Lirela Barbe bleue et prĂ©parer un rĂ©sumĂ© oral. Revoir la conjugaison et apprendre la leçon sur l'emploi des temps du rĂ©cit imparfait / passĂ© simple. lun. 19 janv. 15. Le petit Chaperon rouge, Perrault et autres versions. Exercices sur l'emploi des temps du rĂ©cit. A faire pour le : lun. 19 janv. 15. Lire Le Petit Chaperon Rouge, Contes de Perrault p. 47 Ă 50, et 145 Ă
Description de lâĂ©diteur Cette fiche de lecture sur Oscar et la dame rose d'Eric-Emmanuel Schmitt propose une analyse complĂšte âą un rĂ©sumĂ© dĂ©taillĂ© sur Oscar et la dame rose âą une analyse des idĂ©es âą une analyse du style d'Eric Emmanuel SchmittĂ propos de propose plus 2500 analyses complĂštes de livres sur toute la littĂ©rature classique et contemporaine des rĂ©sumĂ©s, des analyses de livres, des questionnaires et des commentaires composĂ©s, etc. Nos analyses sont plĂ©biscitĂ©es par les lycĂ©ens et les enseignants. Toutes nos analyses sont tĂ©lĂ©chargeables directement en ligne. FichesdeLecture est partenaire du MinistĂšre de l' d'informations sur GENRE Ouvrages de rĂ©fĂ©rence SORTIE 2014 10 dĂ©cembre LANGUE FR Français LONGUEUR 24 Pages ĂDITIONS TAILLE 138,7 Ko Plus de livres par AndrĂ© Bonnet Dâautres ont aussi achetĂ©
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INTRODUCTION Le roman Lorsque jâĂ©tais une Ćuvre dâart a Ă©tĂ© Ă©crit par Eric-Emmanuel Schmitt et a Ă©tĂ© publiĂ© en 2002. Cet Ă©crivain est agrĂ©gĂ© et titulaire dâun doctorat de philosophie. Il sâest fait connaĂźtre tout dâabord au théùtre, il a Ă©galement beaucoup Ă©crit de romans et dâessais ainsi que des rĂ©cits. Jâai eu lâoccasion de lire une autre Ćuvre de ce mĂȘme auteur Oscar et la dame rose » paru Ă©galement en 2002. Le roman raconte lâhistoire dâun jeune homme dâune vingtaine dâannĂ©es, dĂ©primĂ© qui se trouve inexistant et incapable de rĂ©ussir quoi que ce soit mĂȘme son suicide est ratĂ©. Alors quâil est sur le point de se suicider, il croise un artiste contemporain excentrique et mondialement connu. Ce dernier lui proposera de racheter son Ăąme et son corps afin dâen faire une Ćuvre dâart vivante ou plutĂŽt un objet dâart, acte quâil va dâailleurs regretter par la suite. Ce roman fait Ă©cho Ă Frankenstein de Mary Shelley car dans ces deux Ćuvres la crĂ©ature va Ă©chapper au crĂ©ateur et va mĂȘme se rebeller contre lui. Câest Ă©galement le cas dans le roman La vague de Todd Strasser oĂč il ne sera pas question dâune crĂ©ature mais dâun mouvement dont le crĂ©ateur ne sera plus le maĂźtre. OBJET- LIVRE Je trouve toujours le format du livre livre de poche pratique car il peut ĂȘtre emmenĂ© et lu partout et que cela est un avantage pour mon entrĂ©e en lecture. La police dâĂ©criture est plaisante Ă lire bien que les caractĂšres soient rapprochĂ©s. Quant Ă la premiĂšre de couverture, on sâattend Ă une histoire non banale, originale. Elle est trĂšs colorĂ©e et peut ĂȘtre comparĂ©e Ă certaines Ćuvres contemporaines comme par exemple celles dâAndy Warhol. TENSION DRAMATIQUE Le rĂ©cit est assez bien construit du point de vue du dĂ©voilement progressif des informations. Nous avançons pas Ă pas dans une histoire, dans une crĂ©ation qui nous amĂšne Ă rĂ©flĂ©chir sur des thĂšmes typiquement de lâĂ©poque actuelle la reconnaissance, le succĂšs, lâesthĂ©tique⊠Jâai trouvĂ© cependant certains passages un peu longs et rĂ©pĂ©titifs vers la fin du roman comme par exemple avec les diffĂ©rents conservateurs de musĂ©es. LISIBILITĂ/COMPLEXITĂ Jâai trouvĂ© que le roman se lisait facilement et rapidement, jâĂ©tais curieux dâavancer dans la lecture afin de savoir ce qui allait arriver au hĂ©ros du livre Adam bis. Les personnages sont peu nombreux. LâĂ©crivain a choisi des noms originaux, faisant rĂ©fĂ©rence Ă la mythologie grecque pour Zeus-Peter Lama ou au premier homme ayant existĂ© pour Adam bis. Les personnages sont donc Tazio Firelli = Adam bis un jeune homme inexistant, dĂ©primĂ© et vulnĂ©rable. Zeus-Peter Lama un artiste contemporain mondialement connu et manipulateur. Enzo et Rienzi Firelli frĂšres jumeaux dâune trĂšs grande beautĂ© et frĂšres de Tazio. Ce sont deux personnages insignifiants. Docteur Fichet le mĂ©decin au service de Zeus-Peter Lama Carlos Hannibal un peintre de lâinvisible et pĂšre de Fiona. Fiona Hannibal fille de Carlos qui deviendra lâĂ©pouse dâAdam bis. Les lieux sont eux aussi peu nombreux il est surtout question de la somptueuse villa de Zeus-Peter Lama lâOmbrilic. Ce mot nom se rapproche dâombilic nombril, maison qui est dâailleurs aussi extravagante que son propriĂ©taire oĂč une seule chose ne trouvait pas sa place sur les murs de cette demeure la mesure ». Il nây a que quelques scĂšnes en extĂ©rieur comme par exemple la plage oĂč Adam bis aime retrouver Carlos Hannibal et sa fille Fiona. Sinon, tout se dĂ©roule en intĂ©rieur et cela renforce cette idĂ©e de manque de libertĂ©. RĂALISME ET/OU VRAISEMBLANCE Le rĂ©cit mâa plu pour son habile mĂ©lange de vraisemblance et dâinvraisemblance. La vraisemblance car câest une satire de ce que certaines personnes sont capables de faire. Les limites quâelles peuvent franchir pour ĂȘtre reconnu, pour cette quĂȘte de cĂ©lĂ©britĂ© Ă tout prix et câest lĂ que nous nous rendons compte de la bĂȘtise humaine. Dâailleurs, Eric-Emmanuel Schmitt traite cela de façon comique, il se moque de façon impitoyable. Par exemple, Zeus-Peter Lama est un artiste de lâinutile, il a sculptĂ© la paille», emballĂ© la statue de la LibertĂ© dans du papier tue-mouches»âŠ. Bref, que des choses futiles, qui ne servent Ă rien. Sculpter les corps est incroyable mais on ne peut sâempĂȘcher de faire un rapprochement avec la chirurgie esthĂ©tique pratiquĂ©e par certains chirurgiens. Dâailleurs, il paraĂźtrait quâEric-Emmanuel Schmitt aurait Ă©crit son roman Ă la suite dâune Ă©mission tĂ©lĂ©visĂ©e quâil regardait montrant une personne ayant subie de nombreuses opĂ©rations afin de devenir de plus en plus beau. Le cĂŽtĂ© invraisemblable est prĂ©sent en ce sens