Celleci te permettra de prendre conscience des couches de déchets égotiques qui recouvrent ton véritable trésor et de les ôter un à un, petit à petit, à ton rythme, progressivement, étape par étape, afin de laisser apparaître tes qualités, tes forces et tes talents. Découvrant ta nature véritable, tu sauras mieux discriminer le vrai du faux, laisser aller ce qui ne te convient
Accueildu site > ENERGIE > APPRENDS A ECRIRE OU APPRENDS A T’TAIRE. APPRENDS A ECRIRE OU APPRENDS A T’TAIRE. mardi 16 mars 2010, par cha. Jeudi soir. T’avais un apéro, un diner en famille, une soirée ? Oublie. Annule tout ce que tu avais prévu et branche toi à 20h, sur radio campus 93.9 FM. Jeudi 18 mars à 20h, Maman à tort (l’émission contreculture dykes, PD, trans et tout
Ecouter de l’écrit et comprendreL’enseignant apprend progressivement à ses élèves à comprendre des textes lus de plus en plus longs et de plus en plus complexes avec des phrases plus longues et du vocabulaire plus précis et riche. Il lit des albums de jeunesse, des albums documentaires mais aussi des magazines de jeunesse comme par exemple Tralalire, Wakou.Vous aussi lisez-lui des histoires de plus en plus longues ou des magazine adaptés vous trouverez du choix et des conseils à la bibliothèque. Découvrir le rôle de l’écritLes élèves apprennent peu à peu au cours des années à quoi sert l’écrit, dans des situations où ils en ont besoin. Si par exemple les élèves ont exposé dans le musée de classe » des objets réalisés en pâte à modeler, l’enseignant peut leur proposer d’inviter une classe voisine à venir voir leur travail. Les enfants sont alors amenés à préparer une invitation écrite mais aussi des étiquettes avec des légendes pour chaque objet en pâte à modeler. S’ils veulent faire un gâteau roulé pour un anniversaire, il leur faut trouver la recette dans un livre de recettes. Les élèves peuvent également entamer une correspondance avec une autre classe autour d’un projet particulier ils doivent alors envoyer des courriers et donc en recevoir!, par la poste ou par vous envoyez ou recevez des cartes postales, montrez-les à votre enfant et dites-lui éventuellement ce qui y est écrit. Vous pouvez aussi lui montrer les livres que vous appréciez un roman, un livre de recettes, une bande dessinée, une revue en lui expliquant que lui aussi pourra les lire plus qu’on n’écrit pas comme on parle Avant de savoir écrire par lui-même, votre enfant comprend progressivement qu’on n’écrit pas comme on parle on ne parle ni comme dans une histoire, ni comme dans un courrier. Il apprend petit à petit, en dictant à l’enseignant les explications à écrire en bas de son dessin, un compte-rendu d’une sortie… que l’on doit améliorer, transformer sa phrase pour l’ le principe alphabétique » c’est-à-dire la relation entre les lettres et les sonsDécouvrir le principe alphabétique, c’est comprendre que les lettres correspondent à des sons qu’elles permettent d’écrire la lettre s » permet d’écrire le son [ ssssss ].A l’école maternelle, l’enseignant n’apprend pas aux élèves à lire. En revanche, quand l’enfant en est capable, l’enseignant l’encourage à faire des premiers essais d’écriture. Commencer à écrire tout seulApprendre à tracer les lettres En petite section, le graphisme » manière de tracer les traits permet aux enfants d’apprendre à maîtriser leurs gestes, à les guider par le regard et à se repérer dans la feuille. Encouragez ses premiers dessins et graphismes ! Fournissez à votre enfant du papier et des crayons, vous verrez qu’il sera prêt à se concentrer longtemps sur cette activité qui peut se faire facilement et n’importe où. S’il en a envie, offrez-lui à l’occasion un joli cahier de graphisme vous en trouverez en librairie.En moyenne et grande sections, l’enseignant propose des modèles plus variés et il montre précisément aux élèves les gestes qui préparent plus directement à l’écriture cursive ce qu’on appelle aussi les lettres attachées » ponts à l’endroit ∩ ou à l’envers U , vagues, boucles, enfants apprennent progressivement à tracer des graphismes de gauche à droite, et en avançant de manière régulière et alignée sur la feuille. L’enseignant insiste sur la tenue de l’enfant sur sa chaise, sur la manière de placer sa feuille sur la table et sur la tenue du crayon si l’élève a la main crispée, il aura du mal à obtenir des gestes précis.Quand l’élève copie des mots en lettres capitales lettres majuscules » ou bâtons », il apprend à veiller à l’ordre des lettres il apprend que si les lettres ne sont pas à la bonne place, on ne peut plus lire correctement le mot.Lorsque votre enfant maîtrise bien ses gestes, tient sans effort son crayon ou son feutre, parvient à reproduire des petits graphismes variés en respectant le modèle, de manière régulière, il peut commencer à écrire en lettres attachées » ou cursives. Cette écriture nécessite un entraînement pour apprendre à tracer chaque lettre, puis l’enchaînement