE Claude-Louis Desrais illustrateur et Frussotte graveur, 1790./BibliothĂšque nationale de France, dĂ©partement Estampes et photographie/ GallicaControversĂ©e et embarrassante pour la RĂ©volution par ses opinions modĂ©rĂ©es, Olympe de Gouges est condamnĂ©e Ă  mort en 1793. Juste avant que la lame ne tombe, elle s’exclame Enfants de la Patrie, vous vengerez ma mort ! » Elle ne reçoit qu’une rĂ©ponse unanime Vive la RĂ©publique ! » DES ORIGINES MODESTES Elle est baptisĂ©e Ă  Montauban sous le nom de Marie Gouze en 1748. Ses parents sont Anne-Olympe et Pierre Gouze, boucher, bien qu’il soit de notoriĂ©tĂ© publique que son pĂšre biologique est l’auteur dramatique Jean-Jacques Lefranc de Pompignan. Son Ă©ducation elle apprend Ă  peine Ă  lire et Ă  Ă©crire est trĂšs limitĂ©e. En 1765, elle est mariĂ©e de force Ă  Louis-Yves Aubry, de qui elle eut son unique enfant. Elle est vite libĂ©rĂ©e de ce mariage en devenant veuve l’annĂ©e suivante, et ne se remariera jamais le mariage est pour elle le tombeau de l’amour et de la confiance ». Son idĂ©al du couple est une union entre homme et femme Ă  travers un contrat qui, en cas de sĂ©paration, permet d’avoir avec d’autres personnes des enfants reconnus. DĂ©sireuse de commencer une nouvelle vie, elle change de nom et devient Olympe de » Gouges, une particule avec laquelle elle voulait sans doute masquer ses origines modestes. Sous cette nouvelle identitĂ©, elle s’installe Ă  Paris avec son ami et amant Jacques BiĂ©trix, dont la gĂ©nĂ©rositĂ© lui permet de vivre sans soucis d’argent et de tenter sa chance comme Ă©crivaine. Olympe s’intĂšgre bien dans la France des apparences de Louis XVI et met Ă  profit son esprit et son aisance Ă  parler pour se faire une place dans l’élĂ©gante sociĂ©tĂ© parisienne, notamment dans les salons littĂ©raires tenus par des femmes, premiĂšre Ă©tape vers son ambition. MalgrĂ© sa mince Ă©ducation, elle sera l’autrice de plus de 4 000 pages pamphlets, lettres et piĂšces de théùtre, textes politiques, philosophiques et utopiques. La voici devenue femme de lettres. POLÉMIQUE EN PLEIN THÉÂTRE À cette Ă©poque, seule une minoritĂ© de Français lisaient couramment, ce qui explique le succĂšs rencontrĂ© par le théùtre, dont Paris Ă©tait la capitale. AprĂšs avoir assistĂ© au Mariage de Figaro de Beaumarchais, au théùtre de la ComĂ©die-Française, Olympe Ă©crit Le Mariage inattendu de ChĂ©rubin, personnage secondaire de l’Ɠuvre de Beaumarchais, qui l’accuse de plagiat la piĂšce ne sera jamais jouĂ©e sur scĂšne. Portrait d'Olympe de Gouges attribuĂ© Ă  Alexandre Kucharski. Pastel sur parchemin, vers DE WikimĂ©dia CommonsAprĂšs ce premier Ă©chec, Olympe se confronte en 1784 aux acteurs de la ComĂ©die-Française, le seul théùtre Ă  disposer alors d’une troupe stable d’interprĂštes, avec Zamore et Mirza, un drame dont le hĂ©ros est un esclave noir et dont le thĂšme, politiquement subversif, dĂ©fend l’abolitionnisme. Peut-ĂȘtre n’a-t-elle pas fait preuve de beaucoup de tact en insultant les comĂ©diens et en essayant de les soudoyer. La piĂšce est alors rayĂ©e du rĂ©pertoire de la ComĂ©die-Française. Le caractĂšre impulsif de la jeune femme l’a fait tomber dans le piĂšge des comĂ©diens, qui ont utilisĂ© une lettre de cachet – une lettre adressĂ©e au pouvoir royal – exigeant son emprisonnement. Un coup de chance et quelques protecteurs permettent cependant Ă  Olympe de Gouges d’éviter le pire, mais elle est dĂ©jĂ  sur liste noire. C’est pourquoi elle a sans doute Ă©tĂ© la premiĂšre surprise lorsque, en dĂ©cembre 1789, est finalement jouĂ©e la premiĂšre de Zamore et Mirza. DISPOSITIONS HUMANISTES ET ENGAGEMENT SOCIAL Cette mĂȘme annĂ©e, le 5 mai, les États gĂ©nĂ©raux de France ont Ă©tĂ© convoquĂ©s Ă  Versailles. Mais la reprĂ©sentation du tiers Ă©tat – l’ordre comprenant ceux