quâil nâest pas possible dâacheter un corps humain, dâen faire sa propriĂ©tĂ© ». GENRE âTHĂME Il ne mâest pas possible dâĂ©tablir de comparaison avec ma propre expĂ©rience cependant ce roman mâa plu par son cĂŽtĂ© fantastique et comique. Par certains aspects, il est proche de la mentalitĂ© de notre sociĂ©tĂ© actuelle le paraĂźtre, lâapparence, le pouvoir de lâargent, la cĂ©lĂ©britĂ©. Tout ce qui peut faire faire nâimporte quoi pour ĂȘtre connu, reconnu et aussi lâimage que lâon renvoie aux autres afin de trouver sa place dans la vie. Il est question dans ce roman dâextravagance, ainsi des pierres prĂ©cieuses Ă©taient serties dans lâĂ©mail des canines et des incisives» de Zeus-Peter Lama, les domestiques sont habillĂ©s en pingouins», le plat principal arrivait sur une civiĂšre et Ă©tait un immense corps dâathlĂšte caramĂ©lisĂ©, composĂ© de toutes les viandes existantes⊠». Jâai trouvĂ© cela absolument grotesque. Tout nâest quâapparence, futilitĂ©, Zeus-Peter Lama a sculptĂ© la paille», colorĂ© le Danube»âŠmĂȘme les couleurs utilisĂ©es pour peindre sont ridicules pervenche de sous-bois au soleil» ou bien rouge matriciel»âŠcela ne veut rien dire. Adam bis, pour sa renaissance, ira jusquâĂ simuler son dĂ©cĂšs et des funĂ©railles, auxquelles dâailleurs Adam bis assistera. STYLE Pour ce qui est du niveau de langue, celui-ci est assez agrĂ©able, plaisant et facile Ă lire avec des phrases qui sont relativement courtes. Toutefois, lâauteur peut utiliser un style recherchĂ© en utilisant des mots tels que lâhistrion», un panĂ©gyrique» ou encore un sonomĂ©gaphore». Puis, enchaĂźner avec un style beaucoup plus familier et mĂȘme cru Ă certains moments, nous avons se faire la gueule», ma merde», il va tout me bousiller», le cul dans le beurre», tomber en cloque». Les femmes sont mĂȘme traitĂ©es de morues». Cet artiste est mĂ©prisant et nâĂ©prouve aucun respect ; dâailleurs, ne pas connaĂźtre Zeus-Peter Lama, câest avoir de lâavoine Ă la place du cerveau». A certains moments, le personnage principal ainsi que Rolanda en fin de roman sâexpriment sans utiliser de pronom personnel je» et nous lisons me trompé», uriner comment ?», trĂšs trĂšs fatiguant dâĂȘtre une Ćuvre dâart», surtout Rolanda taurine». Dans ce roman, lâĂ©crivain a utilisĂ© le discours argumentatif. Dâune part, quand Zeus-Peter Lama veut convaincre Adam bis et Ă©galement lors du dĂ©bat au moment du procĂšs. Ainsi, nous trouvons des connecteurs tels que parce que», autant» ou puisque» pour se justifier. Dâautre part, en revanche» et donc» quand il sâagit de faire le bilan en fin de roman. Eric-Emmanuel Schmitt utilise beaucoup de dialogues ce qui rend le roman trĂšs vivant. Il y a Ă©galement Ă©normĂ©ment de points dâinterrogation le personnage dâAdam sâinterroge beaucoup ce qui amĂšne Ă©galement le lecteur Ă rĂ©flĂ©chir lui aussi et Ă partager un peu les diffĂ©rentes Ă©motions du hĂ©ros. TENSION ĂMOTIONNELLE MĂȘme si le rĂ©cit ne me permet pas de mâidentifier, je ne peux rester indiffĂ©rent Ă ce qui arrive Ă Adam bis. Câest une histoire qui est perturbante et qui fait froid dans le dos par certains aspects. Le suspens concernant le sort du personnage principal demeure jusquâĂ la fin du livre, câest-Ă -dire jusquâau procĂšs. Le lecteur que je suis est amenĂ© Ă rĂ©flĂ©chir en lisant ce roman sur lâart, la cĂ©lĂ©britĂ©, lâesthĂ©tique. Tout nâest quâapparence, duperie, ambiance superficielle et on ne sây sent pas Ă lâaise, mĂȘme la grille est hautaine ». CARACTĂRE MORAL DiffĂ©rentes valeurs sont abordĂ©es dans ce roman La libertĂ©, qui est dâailleurs bafouĂ©e tout au long du roman mais quâAdam bis retrouve dans les derniĂšres pages du rĂ©cit, quand il rĂ©ussit Ă se libĂ©rer de lâautoritĂ© de son crĂ©ateur. Il devient conscient que Zeus-Peter Lama veut le priver de sa conscience une des seules choses qui lui reste avec ses yeux et sa voix. Lâamour quâĂ©prouve Adam bis Ă lâĂ©gard de Fiona et Carlos Hannibal. Câest dâailleurs grĂące Ă cet amour quâil rĂ©ussira Ă se sortir des griffes de Zeus-Peter Lama. Cet amour est si fort quâAdam bis dit mĂȘme aimer trois fois». Carlos Hannibal ainsi que sa fille Fiona vont radicalement changer son regard sur la vie. En ce qui concerne Carlos Hannibal, ce dernier nâa jamais vĂ©ritablement connu le succĂšs sauf Ă titre posthume mais il a vĂ©cu heureux en exerçant un mĂ©tier quâil aimait. Ce rĂ©cit me semble moralisateur car lâĂ©crivain a un esprit critique en montrant au lecteur jusquâoĂč la bĂȘtise humaine peut aller. ORIGINALITĂ Lâhistoire est originale et loufoque. En revanche, la fin du rĂ©cit mâa surprise et jâai trouvĂ© quâil se terminait un peu comme les contes de fĂ©es ils vĂ©curent heureux et eurent beaucoup dâenfants». Jâai trouvĂ© quâil y avait un grand dĂ©calage par rapport au reste de lâhistoire. La maison avec des enfants, la vie de famille tout Ă fait normale, cela a un cĂŽtĂ© trĂšs rĂ©aliste. Et mĂȘme si, en fin de roman, on Ă©tait conscient quâAdam bis voulait changer ses conditions de vie ne plus ĂȘtre sous le joug de Zeus-Peter Lama, je ne me doutais cependant pas quâAdam bis aurait une vie aussi rangĂ©e. Ce nâest donc pas une fin de roman originale mais cela donne une note positive, une bouffĂ©e dâespoir dans un monde oĂč lâavenir dâAdam bis semblait trĂšs compromis. COMPARAISON AVEC LES AUTRES ĆUVRES DE LA SĂQUENCE Ce roman peut ĂȘtre rapprochĂ© de celui de Mary Shelley Frankenstein car lĂ aussi, il est question dâune crĂ©ature qui se rebelle contre son crĂ©ateur. Dans les deux cas, les crĂ©ateurs sont considĂ©rĂ©s comme des gĂ©nies. Dans les deux romans, les crĂ©ateurs nous apparaissent comme des monstres. CONCLUSION Bien que je ne sois pas particuliĂšrement attirĂ© par les romans du genre fantastique, il mâa quand mĂȘme tenu en haleine et mâa amenĂ© Ă rĂ©flĂ©chir sur ce que sont prĂȘtes Ă faire certaines personnes pour exister dans le monde actuel. Eric-Emmanuel Schmitt a dit un jour A trop se regarder, on sâempĂȘche de vivre ».