de plusieurs lettres. Cet entraînement se fait avec l’enseignant qui veille au sens dans lequel la lettre est formée si l’élève écrit la lettre i de droite à gauche, il ne peut pas attacher directement la lettre suivante… Il s’entraîne notamment à écrire son prénom afin de savoir l’écrire sans enfants sont généralement capables de commencer à écrire des lettres cursives en grande section, plutôt dans la deuxième moitié de l’année scolaire. Quelquefois, certains enfants sont prêts plus tôt, mais quoi qu’il en soit l’apprentissage de l’ensemble des lettres cursives devra se poursuivre au à partir de la moyenne section et plus encore en grande section, ils apprennent à reconnaître les lettres dans les trois écritures lettres capitales bâtons », scriptes les minuscules imprimées et cursives attachées ». Ils peuvent s’y entraîner notamment en copiant des textes en lettres scriptes sur l’ordinateur ils doivent alors chercher la lettre capitale correspondante sur le clavier. Votre enfant veut écrire des lettres capitales ou cursives ? Faites lui un modèle. Il prendra plaisir à apprendre à écrire son prénom ainsi que ceux des membres de sa famille. Vous pouvez aussi l’encourager à faire un dessin pour les anniversaires de la famille et signer de son prénom, puis recopier bon anniversaire » quand il en sera capable. Cela doit toutefois toujours rester un plaisir !Essayer d’écrire un mot tout seulLes enfants apprennent progressivement, généralement à partir de la grande section, à trouver eux-mêmes comment écrire un mot en utilisant des “morceaux de mots” et des lettres qu’ils connaissent bien, par exemple à partir des prénoms de la étiquettes avec les prénoms des enfants sont donc beaucoup utilisées à l’école on apprend d’abord à les reconnaître, on les observe, puis on cherche si on retrouve les mêmes lettres dans certains prénoms, on remarque que deux prénoms finissent ou commencent par les mêmes lettres Fabrice et Fatoumata, Alice et la petite section, les élèves reconnaissent certains prénoms, en grande section, ils reconnaissent généralement tous les prénoms de la part, l’enseignant écrit régulièrement des mots au tableau ou sur des affiches les jours de la semaine, des noms de personnages d’histoires connues, des mots comme école, Noël, etc et les élèves observent puis apprennent à repérer ces mots. A partir de la moyenne section et en grande section principalement,Si le monde est si loin, à présent, de la poésie qui a toujours été si près du monde, c’est qu’elle est avant tout une école où l’on apprend Comme si écouter était naturel et ne s'apprenait pas. Alors qu'être écouté, être entendu, écouter et entendre sont des besoins fondamentaux sans lesquels aucune communication n'est est une compétence qui s'acquiert. Il existe d'ailleurs aujourd'hui de très nombreuses formations à l'écoute, qui sont spécifiques selon les situations très diverses d'écoute que l'on peut rencontrer. Écouter demande un savoir-faire, un travail, un entraînement, des relectures pour chercher à améliorer sa qualité d'attention en éliminant tous les éléments qui la parasitent. Écouter est exigeant, demande de l'attention et de la concentration. Plus encore que des techniques d'écoute, il y a à travailler son attitude d'écoutant. Être gentil et plein de bonne volonté ne suffit pas, même si c'est indispensable! Par une bonne écoute pourra naître une rencontre, et de cette rencontre un accompagnement et une annonce de notre foi. Savoir écouter est la condition incontournable de l'entretien pastoral pour la préparation de funérailles[1].Gardons également en mémoire que dans ce dialogue, pour la personne qui vient de perdre l'un de ses proches, les équipes funérailles représentent l'institution Église, qui veut être proche de ceux qui souffrent. Et comme le dit si bien Jean Vanier La première des compassions, c'est la compétence. »Quelques préalablesPour prêter une oreille la plus attentive possible, les équipes funérailles devront garder en mémoire plusieurs préalables, qui semblent certainement des évidences mais que nous devons toujours nous rappeler L’être humain est un être de relation. Il n’existe pas sans l’autre et sans un regard de l’autre sur lui-même. Il se construit d'ailleurs par sa relation à l’autre paroles, regards.L’être humain est incarné, dans un corps physique, avec un type de présence, une façon de bouger, une voix, une odeur, une consistance. Cette apparence a toujours un effet sur l'autre. Spontanément, à partir de ce que nous voyons, nous nous faisons une image mentale de la personne. Ceci est encore plus manifeste lorsque nous entendons une voix au téléphone. Inconsciemment, nous nous représentons mentalement notre interlocuteur et parfois nous sommes surpris lorsque nous constatons que cette image ne correspond pas du tout à la réalité. Notre perception de l'autre est donc toujours différente de ce que cet autre est vraiment. Nos sens