Lirela Barbe bleue et préparer un résumé oral. Revoir la conjugaison et apprendre la leçon sur l'emploi des temps du récit imparfait / passé simple. lun. 19 janv. 15. Le petit Chaperon rouge, Perrault et autres versions. Exercices sur l'emploi des temps du récit. A faire pour le : lun. 19 janv. 15. Lire Le Petit Chaperon Rouge, Contes de Perrault p. 47 à 50, et 145 à
Description de l’éditeur Cette fiche de lecture sur Oscar et la dame rose d'Eric-Emmanuel Schmitt propose une analyse complĂšte ‱ un rĂ©sumĂ© dĂ©taillĂ© sur Oscar et la dame rose ‱ une analyse des idĂ©es ‱ une analyse du style d'Eric Emmanuel SchmittÀ propos de propose plus 2500 analyses complĂštes de livres sur toute la littĂ©rature classique et contemporaine des rĂ©sumĂ©s, des analyses de livres, des questionnaires et des commentaires composĂ©s, etc. Nos analyses sont plĂ©biscitĂ©es par les lycĂ©ens et les enseignants. Toutes nos analyses sont tĂ©lĂ©chargeables directement en ligne. FichesdeLecture est partenaire du MinistĂšre de l' d'informations sur GENRE Ouvrages de rĂ©fĂ©rence SORTIE 2014 10 dĂ©cembre LANGUE FR Français LONGUEUR 24 Pages ÉDITIONS TAILLE 138,7 Ko Plus de livres par AndrĂ© Bonnet D’autres ont aussi achetĂ©
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INTRODUCTION Le roman Lorsque j’étais une Ɠuvre d’art a Ă©tĂ© Ă©crit par Eric-Emmanuel Schmitt et a Ă©tĂ© publiĂ© en 2002. Cet Ă©crivain est agrĂ©gĂ© et titulaire d’un doctorat de philosophie. Il s’est fait connaĂźtre tout d’abord au théùtre, il a Ă©galement beaucoup Ă©crit de romans et d’essais ainsi que des rĂ©cits. J’ai eu l’occasion de lire une autre Ɠuvre de ce mĂȘme auteur Oscar et la dame rose » paru Ă©galement en 2002. Le roman raconte l’histoire d’un jeune homme d’une vingtaine d’annĂ©es, dĂ©primĂ© qui se trouve inexistant et incapable de rĂ©ussir quoi que ce soit mĂȘme son suicide est ratĂ©. Alors qu’il est sur le point de se suicider, il croise un artiste contemporain excentrique et mondialement connu. Ce dernier lui proposera de racheter son Ăąme et son corps afin d’en faire une Ɠuvre d’art vivante ou plutĂŽt un objet d’art, acte qu’il va d’ailleurs regretter par la suite. Ce roman fait Ă©cho Ă  Frankenstein de Mary Shelley car dans ces deux Ɠuvres la crĂ©ature va Ă©chapper au crĂ©ateur et va mĂȘme se rebeller contre lui. C’est Ă©galement le cas dans le roman La vague de Todd Strasser oĂč il ne sera pas question d’une crĂ©ature mais d’un mouvement dont le crĂ©ateur ne sera plus le maĂźtre. OBJET- LIVRE Je trouve toujours le format du livre livre de poche pratique car il peut ĂȘtre emmenĂ© et lu partout et que cela est un avantage pour mon entrĂ©e en lecture. La police d’écriture est plaisante Ă  lire bien que les caractĂšres soient rapprochĂ©s. Quant Ă  la premiĂšre de couverture, on s’attend Ă  une histoire non banale, originale. Elle est trĂšs colorĂ©e et peut ĂȘtre comparĂ©e Ă  certaines Ɠuvres contemporaines comme par exemple celles d’Andy Warhol. TENSION DRAMATIQUE Le rĂ©cit est assez bien construit du point de vue du dĂ©voilement progressif des informations. Nous avançons pas Ă  pas dans une histoire, dans une crĂ©ation qui nous amĂšne Ă  rĂ©flĂ©chir sur des thĂšmes typiquement de l’époque actuelle la reconnaissance, le succĂšs, l’esthĂ©tique
 J’ai trouvĂ© cependant certains passages un peu longs et rĂ©pĂ©titifs vers la fin du roman comme par exemple avec les diffĂ©rents conservateurs de musĂ©es. LISIBILITÉ/COMPLEXITÉ J’ai trouvĂ© que le roman se lisait facilement et rapidement, j’étais curieux d’avancer dans la lecture afin de savoir ce qui allait arriver au hĂ©ros du livre Adam bis. Les personnages sont peu nombreux. L’écrivain a choisi des noms originaux, faisant rĂ©fĂ©rence Ă  la mythologie grecque pour Zeus-Peter Lama ou au premier homme ayant existĂ© pour Adam bis. Les personnages sont donc Tazio Firelli = Adam bis un jeune homme inexistant, dĂ©primĂ© et vulnĂ©rable. Zeus-Peter Lama un artiste contemporain mondialement connu et manipulateur. Enzo et Rienzi Firelli frĂšres jumeaux d’une trĂšs grande beautĂ© et frĂšres de Tazio. Ce sont deux personnages insignifiants. Docteur Fichet le mĂ©decin au service de Zeus-Peter Lama Carlos Hannibal un peintre de l’invisible et pĂšre de Fiona. Fiona Hannibal fille de Carlos qui deviendra l’épouse d’Adam bis. Les lieux sont eux aussi peu nombreux il est surtout question de la somptueuse villa de Zeus-Peter Lama l’Ombrilic. Ce mot nom se rapproche d’ombilic nombril, maison qui est d’ailleurs aussi extravagante que son propriĂ©taire oĂč une seule chose ne trouvait pas sa place sur les murs de cette demeure la mesure ». Il n’y a que quelques scĂšnes en extĂ©rieur comme par exemple la plage oĂč Adam bis aime retrouver Carlos Hannibal et sa fille Fiona. Sinon, tout se dĂ©roule en intĂ©rieur et cela renforce cette idĂ©e de manque de libertĂ©. RÉALISME ET/OU VRAISEMBLANCE Le rĂ©cit m’a plu pour son habile mĂ©lange de vraisemblance et d’invraisemblance. La vraisemblance car c’est une satire de ce que certaines personnes sont capables de faire. Les limites qu’elles peuvent franchir pour