Jai eu lâoccasion de lire une autre Ćuvre de ce mĂȘme auteur : « Oscar et la dame rose » paru Ă©galement en 2002. Le roman raconte lâhistoire dâun jeune homme dâune vingtaine dâannĂ©es, dĂ©primĂ© qui se trouve inexistant et incapable de rĂ©ussir quoi que ce soit : mĂȘme son suicide est ratĂ©.
Titre La double vie de Cassiel RoadnightAuteure Jenny Valentine Maison dâĂ©dition LâĂ©cole des loisirs Genre Policier Tome Unique Pages 332 Prix 10⏠RĂ©sumĂ© Chap nâa pas cherchĂ© Ă se faire passer pour un autre, il a simplement laissĂ© faire. Dans ce foyer dâurgence pour jeunes paumĂ©s oĂč il refusait obstinĂ©ment de donner son nom, les gens du centre sont venus le voir avec une photo, celle dâun ado portĂ© disparu qui lui ressemblait comme deux gouttes dâeau. Chap a fini par dire ce que les autres attendaient, que câĂ©tait bien lui Cassiel Roadnight ! Et puis tout sâest enchaĂźnĂ©, la sĆur de Cassiel est venue le chercher pour le ramener chez lui, dans sa maison, oĂč lâattendaient sa mĂšre et son grand frĂšre. Chap nâa pas pensĂ© quâil allait vivre sous leur regard, chaque jour, chaque heure, chaque seconde et quâil ne pourrait jamais se dĂ©tendre ni se laisser aller. Un geste dĂ©placĂ©, un mot de travers, une mauvaise rĂ©action risqueraient de donner lâalarme et de tout faire basculer ! Il nâa pas imaginĂ© non plus que Cassiel pouvait cacher un secret monstrueux, et que câest lui, Chap, qui allait en hĂ©riter. Avis Jâai dĂ» lire ce livre pour les cours. Pour ce livre-ci, je me suis dit que ça pouvait peut-ĂȘtre me plaire puisque dans ma librairie, il Ă©tait en prĂ©sentation avec Ă©crit dessus Captivant et Haletant ». Et franchement, jâai bien aimĂ© ce roman. Dans ce livre, on suit Chap qui ne sait pas dâoĂč il vient et qui il est. Un jour, dans un foyer pour jeunes impossibles de Londres, on va lui monter une photo dâun enfant, Cass, qui lui ressemble comme deux gouttes dâeau et qui est portĂ© disparu depuis quasiment deux ans. Il va dire que câest lui, Cass. Mais il va se rendre compte que ce mystĂ©rieux garçon cache en fait un terrible secret qui pourrait Ă jamais changer sa vie. Jâai trouvĂ© que la plume de lâauteure Ă©tait assez simple. Cependant, elle nous tenait en haleine et les pages se tournaient trĂšs rapidement. Le vocabulaire utilisĂ© Ă©tait Ă©galement trĂšs simple et comprĂ©hensible. J'ai Ă©galement beaucoup apprĂ©ciĂ© le fait qu'elle nous dĂ©livre les parties de l'histoire du passĂ© de Chap pendant tout le long de l'histoire. Elle entretenait le suspens et ça, j'aime beaucoup. Cependant, les 150 premiĂšres Ă©taient pour moi trĂšs longues, les derniers chapitres, quant Ă eux, vont trĂšs vite. Jâai beaucoup aimĂ© le personnage de Chap et plus j'avançais dans ma lecture, plu j'avais de la peine pour lui. Il est dĂ©jĂ paumĂ© au dĂ©but de l'histoire et au fur et Ă mesure de l'histoire, il se rend compte qu'il est encore plus paumĂ© et qu'il n'est pas forcĂ©ment celui qu'il pense ĂȘtre. Franchement, je ne voudrais pas ĂȘtre Ă sa place. Surtout qu'il pensait finir sa vie d'une bonne maniĂšre et qu'il va se rendre compte que prendre la place de Cass, ce n'Ă©tait pas un cadeau. Conclusion J'ai aimĂ© ce livre, mais sans plus. J'ai bien aimĂ© l'intrigue, mais le 150 premiĂšres pages sont pour moi beaucoup trop longues. Le personnage de Chap et son passĂ© m'ont beaucoup plu.