qui n’appartenaient ni au clergĂ© ni Ă  la noblesse, c’est-Ă -dire la majoritĂ© des Français, y compris la grande bourgeoisie – n’est pas Ă©quitable, et cela dĂ©chaĂźne la tempĂȘte. Le peuple s’empare de la Bastille, les catogans remplacent les perruques, et la cocarde tricolore s’affiche partout. La politique est Ă  la mode, et Olympe en tire profit. Dans ses Ă©crits, elle exige des maisons pour les personnes ĂągĂ©es, les veuves avec des enfants et les orphelins, des ateliers pour les chĂŽmeurs ou un impĂŽt sur le luxe. Ses dispositions humanistes et son engagement social ne masquent pas un rapport avec sa propre situation elle a un fils et s’inquiĂšte pour les mĂšres, elle a Ă©tĂ© une Ă©pouse malheureuse et se bat pour le divorce, elle est une bĂątarde et exige la reconnaissance des enfants naturels, elle n’a reçu qu’une maigre Ă©ducation et veut qu’elle soit dispensĂ©e Ă  tous. Mais ses positions modĂ©rĂ©es dressent contre elle tant les royalistes que les rĂ©volutionnaires ou patriotes ». Lors de la marche des femmes » sur Versailles, le 5 octobre 1789, des hommes de main font irruption chez elle et l’accusent de revendications populaires et d’offenses Ă  la famille royale. Il est vrai qu’Olympe, bourgeoise progressiste au grand cƓur, n’a jamais voulu s’éloigner de l’aristocratie elle dĂ©fend une monarchie rĂ©formĂ©e et se dĂ©finit comme une patriote royaliste », deux termes alors peu conciliables. Et si elle voit d’un mauvais Ɠil la dĂ©pensiĂšre Marie-Antoinette, elle exonĂšre en revanche Louis XVI. Son Ă©nergie et sa spontanĂ©itĂ© vont provoquer sa perte. Anonyme, Olympe de Gouges. Mine de plomb et aquarelle, dix-huitiĂšme siĂšcle. MusĂ©e du DE WikimĂ©dia CommonsN’appartenant Ă  aucune formation politique, elle se fait beaucoup d’ennemis, flottant d’un parti Ă  l’autre, [
], au flot de son cƓur », comme le dit d’elle Michelet dans son Histoire de la RĂ©volution française 1847-1853. Ses arguments changent, et elle finit par devenir contre-rĂ©volutionnaire ». Mais en 1791, bien qu’affectĂ©e par l’arrestation de la famille royale en fuite et malgrĂ© sa dĂ©fense de Louis XVI, elle revient au rĂ©publicanisme. Enfin, elle soutient les Girondins face aux Montagnards, ce qui signe sa condamnation Ă  mort. DE LA PRISON À L'ÉCHAFAUD Parmi les principes dĂ©fendus puis abandonnĂ©s par la RĂ©volution se trouve la participation Ă  la vie publique des femmes, qui ne sont plus habilitĂ©es Ă  assister Ă  aucune assemblĂ©e politique ». Déçue, Olympe publie en septembre 1791 la DĂ©claration des droits de la femme et de la citoyenne, considĂ©rĂ©e comme le premier manifeste fĂ©ministe. Olympe y rĂ©clame l’égalitĂ© juridique et lĂ©gale des femmes, et inclut des rĂ©formes pionniĂšres, telles que le suffrage universel, le divorce ou le concubinage, qui ne deviendront rĂ©alitĂ© qu’au XXe siĂšcle, voire, dans certains pays, seulement au XXIe siĂšcle. Sa chute est provoquĂ©e par une affiche oĂč elle propose que chaque dĂ©partement du pays choisisse entre trois types de gouvernement rĂ©publicain, fĂ©dĂ©ral ou monarchique. Elle n’est pas signĂ©e, mais une dĂ©lation la conduit devant le Tribunal rĂ©volutionnaire pour promouvoir une autre forme de gouvernement qui n’est pas la RĂ©publique », puis Ă  la prison de la Conciergerie, oĂč elle continue Ă  Ă©crire contre la terreur jacobine et son chef, Robespierre. Olympe est guillotinĂ©e deux semaines aprĂšs Marie-Antoinette, le 3 novembre 1793. La femme a le droit de monter sur l’échafaud ; elle doit avoir Ă©galement celui de monter Ă  la tribune », avait-elle Ă©crit. On lui refuse la tribune. Mais, aprĂšs l’échafaud, elle tombe dans l’oubli. Certes, Olympe de Gouges n’a pas Ă©tĂ© la femme la plus vertueuse de son siĂšcle », selon ses propres mots ; mais nous devons Ă  une ignorante de grandes