ĂȘtre reconnu, pour cette quĂȘte de cĂ©lĂ©britĂ© Ă  tout prix et c’est lĂ  que nous nous rendons compte de la bĂȘtise humaine. D’ailleurs, Eric-Emmanuel Schmitt traite cela de façon comique, il se moque de façon impitoyable. Par exemple, Zeus-Peter Lama est un artiste de l’inutile, il a sculptĂ© la paille», emballĂ© la statue de la LibertĂ© dans du papier tue-mouches» . Bref, que des choses futiles, qui ne servent Ă  rien. Sculpter les corps est incroyable mais on ne peut s’empĂȘcher de faire un rapprochement avec la chirurgie esthĂ©tique pratiquĂ©e par certains chirurgiens. D’ailleurs, il paraĂźtrait qu’Eric-Emmanuel Schmitt aurait Ă©crit son roman Ă  la suite d’une Ă©mission tĂ©lĂ©visĂ©e qu’il regardait montrant une personne ayant subie de nombreuses opĂ©rations afin de devenir de plus en plus beau. Le cĂŽtĂ© invraisemblable est prĂ©sent en ce sens qu’il n’est pas possible d’acheter un corps humain, d’en faire sa propriĂ©tĂ© ». GENRE –THÈME Il ne m’est pas possible d’établir de comparaison avec ma propre expĂ©rience cependant ce roman m’a plu par son cĂŽtĂ© fantastique et comique. Par certains aspects, il est proche de la mentalitĂ© de notre sociĂ©tĂ© actuelle le paraĂźtre, l’apparence, le pouvoir de l’argent, la cĂ©lĂ©britĂ©. Tout ce qui peut faire faire n’importe quoi pour ĂȘtre connu, reconnu et aussi l’image que l’on renvoie aux autres afin de trouver sa place dans la vie. Il est question dans ce roman d’extravagance, ainsi des pierres prĂ©cieuses Ă©taient serties dans l’émail des canines et des incisives» de Zeus-Peter Lama, les domestiques sont habillĂ©s en pingouins», le plat principal arrivait sur une civiĂšre et Ă©tait un immense corps d’athlĂšte caramĂ©lisĂ©, composĂ© de toutes les viandes existantes
 ». J’ai trouvĂ© cela absolument grotesque. Tout n’est qu’apparence, futilitĂ©, Zeus-Peter Lama a sculptĂ© la paille», colorĂ© le Danube» mĂȘme les couleurs utilisĂ©es pour peindre sont ridicules pervenche de sous-bois au soleil» ou bien rouge matriciel» cela ne veut rien dire. Adam bis, pour sa renaissance, ira jusqu’à simuler son dĂ©cĂšs et des funĂ©railles, auxquelles d’ailleurs Adam bis assistera. STYLE Pour ce qui est du niveau de langue, celui-ci est assez agrĂ©able, plaisant et facile Ă  lire avec des phrases qui sont relativement courtes. Toutefois, l’auteur peut utiliser un style recherchĂ© en utilisant des mots tels que l’histrion», un panĂ©gyrique» ou encore un sonomĂ©gaphore». Puis, enchaĂźner avec un style beaucoup plus familier et mĂȘme cru Ă  certains moments, nous avons se faire la gueule», ma merde», il va tout me bousiller», le cul dans le beurre», tomber en cloque». Les femmes sont mĂȘme traitĂ©es de morues». Cet artiste est mĂ©prisant et n’éprouve aucun respect ; d’ailleurs, ne pas connaĂźtre Zeus-Peter Lama, c’est avoir de l’avoine Ă  la place du cerveau». A certains moments, le personnage principal ainsi que Rolanda en fin de roman s’expriment sans utiliser de pronom personnel je» et nous lisons me trompé», uriner comment ?», trĂšs trĂšs fatiguant d’ĂȘtre une Ɠuvre d’art», surtout Rolanda taurine». Dans ce roman, l’écrivain a utilisĂ© le discours argumentatif. D’une part, quand Zeus-Peter Lama veut convaincre Adam bis et Ă©galement lors du dĂ©bat au moment du procĂšs. Ainsi, nous trouvons des connecteurs tels que parce que», autant» ou puisque» pour se justifier. D’autre part, en revanche» et donc» quand il s’agit de faire le bilan en fin de roman. Eric-Emmanuel Schmitt utilise beaucoup de dialogues ce qui rend le roman trĂšs vivant. Il y a Ă©galement Ă©normĂ©ment de points d’interrogation le personnage d’Adam s’interroge beaucoup ce qui amĂšne Ă©galement le lecteur Ă  rĂ©flĂ©chir lui aussi et Ă  partager un peu les diffĂ©rentes Ă©motions du hĂ©ros. TENSION ÉMOTIONNELLE MĂȘme si le rĂ©cit ne me permet pas de m’identifier, je ne peux rester indiffĂ©rent Ă  ce qui arrive Ă  Adam bis. C’est une histoire qui est perturbante et qui fait froid dans le dos par certains aspects. Le suspens concernant le sort du personnage principal demeure jusqu’à la fin du livre, c’est-Ă -dire jusqu’au procĂšs. Le lecteur que je suis est amenĂ© Ă  rĂ©flĂ©chir en lisant ce roman sur l’art, la cĂ©lĂ©britĂ©, l’esthĂ©tique. Tout n’est qu’apparence, duperie, ambiance superficielle et on ne s’y sent pas Ă  l’aise, mĂȘme la grille est hautaine ». CARACTÈRE MORAL DiffĂ©rentes valeurs sont abordĂ©es dans ce roman La libertĂ©, qui est d’ailleurs bafouĂ©e tout au long du roman mais qu’Adam bis retrouve dans les derniĂšres pages du rĂ©cit, quand il rĂ©ussit Ă  se libĂ©rer de l’autoritĂ© de son crĂ©ateur. Il devient conscient que Zeus-Peter Lama veut le priver de sa conscience une des seules choses qui lui reste avec ses yeux et sa voix. L’amour qu’éprouve Adam bis Ă  l’égard de Fiona et Carlos Hannibal. C’est d’ailleurs grĂące Ă  cet amour qu’il rĂ©ussira Ă  se sortir des griffes de Zeus-Peter Lama. Cet amour est si fort qu’Adam bis dit mĂȘme aimer trois fois». Carlos Hannibal ainsi que sa fille Fiona vont radicalement changer son regard sur la vie. En ce qui concerne Carlos Hannibal, ce