Ecrireet combattre pour l'Ă©galitĂ© au XVIIIĂšme siĂšcle Le mouvement littĂ©raire des LumiĂšres ABBĂ PRĂVOST Manon Lescaut, La rencontre Manon Lescaut, Les retrouvailles au parloir de Saint-Sulpice Manon Lescaut, Les retrouvailles entre Des Grieux et son pĂšre Manon Lescaut, Des Grieux et Tiberge Manon Lescaut, La mort de Manon Olivier ADAM Incipit
Voici un rĂ©sumĂ© dĂ©taillĂ© du court roman Ă©pistolaire d'Eric-Emmanuel Smith. Ce genre de rĂ©sumĂ©s permet de comprendre la structure globale d'un long roman mais ne remplace en rien une lecture complĂšte de l'ouvrage...Lettre 1 18 dĂ©cembreOscar est un garçon de 10 ans. Il vit Ă lĂąâŹâąhĂÂŽpital Ă cause de son cancer. Depuis sa greffe de moelle osseuse, les mĂ©decins- dont le docteur DĂÂŒsseldorf - sont sceptiques et Oscar voit bien quĂąâŹâąil va peut-ĂÂȘtre mourir. Seule une des femmes infirmiĂšres qui travaillent bĂ©nĂ©volement Ă lĂąâŹâąhĂÂŽpital, Mamie-Rose, ne change pas lorsquĂąâŹâąelle voit Oscar. Elle lui confesse des secrets. Son vrai mĂ©tier, en fait, cĂąâŹâąest catcheuse, sous le nom de Ă lĂąâŹâąĂâ°trangleuse du Languedoc Ă». Elle raconte ses combats Ă Oscar ce qui le fait rĂÂȘver. Un jour, celui-ci lui demande sĂąâŹâąil va mourir et, si oui, pourquoi personne ne lui dit. Elle lui rĂ©pond que sĂąâŹâąil le sait, les mĂ©decins nĂąâŹâąont pas besoin de le lui dire. Alors, elle lui propose dĂąâŹâąĂ©crire Ă Dieu dans des lettres et elle lui assure quĂąâŹâąil a le droit Ă un vĂ
âu par jour. Oscar, qui pense que Dieu cĂąâŹâąest comme le PĂšre NoĂl, nĂąâŹâąy croit pas trop mais le fait quand mĂÂȘme. Ă⏠la fin de la lettre, Oscar demande Ă Dieu de savoir sĂąâŹâąil va mourir ou 2 19 dĂ©cembre / de 0 Ă 10 ansLes parents dĂąâŹâąOscar ne viennent dĂąâŹâąhabitude que le dimanche pour voir leur fils. Mais ce jour-lĂ , Popcorn, le copain obĂšse dĂąâŹâąOscar, lui annonce quĂąâŹâąil y a leur voiture sur le parking. Il va dans sa chambre mais ses parents ne viennent pas. Il entend des voix dans le bureau du Docteur DĂÂŒsseldorf et Ă©coute. Il apprend que les mĂ©decins ont tout essayĂ© et il entend sa mĂšre pleurer. Alors quĂąâŹâąils allaient sortir, Oscar se cache dans la premiĂšre piĂšce venue, un placard Ă balais. Mais on ne peut que lĂąâŹâąouvrir que de lĂąâŹâąextĂ©rieur et il reste coincĂ© toute la matinĂ©e. Ă⏠lĂąâŹâąintĂ©rieur, il rĂ©flĂ©chit et conclut que ses parents sont des lĂÂąches et quĂąâŹâąil les dĂ©teste. La femme de mĂ©nage le retrouve ensuite. Une fois dans sa chambre, il veut voir Mamie-Rose. Celle-ci vient et tous les deux commencent Ă discuter des parents dĂąâŹâąOscar quĂąâŹâąils traitent de Ă cons Ă». Normalement, deux visites sont autorisĂ©es par semaine. Mais, lorsque Mamie-Rose sĂąâŹâąapprĂÂȘte Ă partir, le garçon veut absolument la revoir le lendemain. La femme demande lĂąâŹâąautorisation au docteur qui le lui accorde pendant douze jours. Alors, voyant quĂąâŹâąils Ă©taient le 19 dĂ©cembre, elle propose un jeu Ă Oscar chaque jour compte pour dix ans. Oscar accepte et donc, ce jour-lĂ , il eut dix ans. Comme vĂ
âu, il demande Ă Dieu de lui rendre 3 20 dĂ©cembre / de 10 Ă 20 ansCĂąâŹâąest lĂąâŹâąadolescence pour Oscar. Dieu ne lui a pas rendu visite et il a eu beaucoup de problĂšmes avec les filles, ses copains et ses parents lorsquĂąâŹâąil sĂąâŹâąest rĂ©veillĂ©, Mamie-Rose Ă©tait lĂ . Elle lui a demandĂ© qui il aimait Ă lĂąâŹâąhĂÂŽpital et il a rĂ©pondu Ă Popcorn, Bacon- un garçon gravement brĂ»lĂ© et Einstein- un de ses copains qui a la tĂÂȘte deux fois plus grosse que la moyenne Ă». Ensuite, elle lui a demandĂ© comme fille et a rĂ©pondu Peggy Blue, une fille atteinte de la maladie bleue, ce qui rend sa peau bleutĂ©e. Elle lui a proposĂ© alors de lui dire quĂąâŹâąil lĂąâŹâąaimait bien et il accepta car, Ă 15 ans, il voulait la protĂ©ger des fantĂÂŽmes. Mais Popcorn protĂ©geait dĂ©jĂ Peggy et il lui dit dĂąâŹâąaller voir Sandrine dite Ă la Chinoise Ă», atteinte dĂąâŹâąune leucĂ©mie. MĂÂȘme sĂąâŹâąil ne voulait pas trop, Oscar lĂąâŹâąa embrassĂ©. Juste Ă ce moment-lĂ , ses parents sont arrivĂ©s. Ils lui ont offert un lecteur CD avec Casse-Noisette. Comme il ne voulait pas leur parler, il lĂąâŹâąa Ă©coutĂ© deux fois et ils sont partis. AprĂšs avoir dormi et une visite de Mamie-Rose, Oscar est allĂ© voir Peggy. Elle a acceptĂ©e quĂąâŹâąil la protĂšge des fantĂÂŽmes et il a demandĂ© Ă Dieu que tous les deux se 4 21 dĂ©cembre / de 20 Ă 30 ansCette nuit, Oscar a entendu des plaintes. Les fantĂÂŽmes ! Il a accouru dans la chambre de Peggy Blue mais cĂąâŹâąĂ©tait en fait Bacon qui criait. Ils ont dormi ensemble et se sont mariĂ©s. Le matin, Oscar a tout racontĂ© Ă Mamie-Rose et cette derniĂšre lĂąâŹâąa accompagnĂ© Ă la chapelle. En voyant la statue de JĂ©sus sur la croix, Oscar nĂąâŹâąy croyait pas comment Dieu pouvait souffrir autant ? Mais Mamie-Rose lui a expliquĂ© quĂąâŹâąil fallait plus avoir confiance en quelquĂąâŹâąun qui souffre quĂąâŹâąen quelquĂąâŹâąun de fort, quĂąâŹâąil fallait distinguer souffrance physique et morale et quĂąâŹâąil ne fallait pas avoir de lĂąâŹâąinconnu de la mort mais plutĂÂŽt ĂÂȘtre curieux. Oscar est de plus en plus fatiguĂ© et comme vĂ