dĂ©couvertes », affirme Mirabeau, activiste et thĂ©oricien de la RĂ©volution française. De nombreux contemporains voyaient en elle une rebelle sans cause, mais ses actions suivaient une stratĂ©gie rĂ©flĂ©chie. Elle a osĂ© en effet soulever des questions que les rĂ©volutionnaires eux-mĂȘmes ont ignorĂ©es. Et il faut admirer son esprit de dĂ©passement. Être provinciale, plĂ©bĂ©ienne, bĂątarde et d’éducation sommaire ne l’a pas empĂȘchĂ©e de faire entendre sa voix. C’est probablement en sa personne qu’elle a poussĂ© le plus loin la devise LibertĂ©, ÉgalitĂ©, FraternitĂ© ». Cet article a initialement paru dans le magazine National Geographic Histoire et Civilisations. S'abonner au magazine ÉtatsUnis đŸ‡ș🇾 L'homme le plus riche du monde, Elon Musk est sur le point de dĂ©voiler son nouvel et premier hĂŽtel sur Mars, une autre planĂšte Ă  5 millions de dollars par nuit. La planĂšte voisine de la Terre, Mars accueillera bientĂŽt plus de personnes de la Terre en tant qu'homme le plus riche de la Terre, Elon Musk s'apprĂȘte Ă  dĂ©voiler bientĂŽt le record et le premier hĂŽtel
Aux États-Unis, les femmes sont Ă©gales aux hommes. Mais il existe de nombreuses façons dont les expĂ©riences de vie des hommes et des femmes sont diffĂ©rentes. Lisez des articles au sujet des droits des femmes, des vĂȘtements et de la maltraitance des femmes. Renseignez-vous sur les expĂ©riences des femmes au travail, Ă  la maison et quand elles ont des enfants. Photo gracieusetĂ© de iStock/Adamkaz Histoire La façon dont les femmes en AmĂ©rique sont traitĂ©es aujourd’hui est trĂšs diffĂ©rente de ce qu’elle Ă©tait il y a environ 50 ans. À l’époque, les femmes restaient Ă  la maison avec les enfants et les hommes allaient travailler. Entre la fin des annĂ©es 60 et le dĂ©but des annĂ©es 80, les femmes se sont battues pour ĂȘtre traitĂ©es de maniĂšre Ă©gale. Elles ont attirĂ© l’attention sur le sexisme, c’est-Ă -dire quand les hommes reçoivent un meilleur traitement. Des femmes ont dĂ©filĂ© dans les rues pour protester. Elles se sont battues pour changer d’importantes lois sur l’avortement et le viol. Elles ont créé et partagĂ© des oeuvres artistiques et musicales sur leur expĂ©rience en tant que femmes. Cela s’appelait le Mouvement de LibĂ©ration des Femmes. Cela a changĂ© la façon dont les femmes Ă©taient traitĂ©es aux États-Unis. EgalitĂ© des droits Dans la sociĂ©tĂ© amĂ©ricaine, les femmes sont Ă©gales et ont les mĂȘmes droits que les hommes. Les femmes peuvent avoir les mĂȘmes emplois que les hommes. Les femmes ont le droit de voter aux États-Unis depuis 1920. Les femmes peuvent ĂȘtre Ă©lues et peuvent possĂ©der des biens. Elles peuvent servir dans l’armĂ©e. Mais il y a toujours un manque de femmes aux postes de direction. Les femmes reprĂ©sentent 51 % de la population. Mais jamais une femme n’a Ă©tĂ© prĂ©sidente. Seuls 19 % du CongrĂšs qui fait partie du gouvernement fĂ©dĂ©ral et 21 % des lĂ©gislateurs un type de leader politique sont des femmes. Cela peut nuire aux droits des femmes. Parfois, les dĂ©cisions qui affectent la santĂ© des femmes et leurs choix personnels sont prises principalement par des hommes. Les femmes en AmĂ©rique au travail Les femmes amĂ©ricaines reprĂ©sentent une part importante de la main-d’Ɠuvre. Elles reprĂ©sentent prĂšs de 50 % des travailleurs. Les femmes travaillent dans tous types d’emplois. Il n’y a pas d’emplois rĂ©servĂ©s aux hommes ou aux femmes. Vous pouvez avoir un patron fĂ©minin. Cela est difficile pour certains rĂ©fugiĂ©s et immigrants s’ils n’ont jamais eu de responsable fĂ©minin au travail auparavant. Mais pour obtenir un emploi aux États-Unis, vous devez ĂȘtre qualifiĂ© pour le poste. Cela signifie que la personne qui est le patron a dĂ» postuler et passer un entretien pour obtenir le poste. Si vous avez un patron