dernier n’a jamais vĂ©ritablement connu le succĂšs sauf Ă  titre posthume mais il a vĂ©cu heureux en exerçant un mĂ©tier qu’il aimait. Ce rĂ©cit me semble moralisateur car l’écrivain a un esprit critique en montrant au lecteur jusqu’oĂč la bĂȘtise humaine peut aller. ORIGINALITÉ L’histoire est originale et loufoque. En revanche, la fin du rĂ©cit m’a surprise et j’ai trouvĂ© qu’il se terminait un peu comme les contes de fĂ©es ils vĂ©curent heureux et eurent beaucoup d’enfants». J’ai trouvĂ© qu’il y avait un grand dĂ©calage par rapport au reste de l’histoire. La maison avec des enfants, la vie de famille tout Ă  fait normale, cela a un cĂŽtĂ© trĂšs rĂ©aliste. Et mĂȘme si, en fin de roman, on Ă©tait conscient qu’Adam bis voulait changer ses conditions de vie ne plus ĂȘtre sous le joug de Zeus-Peter Lama, je ne me doutais cependant pas qu’Adam bis aurait une vie aussi rangĂ©e. Ce n’est donc pas une fin de roman originale mais cela donne une note positive, une bouffĂ©e d’espoir dans un monde oĂč l’avenir d’Adam bis semblait trĂšs compromis. COMPARAISON AVEC LES AUTRES ƒUVRES DE LA SÉQUENCE Ce roman peut ĂȘtre rapprochĂ© de celui de Mary Shelley Frankenstein car lĂ  aussi, il est question d’une crĂ©ature qui se rebelle contre son crĂ©ateur. Dans les deux cas, les crĂ©ateurs sont considĂ©rĂ©s comme des gĂ©nies. Dans les deux romans, les crĂ©ateurs nous apparaissent comme des monstres. CONCLUSION Bien que je ne sois pas particuliĂšrement attirĂ© par les romans du genre fantastique, il m’a quand mĂȘme tenu en haleine et m’a amenĂ© Ă  rĂ©flĂ©chir sur ce que sont prĂȘtes Ă  faire certaines personnes pour exister dans le monde actuel. Eric-Emmanuel Schmitt a dit un jour A trop se regarder, on s’empĂȘche de vivre ».
Jai eu l’occasion de lire une autre Ɠuvre de ce mĂȘme auteur : « Oscar et la dame rose » paru Ă©galement en 2002. Le roman raconte l’histoire d’un jeune homme d’une vingtaine d’annĂ©es, dĂ©primĂ© qui se trouve inexistant et incapable de rĂ©ussir quoi que ce soit : mĂȘme son suicide est ratĂ©.

Titre La double vie de Cassiel RoadnightAuteure Jenny Valentine Maison d’édition L’école des loisirs Genre Policier Tome Unique Pages 332 Prix 10€ RĂ©sumĂ© Chap n’a pas cherchĂ© Ă  se faire passer pour un autre, il a simplement laissĂ© faire. Dans ce foyer d’urgence pour jeunes paumĂ©s oĂč il refusait obstinĂ©ment de donner son nom, les gens du centre sont venus le voir avec une photo, celle d’un ado portĂ© disparu qui lui ressemblait comme deux gouttes d’eau. Chap a fini par dire ce que les autres attendaient, que c’était bien lui Cassiel Roadnight ! Et puis tout s’est enchaĂźnĂ©, la sƓur de Cassiel est venue le chercher pour le ramener chez lui, dans sa maison, oĂč l’attendaient sa mĂšre et son grand frĂšre. Chap n’a pas pensĂ© qu’il allait vivre sous leur regard, chaque jour, chaque heure, chaque seconde et qu’il ne pourrait jamais se dĂ©tendre ni se laisser aller. Un geste dĂ©placĂ©, un mot de travers, une mauvaise rĂ©action risqueraient de donner l’alarme et de tout faire basculer ! Il n’a pas imaginĂ© non plus que Cassiel pouvait cacher un secret monstrueux, et que c’est lui, Chap, qui allait en hĂ©riter. Avis J’ai dĂ» lire ce livre pour les cours. Pour ce livre-ci, je me suis dit que ça pouvait peut-ĂȘtre me plaire puisque dans ma librairie, il Ă©tait en prĂ©sentation avec Ă©crit dessus Captivant et Haletant ». Et franchement, j’ai bien aimĂ© ce roman. Dans ce livre, on suit Chap qui ne sait pas d’oĂč il vient et qui il est. Un jour, dans un foyer pour jeunes impossibles de Londres, on va lui monter une photo d’un enfant, Cass, qui lui ressemble comme deux gouttes d’eau et qui est portĂ© disparu depuis quasiment deux ans. Il va dire que c’est lui, Cass. Mais il va se rendre compte que ce mystĂ©rieux garçon cache en fait un terrible secret qui pourrait Ă  jamais changer sa vie. J’ai trouvĂ© que la plume de l’auteure Ă©tait assez simple. Cependant, elle nous tenait en haleine et les pages se tournaient trĂšs rapidement. Le vocabulaire utilisĂ© Ă©tait Ă©galement trĂšs simple et comprĂ©hensible. J'ai Ă©galement beaucoup apprĂ©ciĂ© le fait qu'elle nous dĂ©livre les parties de l'histoire du passĂ© de Chap pendant tout le long de l'histoire. Elle entretenait le suspens et ça, j'aime beaucoup. Cependant, les 150 premiĂšres Ă©taient pour moi trĂšs longues, les derniers chapitres, quant Ă  eux, vont trĂšs vite. J’ai beaucoup aimĂ© le personnage de Chap et plus j'avançais dans ma lecture, plu j'avais de la peine pour lui. Il est dĂ©jĂ  paumĂ© au dĂ©but de l'histoire et au fur et Ă  mesure de l'histoire, il se rend compte qu'il est encore plus paumĂ© et qu'il n'est pas forcĂ©ment celui qu'il pense ĂȘtre. Franchement, je ne voudrais pas ĂȘtre Ă  sa place. Surtout qu'il pensait finir sa vie d'une bonne maniĂšre et qu'il va se rendre compte que prendre la place de Cass, ce n'Ă©tait pas un cadeau. Conclusion J'ai aimĂ© ce livre, mais sans plus. J'ai bien aimĂ© l'intrigue, mais le 150 premiĂšres pages sont pour moi beaucoup trop longues. Le personnage de Chap et son passĂ© m'ont beaucoup plu.