âu, il a demandĂ© que lĂąâŹâąopĂ©ration de Peggy se passe 5 22 dĂ©cembre / de 30 Ă 40 ans CĂąâŹâąest lĂąâŹâąĂÂąge des responsabilitĂ©s Peggy Blue se fait opĂ©rĂ©e. Pendant quĂąâŹâąil Ă©tait avec Mamie-Rose, il lĂąâŹâąa adoptĂ©, comme il lĂąâŹâąavait fait avec son ours en peluche Bernard. Vers 37 ans, lĂąâŹâąopĂ©ration de Peggy avait bien rĂ©ussi et Oscar a rencontrĂ© ses beaux-parents, Ă qui il a promis de veiller sur leur fille. JournĂ©e famille sans vĂ
â 6 23 dĂ©cembre / de 40 Ă 50 ans ĂâĄa nĂąâŹâąa pas Ă©tĂ© une bonne journĂ©e pour notre hĂ©ros Peggy a appris quĂąâŹâąOscar avait embrassĂ© la Chinoise et lĂąâŹâąa quittĂ©e. Voulant se venger, elle a sympathisĂ© avec Sandrine. Oscar fou de rage, a lui-mĂÂȘme embrassĂ© Brigitte, une fillette trisomique. Il a ensuite remarquĂ© que le lendemain, cĂąâŹâąĂ©tait lĂąâŹâąanniversaire de Dieu et lui a demandĂ© de se rĂ©concilier avec 7 24 dĂ©cembre / de 50 Ă 60 ans Sachant que cĂąâŹâąĂ©tait NoĂl et que ses parents allaient venir, Oscar a fuguĂ©. Il a demandĂ© Ă ses copains de lĂąâŹâąhabillĂ©s puis de le mettre dans la voiture de Mamie-Rose. AprĂšs quelques heures, celle-ci est arrivĂ©e et est partie. La route a Ă©tĂ© longue et Ă©prouvante et, Ă©tant fatiguĂ©, Oscar sĂąâŹâąest endormi. Il sĂąâŹâąest rĂ©veillĂ© la nuit et il neigeait dehors. Avec tous ses efforts, il a rĂ©ussi a sonnĂ© et Mamie-Rose lĂąâŹâąa recueilli. AprĂšs deux chocolats chauds, elle lui dit quĂąâŹâąĂ lĂąâŹâąhĂÂŽpital tout le monde le cherchait et que ses parents Ă©taient morts dĂąâŹâąinquiĂ©tude. Elle lui expliqua que, eux aussi, allaient mourir un jour et quĂąâŹâąils ne se seraient pas rĂ©concilier avec leur fils unique. Oscar accepta de les appeler. Ils vinrent et tous ensemble, ils regardĂšrent un combat de catch. Comme vĂ
âu, Oscar veut que ses parents restent toujours comme ce soir-lĂ .Lettre 8 25 dĂ©cembre / de 60 Ă 70 ans Oscar est fatiguĂ© de son escapade. Il est restĂ© avec Peggy et veut que Dieu lui rende 9 26 dĂ©cembre / de 70 Ă 80 ans Oscar a plantĂ© une graine offerte par Mamie-Rose elle vit toute sa vie en une seule journĂ©e. Avec Peggy, il a lu le dictionnaire mĂ©dical. Il nĂąâŹâąy a pas trouvĂ© les mots vie, mort, foi, Dieu et Mamie-Rose lui a expliquĂ© quĂąâŹâąĂ chacun de ces mots, il y a plusieurs solutions et, pour les trouver, il fallait chercher dans le dictionnaire philosophique. Il a aussi expliquĂ© au docteur DĂÂŒsseldorf quĂąâŹâąil nĂąâŹâąĂ©tait pas Dieu et que, dans la vie, on mourrait. CĂąâŹâąest toujours le mĂÂȘme vĂ
âu pour Oscar une 10 27 dĂ©cembre / de 80 Ă 90 ans. Peggy est partie et Oscar sait quĂąâŹâąil ne va plus la revoir. CĂąâŹâąest pourquoi il nĂąâŹâąaime plus 11 28 dĂ©cembre / de 90 Ă 100 a rendu visite Ă Oscar. Ce dernier venait de se rĂ©veiller ; il Ă©tait trĂšs tĂÂŽt, le soleil se levait, enfin, Dieu crĂ©ait lĂąâŹâąaube. Il a dit son secret au garçon voir chaque jour le monde comme si cĂąâŹâąĂ©tait la premiĂšre fois. Oscar a trouvĂ© cela fantastique et souhaite que Dieu fasse Ă le coup de la premiĂšre fois Ă» Ă ses parents et Ă 12 29 dĂ©cembre / de 100 Ă 110 ans. Oscar voit la vie comme un cadeau quĂąâŹâąon surestime au dĂ©but vie Ă©ternelle, ensuite on le sous-estime vie trop courte et Ă la fin on voit que cĂąâŹâąest seulement un prĂÂȘt. Il veut que Dieu rende visite Ă ses parents car il est trop fatiguĂ©.Lettre 13 30 dĂ©cembre / de 110 Ă 120 Ă commence Ă mourir Ă».Lettre 14 31 dĂ©cembre CĂąâŹâąest Mamie-Rose qui Ă©crit cette lettre. Oscar est mort, pendant que, elle et les parents du garçon, faisaient une pause-cafĂ©. Il est mort pendant quĂąâŹâąils nĂąâŹâąĂ©taient pas lĂ , pour les faire moins souffrir. Elle remercie Dieu de lui avoir fait connaitre Oscar, mĂÂȘme si maintenant elle a le cĂ
âur lourd. En post-scriptum, elle dit que, les trois derniers jours, Oscar avait mis une pancarte oĂÂč il y avait Ă©crit Ă seul Dieu a le droit de me rĂ©veiller Ă».