qui n’est pas trĂšs bon, ce n’est pas parce qu’il s’agit d’un homme ou d’une femme, mais parce qu’il n’a pas les compĂ©tences nĂ©cessaires. Cependant, cela ne signifie pas que les femmes ont une Ă©galitĂ© totale avec les hommes. Il y a beaucoup moins de femmes chefs d’entreprise que d’hommes. Les femmes gagnent gĂ©nĂ©ralement moins d’argent que les hommes. Cela est vrai mĂȘme lorsqu’elles ont le mĂȘme emploi. Les femmes n’obtiennent parfois pas les promotions qu’elles mĂ©ritent. De nombreuses femmes amĂ©ricaines Ă©prouvent Ă©galement des difficultĂ©s Ă  concilier vie professionnelle et vie privĂ©e. Par exemple, elles ont du mal Ă  travailler tout en prenant soin de leur famille. En savoir plus sur les femmes au travail. Les femmes en AmĂ©rique Ă  la maison Les hommes et les femmes amĂ©ricains partagent gĂ©nĂ©ralement les responsabilitĂ©s et les tĂąches mĂ©nagĂšres au sein du mĂ©nage. Dans une famille, l’homme et la femme peuvent tous les deux travailler Ă  l’extĂ©rieur du foyer. Dans environ la moitiĂ© des foyers aux États-Unis, les deux parents travaillent Ă  temps plein. À la maison, la mĂšre et le pĂšre font souvent tous les deux la lessive, la vaisselle, la cuisine et s’occupent des enfants. En savoir plus sur la parentalitĂ© aux États-Unis. Lorsque les femmes accouchent, elles s’absentent de leur travail. C’est ce qu’on appelle le congĂ© maternitĂ©. La plupart des femmes ont droit Ă  un congĂ© non payĂ© de 3 mois. Certaines entreprises versent aux employĂ©es une partie de leur salaire. AprĂšs la fin de leur congĂ© de maternitĂ©, les femmes amĂ©ricaines retournent au travail. Elles paient souvent une garde d’enfants pour leurs bĂ©bĂ©s et leurs enfants pendant qu’elles travaillent. La maltraitance des femmes en AmĂ©rique Certaines femmes amĂ©ricaines sont Ă©galement confrontĂ©es Ă  la violence domestique ou aux mauvais traitements de la part de leurs partenaires. Environ un tiers des femmes dĂ©clarent avoir Ă©tĂ© maltraitĂ©es. Il y en probablement plus que cela, car de nombreuses femmes ont peur ou honte de parler de violence. La maltraitance et la violence contre les femmes, les hommes ou les enfants sont illĂ©gales. Si une personne est reconnue coupable de violence conjugale, elle peut aller en prison. En savoir plus sur les lois amĂ©ricaines. Si vous ĂȘtes en couple et maltraitĂ© par votre partenaire, vous pouvez appeler la Hotline Nationale contre la Violence Domestique 24 heures sur 24 pour demander de l’aide. Vous n’ĂȘtes pas obligĂ© de donner votre nom. Tenues vestimentaires des femmes Aux États-Unis, les femmes peuvent s’habillent diffĂ©remment des femmes d’autres cultures. Elles peuvent, par exemple, porter des pantalons ou porter des vĂȘtements qui laissent voir la peau. Aux États-Unis, porter des vĂȘtements rĂ©vĂ©lateurs ne ternit pas la rĂ©putation d’une femme. Cela ne veut rien dire non plus sur sa moralitĂ©. Les femmes achĂštent gĂ©nĂ©ralement leurs vĂȘtements dans des magasins. Elles ne les fabriquent pas elles-mĂȘmes et ne les font pas non plus confectionner par des professionnels. Elles ne font appel Ă  des professionnels que pour les grandes occasions. Les femmes achĂštent gĂ©nĂ©ralement des vĂȘtements bon marchĂ© et les remplacent au bout de quelques annĂ©es. Dans l’ensemble, le style vestimentaire aux États-Unis est dĂ©contractĂ©. Beaucoup de femmes et d’hommes portent des jeans la plupart du temps. Certaines femmes ne portent pas de vĂȘtements habillĂ©s en dehors du travail ou des occasions particuliĂšres. Aux États-Unis, certains lieux de travail sont Ă©galement dĂ©contractĂ©s, en particulier dans les villes. Parfois, les jeunes peuvent mĂȘme porter des tenues de sport au travail ou Ă  l’école. Plus sur USAHello
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l homme est le chef de la femme