Ecrireet combattre pour l'Ă©galitĂ© au XVIIIĂšme siĂšcle Le mouvement littĂ©raire des LumiĂšres ABBÉ PRÉVOST Manon Lescaut, La rencontre Manon Lescaut, Les retrouvailles au parloir de Saint-Sulpice Manon Lescaut, Les retrouvailles entre Des Grieux et son pĂšre Manon Lescaut, Des Grieux et Tiberge Manon Lescaut, La mort de Manon Olivier ADAM Incipit
Voici un résumé détaillé du court roman épistolaire d'Eric-Emmanuel Smith. Ce genre de résumés permet de comprendre la structure globale d'un long roman mais ne remplace en rien une lecture complÚte de l'ouvrage...Lettre 1 18 décembreOscar est un garçon de 10 ans. Il vit à lñ€ℱhÎpital à cause de son cancer. Depuis sa greffe de moelle osseuse, les médecins- dont le docteur DĂƒÂŒsseldorf - sont sceptiques et Oscar voit bien quñ€ℱil va peut-ÃÂȘtre mourir. Seule une des femmes infirmiÚres qui travaillent bénévolement à lñ€ℱhÎpital, Mamie-Rose, ne change pas lorsquñ€ℱelle voit Oscar. Elle lui confesse des secrets. Son vrai métier, en fait, cñ€ℱest catcheuse, sous le nom de  lñ€ℱÉtrangleuse du Languedoc ». Elle raconte ses combats à Oscar ce qui le fait rÃÂȘver. Un jour, celui-ci lui demande sñ€ℱil va mourir et, si oui, pourquoi personne ne lui dit. Elle lui répond que sñ€ℱil le sait, les médecins nñ€ℱont pas besoin de le lui dire. Alors, elle lui propose dĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©crire à Dieu dans des lettres et elle lui assure quñ€ℱil a le droit à un vÅ“u par jour. Oscar, qui pense que Dieu cñ€ℱest comme le PÚre NoÃl, nñ€ℱy croit pas trop mais le fait quand mÃÂȘme. À la fin de la lettre, Oscar demande à Dieu de savoir sñ€ℱil va mourir ou 2 19 décembre / de 0 à 10 ansLes parents dñ€ℱOscar ne viennent dñ€ℱhabitude que le dimanche pour voir leur fils. Mais ce jour-là , Popcorn, le copain obÚse dñ€ℱOscar, lui annonce quñ€ℱil y a leur voiture sur le parking. Il va dans sa chambre mais ses parents ne viennent pas. Il entend des voix dans le bureau du Docteur DĂƒÂŒsseldorf et écoute. Il apprend que les médecins ont tout essayé et il entend sa mÚre pleurer. Alors quñ€ℱils allaient sortir, Oscar se cache dans la premiÚre piÚce venue, un placard à balais. Mais on ne peut que lñ€ℱouvrir que de lñ€ℱextérieur et il reste coincé toute la matinée. À lñ€ℱintérieur, il réfléchit et conclut que ses parents sont des lùches et quñ€ℱil les déteste. La femme de ménage le retrouve ensuite. Une fois dans sa chambre, il veut voir Mamie-Rose. Celle-ci vient et tous les deux commencent à discuter des parents dñ€ℱOscar quñ€ℱils traitent de  cons ». Normalement, deux visites sont autorisées par semaine. Mais, lorsque Mamie-Rose sñ€ℱapprÃÂȘte à partir, le garçon veut absolument la revoir le lendemain. La femme demande lñ€ℱautorisation au docteur qui le lui accorde pendant douze jours. Alors, voyant quñ€ℱils étaient le 19 décembre, elle propose un jeu à Oscar chaque jour compte pour dix ans. Oscar accepte et donc, ce jour-là , il eut dix ans. Comme vÅ“u, il demande à Dieu de lui rendre 3 20 décembre / de 10 à 20 ansCñ€ℱest lñ€ℱadolescence pour Oscar. Dieu ne lui a pas rendu visite et il a eu beaucoup de problÚmes avec les filles, ses copains et ses parents lorsquñ€ℱil sñ€ℱest réveillé, Mamie-Rose était là . Elle lui a demandé qui il aimait à lñ€ℱhÎpital et il a répondu  Popcorn, Bacon- un garçon gravement brûlé et Einstein- un de ses copains qui a la tÃÂȘte deux fois plus grosse que la moyenne ». Ensuite, elle lui a demandé comme fille et a répondu Peggy Blue, une fille atteinte de la maladie bleue, ce qui rend sa peau bleutée. Elle lui a proposé alors de lui dire quñ€ℱil lñ€ℱaimait bien et il accepta car, à 15 ans, il voulait la protéger des fantÎmes. Mais Popcorn protégeait déjà Peggy et il lui dit dñ€ℱaller voir Sandrine dite  la Chinoise », atteinte dñ€ℱune leucémie. MÃÂȘme sñ€ℱil ne voulait pas trop, Oscar lñ€ℱa embrassé. Juste à ce moment-là , ses parents sont arrivés. Ils lui ont offert un lecteur CD avec Casse-Noisette. Comme il ne voulait pas leur parler, il lñ€ℱa écouté deux fois et ils sont partis. AprÚs avoir dormi et une visite de Mamie-Rose, Oscar est allé voir Peggy. Elle a acceptée quñ€ℱil la protÚge des fantÎmes et il a demandé à Dieu que tous les deux se 4 21 décembre / de 20 à 30 ansCette nuit, Oscar a entendu des plaintes. Les fantÎmes ! Il a accouru dans la chambre de Peggy Blue mais cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait en fait Bacon qui criait. Ils ont dormi ensemble et se sont mariés. Le matin, Oscar a tout raconté à Mamie-Rose et cette derniÚre lñ€ℱa accompagné à la chapelle. En voyant la statue de Jésus sur la croix, Oscar nñ€ℱy croyait pas comment Dieu pouvait souffrir autant ? Mais Mamie-Rose lui a expliqué quñ€ℱil fallait plus avoir confiance en quelquñ€ℱun qui souffre quñ€ℱen quelquñ€ℱun de fort, quñ€ℱil fallait distinguer souffrance physique et morale et quñ€ℱil ne fallait pas avoir de lñ€ℱinconnu de la mort mais plutÎt ÃÂȘtre curieux. Oscar est de plus en plus fatigué et comme vÅ“u, il a demandé que lñ€ℱopération