Tabledes tableaux et des figures 2 Résumé 3 Introduction 4 CHAPITRE I 7 1.1 Problématique de létude 7 1.2 Formulation du problÚme 7 1.3 Objectifs 8 1.3.1 Objectif général 8 1.3.2 Objectifs spécifiques 8 1.4 Justification 9 1.5 Délimitation de létude 10 1.5.1 Unités danalyse 10 1.5.2 Délimitation spatiale 11
RĂ©sumĂ© Fausse identitĂ© est un court texte de roman policier de l'auteur Norah McClintock. Un jeune homme du nom de Chuck Benson est une police de bureau qui essaye tant bien que mal d'avoir une promotion. Alors son travaille consiste a regarder dans des journaux de petite conter des Ătats-unis. Apres avoir passer un temps de fou au mĂȘme grade, il trouve un image d'une jeune fille d'a peu prĂšs 16 ans et grĂące a un logiciel d'identification, il rĂ©alise bien, un peu plus tard , que c'est la fille d'un criminel trĂšs recherchĂ©. Moment PrĂ©fĂ©rĂ© le bout du court texte oĂč Chuck parle avec son ami sur le fait qu'il ne croit pas que le fameux logiciel fonctionne. APRĂCIATION Ce court texte est trĂšs intĂ©ressant car ce n'ait pas le sorte d'histoire ou il y a un hĂ©ros qui rĂ©ussi tous ce qu'il fait presque du premier coup. C'est l'histoire d'une personne bien normale qui pour une fois il a la chance de prouver ce qu'il vaut vraiment. Une autre chose que j'ai aimĂ©, c'est que le texte est aussi un peu informatique car il nous apprend un peu plus sur un mĂ©tier que je ne connaissait pas avant ainsi que pour le logiciel qui permet d'identifier quelqu'un a l'aide d'une de ses photos d'enfance. Donc je trouve que les idĂ©es sont bien enchainĂ© et il nous permettre dans apprendre plus en mĂȘme temps. Plus je disais que les idĂ©es sont bien enchaĂźnĂ© car la façon qu'elle a prĂ©sentĂ© ses idĂ©es on s'avait toujours de quoi elle voulait parler et on pouvait facilement diffĂ©rencier la fin de ses idĂ©es. Comme quand elle passe de la description du personnage a l'explication de l'Ă©lĂ©ment dĂ©clencheur jusqu'Ă l'explication du logiciel de recherche des personnes disparues assister par ordinateur RPDAO . Pour conclure, ce court texte est un franc succĂšs qui est tant qu'a moi Ă©crit par une trĂšs bonne auteure car ce livre en version original doit ĂȘtre un franc chef d'oeuvre.
Voiciun court roman qui devient plus qu'intéressant au fil des pages. Madurer, l'enfant malade se prend d'amitié pour Sakoumat, ce peintre venu lui donner un monde rien qu'à lui. En effet, lui ne peut sortir à cause de sa maladie et pour profiter de ce cÎté de la vie qui lui est refusé, son pÚre choisit ce peintre pour lui montrer le
îșBIOGRAPHIE Primo LEVI 1919-1987 NationalitĂ© italien. Origine socialebourgeoisie turinoise dâorigine juive, trĂšs intĂ©grĂ©e Ă la culture italienne. Culture pas conscience de sa judĂ©itĂ© comdâune diffĂ©rence essentielle. Pour lui un juif cme âest quelquâun de circoncis, qui ne fĂȘte pas NoĂ«l et ne mange pas de porc»et ensuite il dira On mâa rendu juif » la dĂ©portation. MĂ©tier chimiste Passion Amateur dâalpinisme et de montagne.îșSon arrestation RĂ©seau de rĂ©sistance dans les Alpes, appelĂ© Justice et LibertĂ©. Il est arrĂȘtĂ© par des miliciens italiens, le 13 dĂ©cembre 1943, soit quelques semaines aprĂšs la chute de Mussolini. Puis dĂ©portĂ© Ă Auschwitz en fĂ©vrier 1944 jusquâau 27 janvier 1945 date libĂ©ration du camp par lâarmĂ©e rouge. îșSi câest un homme dĂ©cembre 1945-janvier 1947 ». Le livre a Ă©tĂ© longtemps» est datĂ© mĂ©connu par le public italien, et câest seulement en 1958 quâil sera rééditĂ© Ă grand tirage.îșLe suicide de Primo Levi le 11 Avril 1987 Nilde Lotti, prĂ©sidente de la Chambre des DĂ©putĂ©s italiens, salue ainsi la mort de Primo Levi cf. p. 13 Nous devons considĂ©rer la mort tragique de Primo Levi comme un signe extrĂȘme de lâinoubliable crime contre lâhomme et la civilisation humaine que constitue le gĂ©nocide nazi. ... » îRESUME RAPIDE DE SI CâEST UN HOMME » îŽDans cet ouvrage, Primo Levi nous parle dâune rupture de notre civilisation. Moment cauchemardesque oĂč le racisme construit en idĂ©ologie dans Mein Kampf », organisĂ© par quelques monstres Hitler et ses proches, relayĂ© par des milliers de fonctionnaires-bourreaux nazis, SSâŠet quelques millions d'hommes et de femmes assoupis allemands lau pouvoir et buvant ses paroles lorsâayant portĂ© des meetings, a donnĂ© naissance Ă une nouvelle Ă©lite race aryenne, basĂ©e non pas sur les valeurs du mĂ©rite, des actions et du travail, mais uniquement sur la joie de haĂŻr l'autre. Si câest un hommeest un rĂ©cit autobiographique,tous les faits quâil relate sont vĂ©ridiques alors quâil a 24 ans, il est fait prisonnier par la milice fasciste et dĂ©portĂ© dans le camp de Monowitz Auschwitz III est un sous-camp ou l'un des trois grands camps du complexe concentrationnaire et de mise Ă mort d'Auschwitz. Il fut Ă©tabli en octobre 1942 en Pologne. Il Ă©tait conçu Ă lâorigine comme un Arbeitslager camp de travail, mais il comprenait une forte composante d'extermination. Il y avait environ 12 000 prisonniers, Juifs dans leur grande majoritĂ©. Au camp de Monowitz Ă©tait adjointe la Buna Werke, une fabrique de caoutchouc oĂč les dĂ©tenus travaillaient. La Buna Ă©tait dirigĂ©e par des civils de la compagnie IG Farben et en coopĂ©ration avec la SS. Il y restera de dĂ©cembre 1943 jusquâen janvier 1945.