de Peggy se passe 5 22 décembre / de 30 à 40 ans Cñ€ℱest lñ€ℱñge des responsabilités Peggy Blue se fait opérée. Pendant quñ€ℱil était avec Mamie-Rose, il lñ€ℱa adopté, comme il lñ€ℱavait fait avec son ours en peluche Bernard. Vers 37 ans, lñ€ℱopération de Peggy avait bien réussi et Oscar a rencontré ses beaux-parents, à qui il a promis de veiller sur leur fille. Journée famille sans vÅ“ 6 23 décembre / de 40 à 50 ans Ça nñ€ℱa pas été une bonne journée pour notre héros Peggy a appris quñ€ℱOscar avait embrassé la Chinoise et lñ€ℱa quittée. Voulant se venger, elle a sympathisé avec Sandrine. Oscar fou de rage, a lui-mÃÂȘme embrassé Brigitte, une fillette trisomique. Il a ensuite remarqué que le lendemain, cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait lñ€ℱanniversaire de Dieu et lui a demandé de se réconcilier avec 7 24 décembre / de 50 à 60 ans Sachant que cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait NoÃl et que ses parents allaient venir, Oscar a fugué. Il a demandé à ses copains de lñ€ℱhabillés puis de le mettre dans la voiture de Mamie-Rose. AprÚs quelques heures, celle-ci est arrivée et est partie. La route a été longue et éprouvante et, étant fatigué, Oscar sñ€ℱest endormi. Il sñ€ℱest réveillé la nuit et il neigeait dehors. Avec tous ses efforts, il a réussi a sonné et Mamie-Rose lñ€ℱa recueilli. AprÚs deux chocolats chauds, elle lui dit quñ€ℱà lñ€ℱhÎpital tout le monde le cherchait et que ses parents étaient morts dñ€ℱinquiétude. Elle lui expliqua que, eux aussi, allaient mourir un jour et quñ€ℱils ne se seraient pas réconcilier avec leur fils unique. Oscar accepta de les appeler. Ils vinrent et tous ensemble, ils regardÚrent un combat de catch. Comme vÅ“u, Oscar veut que ses parents restent toujours comme ce soir-là .Lettre 8 25 décembre / de 60 à 70 ans Oscar est fatigué de son escapade. Il est resté avec Peggy et veut que Dieu lui rende 9 26 décembre / de 70 à 80 ans Oscar a planté une graine offerte par Mamie-Rose elle vit toute sa vie en une seule journée. Avec Peggy, il a lu le dictionnaire médical. Il nñ€ℱy a pas trouvé les mots vie, mort, foi, Dieu et Mamie-Rose lui a expliqué quñ€ℱà chacun de ces mots, il y a plusieurs solutions et, pour les trouver, il fallait chercher dans le dictionnaire philosophique. Il a aussi expliqué au docteur DĂƒÂŒsseldorf quñ€ℱil nĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait pas Dieu et que, dans la vie, on mourrait. Cñ€ℱest toujours le mÃÂȘme vÅ“u pour Oscar une 10 27 décembre / de 80 à 90 ans. Peggy est partie et Oscar sait quñ€ℱil ne va plus la revoir. Cñ€ℱest pourquoi il nñ€ℱaime plus 11 28 décembre / de 90 à 100 a rendu visite à Oscar. Ce dernier venait de se réveiller ; il était trÚs tÎt, le soleil se levait, enfin, Dieu créait lñ€ℱaube. Il a dit son secret au garçon voir chaque jour le monde comme si cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait la premiÚre fois. Oscar a trouvé cela fantastique et souhaite que Dieu fasse  le coup de la premiÚre fois » à ses parents et à 12 29 décembre / de 100 à 110 ans. Oscar voit la vie comme un cadeau quñ€ℱon surestime au début vie éternelle, ensuite on le sous-estime vie trop courte et à la fin on voit que cñ€ℱest seulement un prÃÂȘt. Il veut que Dieu rende visite à ses parents car il est trop fatigué.Lettre 13 30 décembre / de 110 à 120  commence à mourir ».Lettre 14 31 décembre Cñ€ℱest Mamie-Rose qui écrit cette lettre. Oscar est mort, pendant que, elle et les parents du garçon, faisaient une pause-café. Il est mort pendant quñ€ℱils nĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©taient pas là , pour les faire moins souffrir. Elle remercie Dieu de lui avoir fait connaitre Oscar, mÃÂȘme si maintenant elle a le cÅ“ur lourd. En post-scriptum, elle dit que, les trois derniers jours, Oscar avait mis une pancarte oÃÂč il y avait écrit  seul Dieu a le droit de me réveiller ». Tabledes tableaux et des figures 2 RĂ©sumĂ© 3 Introduction 4 CHAPITRE I 7 1.1 ProblĂ©matique de lĂ©tude 7 1.2 Formulation du problĂšme 7 1.3 Objectifs 8 1.3.1 Objectif gĂ©nĂ©ral 8 1.3.2 Objectifs spĂ©cifiques 8 1.4 Justification 9 1.5 DĂ©limitation de lĂ©tude 10 1.5.1 UnitĂ©s danalyse 10 1.5.2 DĂ©limitation spatiale 11 RĂ©sumĂ© Fausse identitĂ© est un court texte de roman policier de l'auteur Norah McClintock. Un jeune homme du nom de Chuck Benson est une police de bureau qui essaye tant bien que mal d'avoir une promotion. Alors son travaille consiste a regarder dans des journaux de petite conter des États-unis. Apres avoir passer un temps de fou au mĂȘme grade, il trouve un image d'une jeune fille d'a peu prĂšs 16 ans et grĂące a un logiciel d'identification, il rĂ©alise bien, un peu plus tard , que c'est la fille d'un criminel trĂšs recherchĂ©. Moment PrĂ©fĂ©rĂ© le bout du court texte oĂč Chuck parle avec son ami sur le fait qu'il ne croit pas que le fameux logiciel fonctionne. APRÉCIATION Ce court texte est trĂšs intĂ©ressant car ce n'ait pas le sorte d'histoire ou il y a un hĂ©ros qui