îșCHAPITRE 1 Le voyage Son arrestation le 13 dĂ©cembre 1943 avec ses camarades de la Giustizia e LibertĂ , d'abord internĂ© Ă Fossoli, puis il part pour Auschwitz en Pologne avec 650 autres juifs italiens. Les pages suivantes, racontent le long voyage de 15 jours, la promiscuitĂ© dans les wagons Ă bestiaux, la faim et surtout la soif. Descendus du train, c'est le tri des "voyageurs", par sexe, Ăąge et Ă©tat gĂ©nĂ©ral. Primo Levi fait partie des " bons pour le travail" il est destinĂ© au camp de Buna-Monowitz. La suite du voyage se fait en camion. CHAPITRE 2 Le fond Fin du trajet en camion arrivĂ©e au camp puis rituel d'installation en 5 actes I la sĂ©ance de dĂ©shabillage ; II la sĂ©ance de tonte et de rasage ; III la douche ; IV l'habit des dĂ©portĂ©s ; V sĂ©ance de tatouage et fin de la premiĂšre journĂ©e au camp. Description et rĂšglement du camp ; les diffĂ©rentes catĂ©gories de prisonniers ; les conditions de travail aprĂšs quelques jours passĂ©s au camp, Primo Levi dĂ©couvre toute l'horreur de la dĂ©shumanisation, de la violence des privations et des conditions de vie, dans un dĂ©cor sordide sans repĂšres temporels possibles si ce n'est le rythme de la journĂ©e de travail. CHAPITRE 3 Initiation Primo Levi est affectĂ© au block 30 difficultĂ© de rentrer en contact avec ses camarades c'est une vĂ©ritable tour de Babel. Le pain devient monnaie d'Ă©change ; problĂšmes d'hygiĂšne Ă quoi bon se laver, sans QUELQUES INFOS SUR PRIMO LEVI ET SI CâEST UN HOMME » 1îŻsavon.... Steinlauf dĂ©portĂ© plus ancien explique au narrateur que garder le rituel de la toilette, c'est continuer Ă se respecter et rester un homme. CHAPITRE 4 infirmerie Perte de la notion du temps " J'ai oubliĂ© depuis combien de jours nous faisons la navette". Le travail Ă l'usine difficile et Ă©puisant. BlessĂ© au pied, il fait la connaissance de l'infirmerie et la mascarade de la visite mĂ©dicale. Il reste 20 jours dans la "baraque de repos", le block 23, il entend parler par ses voisins des chambres Ă gaz et des fours crĂ©matoires. La musique au camp rythme les allers et les retours des dĂ©tenus. Primo Levi inactif, laisse son esprit vagabonder, souffrance suprĂȘme, dĂ©sespoir " Nous ne reviendrons pas. Personne ne sortira d'ici." CHAPITRE 5 Nos nuits Sortie de l'hĂŽpital, Primo est affectĂ© au block 45 oĂč il retrouve son ami Alberto. Entre cauchemar et rĂ©alitĂ©, il raconte toute l'angoisse de ces nuits de faux sommeil malgrĂ© la fatigue. Ce rĂȘve est celui de chacun rĂȘve de Tantale il voit des aliments mais il ne peut les manger ; rĂȘve qu'il fait le rĂ©cit de ce qu'il a vĂ©cu Ă ses proches mais personne ne lâĂ©coute... CHAPITRE 6 Le travail Changement de compagnon de nuit un Français Resnyk qui devient son compagnon de travail et qui fait tout pour lui allĂ©ger la tĂąche. Les repĂšres temporels au camp 10 H, les camions de la cantine passent ; 11 H Wachsmann va chercher la soupe ; 11h30, Question rituelle combien de soupes ? 12 H sirĂšne, heure de la soupe ; 13 H reprise du travail. CHAPITRE 7 Une bonne journĂ©e Soleil et 50 litres de soupe en plus volĂ©s expliquent l'optimisme du titre du chapitre. Fin de l'hiver. ProblĂšme de la faim " Le lager est la faim nous-mĂȘmes nous sommes la faim, la faim incarnĂ©e". Le non-sens de la Buna une usine oĂč travaillent sans relĂąche les dĂ©tenus pour rien. CHAPITRE 8 Par de lĂ le bien et le mal rĂ©fĂ©rence Ă Nietzsche Jour du changement de vĂȘtement avec 70 jours de retard jour de combines, d'Ă©changes, de vols, tout se monnaie au camp, vĂ©ritable place boursiĂšre Ă l'activitĂ© intense ! Echanges avec les civils et les peines qu'ils îșencourent s'ils sont pris en flagrant dĂ©lit. " Le vol Ă la Buna est l'unique voie d'approvisionnement rĂ©guliĂšre". Liste des produits Ă©changeables... Le narrateur interpelle le lecteur le bien et le mal a-t-il encore un sens dans cet univers ? CHAPITRE 9 Les Ă©lus et les damnĂ©s Primo Levi analyse la vie Ă lâintĂ©rieur du Lagercampet la nature humaine. Il constate quâici aussi, comme dans nâimporte quel groupehumain, ils peuvent se diviser en deux catĂ©gories les Ă©lus » et les damnĂ©s , » les rescapĂ©s et les naufragĂ©s. Mais ici cette distinction est essentielle, car il sâagit de vie ou de mort.îșAu dĂ©but de ce chapitre, il pose le problĂšme du devoir de mĂ©moire " aussi pourra-t-on se demander [...] s'il est bon d'en conserver le souvenir." Comment survivre au Lager ? Levi donne quatre exemples d'immoralitĂ© pour survivre le voleur, le calculateur, l'organisateur, faire pitiĂ©. CHAPITRE 10 Examen de chimie Primo fait partie du Kommando de chimie, le 98, il est avec Alberto. Nous sommes en mai 1944, Primo Levi est au camp depuis trois mois. Interrogatoire du docteur Pannwitz, pour apprĂ©cier les compĂ©tences des 7 candidats Ă l'examen de chimie " Apparemment ça s'est bien passĂ© mais ce serait fou de penser que le tour est jouĂ©." Au cours de cet examen, le narrateur constate que ses souvenirs de chimiste sont intacts et il se sent redevenir lui-mĂȘme. Il lui faut pourtant supporter le regard humiliant que le docteur Pannwitz pose sur lui. CHAPITRE 11 Le chant d'Ulysse Rencontre de Primo Levi avec Jean Samuel alias Pikolo, qui deviendra son ami. Ils vont ensemble chercher la soupe et Primo lui donne une leçon d'Italien avec comme rĂ©fĂ©rence "le chant d'Ulysse" de Dante. " L'espace d'un instant, j'ai oubliĂ© qui je suis et oĂč je suis" CHAPITRE 12 Les Ă©vĂ©nements de l'Ă©tĂ© Nous