rĂ©ussi tous ce qu'il fait presque du premier coup. C'est l'histoire d'une personne bien normale qui pour une fois il a la chance de prouver ce qu'il vaut vraiment. Une autre chose que j'ai aimĂ©, c'est que le texte est aussi un peu informatique car il nous apprend un peu plus sur un mĂ©tier que je ne connaissait pas avant ainsi que pour le logiciel qui permet d'identifier quelqu'un a l'aide d'une de ses photos d'enfance. Donc je trouve que les idĂ©es sont bien enchainĂ© et il nous permettre dans apprendre plus en mĂȘme temps. Plus je disais que les idĂ©es sont bien enchaĂźnĂ© car la façon qu'elle a prĂ©sentĂ© ses idĂ©es on s'avait toujours de quoi elle voulait parler et on pouvait facilement diffĂ©rencier la fin de ses idĂ©es. Comme quand elle passe de la description du personnage a l'explication de l'Ă©lĂ©ment dĂ©clencheur jusqu'Ă  l'explication du logiciel de recherche des personnes disparues assister par ordinateur RPDAO . Pour conclure, ce court texte est un franc succĂšs qui est tant qu'a moi Ă©crit par une trĂšs bonne auteure car ce livre en version original doit ĂȘtre un franc chef d'oeuvre. Voiciun court roman qui devient plus qu'intĂ©ressant au fil des pages. Madurer, l'enfant malade se prend d'amitiĂ© pour Sakoumat, ce peintre venu lui donner un monde rien qu'Ă  lui. En effet, lui ne peut sortir Ă  cause de sa maladie et pour profiter de ce cĂŽtĂ© de la vie qui lui est refusĂ©, son pĂšre choisit ce peintre pour lui montrer le
î€șBIOGRAPHIE Primo LEVI 1919-1987 NationalitĂ© italien. Origine socialebourgeoisie turinoise d’origine juive, trĂšs intĂ©grĂ©e Ă  la culture italienne. Culture pas conscience de sa judĂ©itĂ© comd’une diffĂ©rence essentielle. Pour lui un juif cme ’est quelqu’un de circoncis, qui ne fĂȘte pas NoĂ«l et ne mange pas de porc»et ensuite il dira On m’a rendu juif » la dĂ©portation. MĂ©tier chimiste Passion Amateur d’alpinisme et de montagne.î€șSon arrestation RĂ©seau de rĂ©sistance dans les Alpes, appelĂ© Justice et LibertĂ©. Il est arrĂȘtĂ© par des miliciens italiens, le 13 dĂ©cembre 1943, soit quelques semaines aprĂšs la chute de Mussolini. Puis dĂ©portĂ© Ă  Auschwitz en fĂ©vrier 1944 jusqu’au 27 janvier 1945 date libĂ©ration du camp par l’armĂ©e rouge. î€șSi c’est un homme dĂ©cembre 1945-janvier 1947 ». Le livre a Ă©tĂ© longtemps» est datĂ© mĂ©connu par le public italien, et c’est seulement en 1958 qu’il sera rééditĂ© Ă  grand tirage.î€șLe suicide de Primo Levi le 11 Avril 1987 Nilde Lotti, prĂ©sidente de la Chambre des DĂ©putĂ©s italiens, salue ainsi la mort de Primo Levi cf. p. 13 Nous devons considĂ©rer la mort tragique de Primo Levi comme un signe extrĂȘme de l’inoubliable crime contre l’homme et la civilisation humaine que constitue le gĂ©nocide nazi. ... » RESUME RAPIDE DE SI C’EST UN HOMME » Dans cet ouvrage, Primo Levi nous parle d’une rupture de notre civilisation. Moment cauchemardesque oĂč le racisme construit en idĂ©ologie dans Mein Kampf », organisĂ© par quelques monstres Hitler et ses proches, relayĂ© par des milliers de fonctionnaires-bourreaux nazis, SS
et quelques millions d'hommes et de femmes assoupis allemands lau pouvoir et buvant ses paroles lors’ayant portĂ© des meetings, a donnĂ© naissance Ă  une nouvelle Ă©lite race aryenne, basĂ©e non pas sur les valeurs du mĂ©rite, des actions et du travail, mais uniquement sur la joie de haĂŻr l'autre. Si c’est un hommeest un rĂ©cit autobiographique,tous les faits qu’il relate sont vĂ©ridiques alors qu’il a 24 ans, il est fait prisonnier par la milice fasciste et dĂ©portĂ© dans le camp de Monowitz Auschwitz III est un sous-camp ou l'un des trois grands camps du complexe concentrationnaire et de mise Ă  mort d'Auschwitz. Il fut Ă©tabli en octobre 1942 en Pologne. Il Ă©tait conçu Ă  l’origine comme un Arbeitslager camp de travail, mais il comprenait une forte composante d'extermination. Il y avait environ 12 000 prisonniers, Juifs dans leur grande majoritĂ©. Au camp de Monowitz Ă©tait adjointe la Buna Werke, une fabrique de caoutchouc oĂč les dĂ©tenus travaillaient. La Buna Ă©tait dirigĂ©e par des civils de la compagnie IG Farben et en coopĂ©ration avec la SS. Il y restera de dĂ©cembre 1943 jusqu’en janvier 1945.î€șCHAPITRE 1 Le voyage Son arrestation le 13 dĂ©cembre 1943 avec ses camarades de la Giustizia e LibertĂ , d'abord internĂ© Ă  Fossoli, puis il part pour Auschwitz en Pologne avec 650 autres juifs italiens. Les pages suivantes, racontent le long voyage de 15 jours, la promiscuitĂ© dans les wagons Ă  bestiaux, la faim et surtout la soif. Descendus du train, c'est le tri des "voyageurs", par sexe, Ăąge et Ă©tat gĂ©nĂ©ral. Primo Levi fait partie des " bons pour le travail" il est destinĂ© au camp de Buna-Monowitz. La suite du voyage se fait en camion. CHAPITRE 2 Le fond Fin du trajet en camion arrivĂ©e au camp puis rituel d'installation en 5 actes I la sĂ©ance de dĂ©shabillage ; II la sĂ©ance de tonte et de rasage ; III la douche ; IV l'habit des dĂ©portĂ©s ; V sĂ©ance de tatouage et fin de la premiĂšre journĂ©e