sommes en aoĂ»t 1944. Les attaques aĂ©riennes ont commencĂ© mais ils ne savent de qui elles sont... Rencontre avec Lorenzo, un civil italien qui donne du pain et de la soupe supplĂ©mentaire Ă Primo Levi et qui Ă©crit Ă sa famille. Lorenzo est la preuve que la bontĂ© humaine existe c'est un souffle d'humanitĂ© au milieu de la barbarie du camp. CHAPITRE 13 Octobre 1944 Depuis 7 mois au camp et l'apprĂ©hension d'un nouvel hiver. Vie dans la crainte de la sĂ©lection qui condamne les plus faibles Ă la chambre Ă gaz de Birkenau. Jour de sĂ©lection un dimanche ... Il n'est pas sĂ©lectionnĂ©. QUELQUES INFOS SUR PRIMO LEVI ET SI CâEST UN HOMME » 2îŻCHAPITRE 14 Kraus Novembre 1944 il pleut. Rencontre avec Kraus, un juif hongrois qui ne rĂ©ussit pas Ă s'adapter au camp. Sur le chemin du retour au camp aprĂšs la journĂ©e de travail, Primo Levi lui invente un rĂȘve qu'il aurait fait aprĂšs la guerre, ils se retrouvaient, vivants... Toujours se raccrocher Ă quelque chose ou quelquâun, conserver espoir et humanitĂ©. CHAPITRE 15 Die drei Leute vom Labor 3 personnes du laboratoire. Hiver 1944, Primo Levi fait d'abord l'inventaire de ceux qui ont survĂ©cu sur les 96 juifs italiens de son convoi, 67 sont morts avant le mois d'octobre, 8 ont Ă©tĂ© sĂ©lectionnĂ©s pour la chambre Ă gaz, seuls restent 21 survivants. Il travaille enfin au laboratoire de chimie et jouit de quelques privilĂšges accordĂ©s aux ouvriers spĂ©cialisĂ©s caleçon et chemise neufs, rasĂ© une fois par semaine, et surtout, il fait chaud au laboratoire, l'hiver sera moins pĂ©nible Ă supporter. Mais il est Ă nouveau assailli par ses souvenirs et la souffrance morale devient de plus en plus insupportable. CHAPITRE 16 Le dernier C'est bientĂŽt NoĂ«l. Pour transporter la soupe que Lorenzo leur apporte tous les soirs, ils confectionnent une " menaschka" espĂšce de grosse gamelle dans laquelle la soupe est transportĂ©e. Ils assistent Ă la pendaison tentative de mutinerie en public d'un des leurs passivitĂ© et rĂ©signation devant le spectacle de la mort et le soir " maintenant la honte nous accable" CHAPITRE 17 Histoire de dix jours Depuis le 11 janvier, Primo Levi est Ă l'infirmerie dans la baraque rĂ©servĂ©e aux contagieux il a la scarlatine. C'est lĂ qu'il rencontre Charles et Arthur, prisonniers politiques lorrains. La fin est une chronologie jusquâĂ lâentrĂ©e des russes dans le camp. 17 janvier Les russes sont Ă 100 km et le camp doit ĂȘtre Ă©vacuĂ©, seuls les malades trop faibles ne font pas partie du convoi " dans la nuit du 17 janvier partent 20 000 hommes [...] presque tous disparurent durant la marche de la mort ou d'Ă©vacuation" 18 janvier Bombardements au-dessus du camp, certaines baraques sont en flammes îșîșîșîșîșîș 19 janvier en quĂȘte d'un poĂȘle. Plus d'eau, plus d'Ă©lectricitĂ©, rien Ă manger dĂ©couverte d'un poĂȘle et de pommes de terre. Premier geste humain les compagnons de la chambrĂ©e dĂ©cident de donner chacun une tranche de pain aux travailleurs Charles, Arthur et Primo. Par ce geste " nous avons cessĂ© d'ĂȘtre des HĂąftlinge prisonniers dĂ©portĂ©s pour apprendre Ă redevenir des hommes" 20 janvier toujours en quĂȘte de nourriture, ils dĂ©couvrent des navets et des choux et malgrĂ© le gel, ils rĂ©ussissent Ă en dĂ©tacher Ă coup de pioche. Charles trouve mĂȘme du sel et un bidon de 50 litres d'eau. La Wehrmacht en fuite dĂ©file sur la route non loin du camp. 21 janvier L'Ă©tat de saletĂ© et d'immondices du camp 22 janvier RĂšglement de compte de quelques SS restĂ©s cachĂ©s au camp ils exĂ©cutent 18 Français. Pillage du bĂątiment des SS vodka, couvertures... 23 janvier dĂ©couverte d'une mine de pommes de terre Ă l'extĂ©rieur du camp 24 janvier Un spectacle de morts et de dĂ©solation les entoure. ExpĂ©dition de la baraque 14, celle des opĂ©rĂ©s, ils investissent le camp des prisonniers anglais et ramĂšnent du lard, de la farine, de l' u-de-vie, ea des vĂȘtements... 25 janvier Somogyi est de plus en plus mal et il offre son pain Ă ses compagnons... Longue agonie douloureuse " Jamais comme alors je n'ai compris combien la mort d'un homme est laborieuse." Avec Charles et Arthur, ils commencent Ă reparler de la vie " Nous nous sentĂźmes redevenir des hommes" 26 janvier Somogyi est mort pendant la nuit. 27 janvier Charles et Arthur vont enterrer Sogomyi, quand les Russes arrivent le camp est enfin libĂ©rĂ©. DEBUT DE LA TREVEqu'Ă©crit en 1963, c'est-Ă -dire, 16 ans aprĂšs, est la suite rĂ©cit qui, bien chronologique de Si c'est un homme. Rappel fin de Si c'est un homme " Les Russe arrivĂšrent alors que Charles et moi Ă©tions en train de transporter Somogyi Ă quelque distance de lĂ . Il Ă©tait trĂšs lĂ©ger. Nous renversĂąmes le brancard sur la neige grise. Charles ĂŽta son calot. Je regrettai de ne pas en avoir un. [...]" "La premiĂšre patrouille russe arriva en vue du camp vers midi, le 27 janvier 1945. Charles et moi la dĂ©couvrĂźmes avant les autres ; nous transportions Ă la fosse commune le corps de Samogyi, le premier mort de notre chambrĂ©e. Nous renversĂąmes la civiĂšre sur la neige souillĂ©e, car la fosse commune Ă©tait pleine et l'on ne donnait pas d'autre sĂ©pulture Charles enleva son bonnet pour saluer les vivants et les morts." îșQUELQUES INFOS SUR PRIMO LEVI ET SI CâEST UN HOMME » 3îŻ
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oscar et la dame rose résumé par chapitre