au camp. Description et rĂšglement du camp ; les diffĂ©rentes catĂ©gories de prisonniers ; les conditions de travail aprĂšs quelques jours passĂ©s au camp, Primo Levi dĂ©couvre toute l'horreur de la dĂ©shumanisation, de la violence des privations et des conditions de vie, dans un dĂ©cor sordide sans repĂšres temporels possibles si ce n'est le rythme de la journĂ©e de travail. CHAPITRE 3 Initiation Primo Levi est affectĂ© au block 30 difficultĂ© de rentrer en contact avec ses camarades c'est une vĂ©ritable tour de Babel. Le pain devient monnaie d'Ă©change ; problĂšmes d'hygiĂšne Ă  quoi bon se laver, sans QUELQUES INFOS SUR PRIMO LEVI ET SI C’EST UN HOMME » 1savon.... Steinlauf dĂ©portĂ© plus ancien explique au narrateur que garder le rituel de la toilette, c'est continuer Ă  se respecter et rester un homme. CHAPITRE 4 infirmerie Perte de la notion du temps " J'ai oubliĂ© depuis combien de jours nous faisons la navette". Le travail Ă  l'usine difficile et Ă©puisant. BlessĂ© au pied, il fait la connaissance de l'infirmerie et la mascarade de la visite mĂ©dicale. Il reste 20 jours dans la "baraque de repos", le block 23, il entend parler par ses voisins des chambres Ă  gaz et des fours crĂ©matoires. La musique au camp rythme les allers et les retours des dĂ©tenus. Primo Levi inactif, laisse son esprit vagabonder, souffrance suprĂȘme, dĂ©sespoir " Nous ne reviendrons pas. Personne ne sortira d'ici." CHAPITRE 5 Nos nuits Sortie de l'hĂŽpital, Primo est affectĂ© au block 45 oĂč il retrouve son ami Alberto. Entre cauchemar et rĂ©alitĂ©, il raconte toute l'angoisse de ces nuits de faux sommeil malgrĂ© la fatigue. Ce rĂȘve est celui de chacun rĂȘve de Tantale il voit des aliments mais il ne peut les manger ; rĂȘve qu'il fait le rĂ©cit de ce qu'il a vĂ©cu Ă  ses proches mais personne ne l’écoute... CHAPITRE 6 Le travail Changement de compagnon de nuit un Français Resnyk qui devient son compagnon de travail et qui fait tout pour lui allĂ©ger la tĂąche. Les repĂšres temporels au camp 10 H, les camions de la cantine passent ; 11 H Wachsmann va chercher la soupe ; 11h30, Question rituelle combien de soupes ? 12 H sirĂšne, heure de la soupe ; 13 H reprise du travail. CHAPITRE 7 Une bonne journĂ©e Soleil et 50 litres de soupe en plus volĂ©s expliquent l'optimisme du titre du chapitre. Fin de l'hiver. ProblĂšme de la faim " Le lager est la faim nous-mĂȘmes nous sommes la faim, la faim incarnĂ©e". Le non-sens de la Buna une usine oĂč travaillent sans relĂąche les dĂ©tenus pour rien. CHAPITRE 8 Par de lĂ  le bien et le mal rĂ©fĂ©rence Ă  Nietzsche Jour du changement de vĂȘtement avec 70 jours de retard jour de combines, d'Ă©changes, de vols, tout se monnaie au camp, vĂ©ritable place boursiĂšre Ă  l'activitĂ© intense ! Echanges avec les civils et les peines qu'ils î€șencourent s'ils sont pris en flagrant dĂ©lit. " Le vol Ă  la Buna est l'unique voie d'approvisionnement rĂ©guliĂšre". Liste des produits Ă©changeables... Le narrateur interpelle le lecteur le bien et le mal a-t-il encore un sens dans cet univers ? CHAPITRE 9 Les Ă©lus et les damnĂ©s Primo Levi analyse la vie Ă  l’intĂ©rieur du Lagercampet la nature humaine. Il constate qu’ici aussi, comme dans n’importe quel groupehumain, ils peuvent se diviser en deux catĂ©gories les Ă©lus » et les damnĂ©s , » les rescapĂ©s et les naufragĂ©s. Mais ici cette distinction est essentielle, car il s’agit de vie ou de mort.î€șAu dĂ©but de ce chapitre, il pose le problĂšme du devoir de mĂ©moire " aussi pourra-t-on se demander [...] s'il est bon d'en conserver le souvenir." Comment survivre au Lager ? Levi donne quatre exemples d'immoralitĂ© pour survivre le voleur, le calculateur, l'organisateur, faire pitiĂ©. CHAPITRE 10 Examen de chimie Primo fait partie du Kommando de chimie, le 98, il est avec Alberto. Nous sommes en mai 1944, Primo Levi est au camp depuis trois mois. Interrogatoire du docteur Pannwitz, pour apprĂ©cier les compĂ©tences des 7 candidats Ă  l'examen de chimie " Apparemment ça s'est bien passĂ© mais ce serait fou de penser que le tour est jouĂ©." Au cours de cet examen, le narrateur constate que ses souvenirs de chimiste sont intacts et il se sent redevenir lui-mĂȘme. Il lui faut pourtant supporter le regard humiliant que le docteur Pannwitz pose sur lui. CHAPITRE 11 Le chant d'Ulysse Rencontre de Primo Levi avec Jean Samuel alias Pikolo, qui deviendra son ami. Ils vont ensemble chercher la soupe et Primo lui donne une leçon d'Italien avec comme rĂ©fĂ©rence "le chant d'Ulysse" de Dante. " L'espace d'un instant, j'ai oubliĂ© qui je suis et oĂč je suis" CHAPITRE 12 Les Ă©vĂ©nements de l'Ă©tĂ© Nous sommes en aoĂ»t 1944. Les attaques aĂ©riennes ont commencĂ© mais ils ne savent de qui elles sont... Rencontre avec Lorenzo, un civil italien qui donne du pain et de la soupe supplĂ©mentaire Ă  Primo Levi et qui Ă©crit Ă  sa famille. Lorenzo est la preuve que la bontĂ© humaine existe c'est un souffle d'humanitĂ© au milieu de la barbarie du camp. CHAPITRE 13 Octobre 1944 Depuis 7 mois au camp et l'apprĂ©hension d'un nouvel hiver. Vie dans la crainte de la sĂ©lection qui condamne les plus faibles Ă  la chambre Ă  gaz de Birkenau. Jour de sĂ©lection un dimanche ... Il n'est pas sĂ©lectionnĂ©. QUELQUES INFOS SUR PRIMO LEVI ET SI C’EST UN HOMME » 2CHAPITRE 14 Kraus Novembre 1944 il pleut. Rencontre avec Kraus, un juif hongrois qui ne rĂ©ussit pas Ă  s'adapter au camp. Sur le chemin du retour au camp aprĂšs la journĂ©e de travail, Primo Levi lui invente un rĂȘve qu'il aurait fait aprĂšs la guerre, ils se retrouvaient, vivants... Toujours se raccrocher Ă  quelque chose ou quelqu’un, conserver espoir et humanitĂ©. CHAPITRE 15 Die drei Leute vom Labor 3 personnes du laboratoire. Hiver 1944, Primo Levi fait d'abord l'inventaire de ceux qui ont survĂ©cu sur les 96 juifs italiens de son convoi, 67 sont morts avant le mois d'octobre, 8 ont Ă©tĂ© sĂ©lectionnĂ©s pour la chambre Ă  gaz, seuls restent 21 survivants. Il travaille enfin au laboratoire de chimie et jouit de quelques privilĂšges accordĂ©s aux ouvriers spĂ©cialisĂ©s caleçon et chemise neufs, rasĂ© une fois par semaine, et surtout, il fait chaud au laboratoire, l'hiver sera moins pĂ©nible Ă  supporter. Mais il est Ă  nouveau assailli par ses souvenirs et la souffrance morale devient de plus en plus insupportable. CHAPITRE 16 Le dernier C'est bientĂŽt NoĂ«l. Pour transporter la soupe que Lorenzo leur apporte tous les soirs, ils confectionnent une " menaschka" espĂšce de grosse gamelle dans laquelle la soupe est transportĂ©e. Ils assistent Ă  la pendaison tentative de mutinerie en public d'un des leurs passivitĂ© et rĂ©signation devant le spectacle de la mort et le soir " maintenant la honte nous accable" CHAPITRE 17 Histoire de dix jours Depuis le 11 janvier, Primo Levi est Ă  l'infirmerie dans la baraque rĂ©servĂ©e aux contagieux il a la scarlatine. C'est lĂ  qu'il rencontre Charles et Arthur, prisonniers politiques lorrains. La fin est une chronologie jusqu’à l’entrĂ©e des russes dans le camp. 17 janvier Les russes sont Ă  100 km et le camp doit ĂȘtre Ă©vacuĂ©, seuls les malades trop faibles ne font pas partie du convoi " dans la nuit du 17 janvier partent 20 000 hommes [...] presque tous disparurent durant la marche de la mort ou d'Ă©vacuation" 18 janvier Bombardements au-dessus du camp, certaines baraques sont en flammes î€șî€șî€șî€șî€șî€ș 19 janvier en quĂȘte d'un poĂȘle. Plus d'eau, plus d'Ă©lectricitĂ©, rien Ă  manger dĂ©couverte d'un poĂȘle et de pommes de terre. Premier geste humain les compagnons de la chambrĂ©e dĂ©cident de donner chacun une tranche de pain aux travailleurs Charles, Arthur et Primo. Par ce geste " nous avons cessĂ© d'ĂȘtre des HĂąftlinge prisonniers dĂ©portĂ©s pour apprendre Ă  redevenir des hommes" 20 janvier toujours en quĂȘte de nourriture, ils dĂ©couvrent des navets et des choux et malgrĂ© le gel, ils rĂ©ussissent Ă  en dĂ©tacher Ă  coup de pioche. Charles trouve mĂȘme du sel et un bidon de 50 litres d'eau. La Wehrmacht en fuite dĂ©file sur la route non loin du camp. 21 janvier L'Ă©tat de saletĂ© et d'immondices du camp 22 janvier RĂšglement de compte de quelques SS restĂ©s cachĂ©s au camp ils exĂ©cutent 18 Français. Pillage du bĂątiment des SS vodka, couvertures... 23 janvier dĂ©couverte d'une mine de pommes de terre Ă  l'extĂ©rieur du camp 24 janvier Un spectacle de morts et de dĂ©solation les entoure. ExpĂ©dition de la baraque 14, celle des opĂ©rĂ©s, ils investissent le camp des prisonniers anglais et ramĂšnent du lard, de la farine, de l' u-de-vie, ea des vĂȘtements... 25 janvier Somogyi est de plus en plus mal et il offre son pain Ă  ses compagnons... Longue agonie douloureuse " Jamais comme alors je n'ai compris combien la mort d'un homme est laborieuse." Avec Charles et Arthur, ils commencent Ă  reparler de la vie " Nous nous sentĂźmes redevenir des hommes" 26 janvier Somogyi est mort pendant la nuit. 27 janvier Charles et Arthur vont enterrer Sogomyi, quand les Russes arrivent le camp est enfin libĂ©rĂ©. DEBUT DE LA TREVEqu'Ă©crit en 1963, c'est-Ă -dire, 16 ans aprĂšs, est la suite rĂ©cit qui, bien chronologique de Si c'est un homme. Rappel fin de Si c'est un homme " Les Russe arrivĂšrent alors que Charles et moi Ă©tions en train de transporter Somogyi Ă  quelque distance de lĂ . Il Ă©tait trĂšs lĂ©ger. Nous renversĂąmes le brancard sur la neige grise. Charles ĂŽta son calot. Je regrettai de ne pas en avoir un. [...]" "La premiĂšre patrouille russe arriva en vue du camp vers midi, le 27 janvier 1945. Charles et moi la dĂ©couvrĂźmes avant les autres ; nous transportions Ă  la fosse commune le corps de Samogyi, le premier mort de notre chambrĂ©e. Nous renversĂąmes la civiĂšre sur la neige souillĂ©e, car la fosse commune Ă©tait pleine et l'on ne donnait pas d'autre sĂ©pulture Charles enleva son bonnet pour saluer les vivants et les morts." î€șQUELQUES INFOS SUR PRIMO LEVI ET SI C’EST UN HOMME » 3
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oscar et la dame rose résumé par chapitre