peuvent nous tromper sur la personne. De même, notre propre corporalité parlera à notre interlocuteur avant même que nous n'ayons ouvert la humain est un être complexe, et seul Dieu peut saisir, en vérité, l'ensemble de ce qu'a été sa vie. En tout homme se mêlent le bien et le mal, des forces et des faiblesses, des qualités et des défauts. Dans un dialogue, nous ne présentons qu'une facette de nous-mêmes. Le sujet est toujours ailleurs que ce qu’il laisse percevoir de lui-même. Il a de multiples facettes et ne les montre pas toutes à la fois. C’est cette complexité et ce mouvement qui font que chacun est unique et qu’on ne peut rien posséder de l’autre. Aussi, dans l'entretien avec la famille, les équipes funérailles n'auront jamais qu'une facette de la vie du défunt. Elles auront à garder un certain recul et de la prudence sur ce point. Il peut arriver que le défunt, admiré par une partie de sa famille, soit honni de l'autre. Cette vigilance des équipes doit être d'autant plus grande si la famille est humain est guidé d’abord par son affectivité, son histoire, ce qu'il en a fait, les liens qu'il a tissés avec les autres. Cette affectivité passe avant la raison. Nos mots sont des véhicules d’émotions avant d’être des véhicules d’idées. Chacun parle pétri de ce qu’il ressent ou de ce qu’il ne veut pas ressentir, et cela est rarement conscient. Dans un contexte de funérailles, cette affectivité prend une place prédominante et toute humain est animé par des croyances pas seulement religieuses, qui sont la résultante de la culture dans laquelle il évolue, de son histoire, de sa personnalité etc. Il porte en lui toutes sortes de représentations de lui-même, de ce qu’il a été, de ce qu’il voudrait être, de ceux qu’il rencontre et de ce que ces rencontres lui renvoient, de ce qu’est le bonheur, l’amour, une institution, humain est un je mis en jeu. Une personnalité se construit tout au long de la vie. Chaque personne est un être en devenir, façonné par les expériences, heureuses et malheureuses, qu'elle traverse il est donc impossible d'enfermer une personne dans ce qu'elle est à un instant donné. Tout particulièrement si elle est en deuil. Les personnes telles que nous les rencontrons lors de l'entretien seront autres si nous les recroisons quelques semaines après...Une mise en confiance indispensable qui se fait de façon progressiveCertes, la façon avec laquelle les membres des équipes funérailles se présenteront sera déterminante. Ils pourront rappeler la mission d'accompagnement qui leur est confiée par l'Église et la confidentialité de l'entretien. Mais la confiance s'installera toujours de façon progressive, au fur et à mesure de la rencontre. Elle n'est jamais acquise, jamais gagnée une fois pour toutes et ne peut jamais s'imposer. La qualité d'écoute la souvent, à la fin de l'entretien avec les familles, lorsque cette confiance est établie, que les confidences se font Il faut que vous sachiez... », Il faut que l'on vous dise... » et que les secrets de famille » sont dévoilés... Ce sera alors un indicateur positif de la qualité de la lieux et conditions matérielles favorisant un bon dialogueLa rencontre avec la famille peut se faire aussi bien dans une salle paroissiale qu'au domicile de la famille. Quel que soit le lieu, il est important que les équipes funérailles veillent à ce que les conditions extérieures permettent une vraie rencontre. Elles seront attentives à la disposition et la chaleur de la pièce ni un lieu de passage, ni un lieu glacé, à son éclairage pas de néon agressif, à la discrétion, au calme et à l'intimité de la pièce ni le secrétariat, ni la salle de photocopies.Elles tiendront compte également de l'heure du rendez-vous. Celui-ci doit être suffisamment éloigné des temps de repas, sorties de classes ou autres contraintes pour qu'on ne soit pas obligé d'écourter précipitamment la attitudes physiques de l'écoutant un engagement de toute la personneÉcouter demande un engagement physique de toute la personne et nous ne pouvons écouter vraiment que si nous en prenons le avoir une attitude physique de disponibilité, il est avant tout nécessaire de s'installer confortablement retirer ses gants, son manteau car nous ne sommes pas là de passage..., de couper son téléphone portable, de bien se placer par rapport à son interlocuteur ni en face de lui, ni à côté de lui, mais plutôt de trois quarts, et de préparer de quoi prendre quelques notes avec la permission de la famille. Une écoute active implique également de rester concentré sur l'entretien sans être pour autant oppressant, et de ne pas se laisser distraire par ce qui se passe à l'extérieur passage dans la rue, mouvement, maison de la famille.Une posture calme, silencieuse, chaleureuse, ouverte est nécessaire. Nous écoutons d'abord avec notre corps, comme nous parlons d'abord avec notre corps 70% du langage passe par le non-verbal. Nous avons donc à être vigilants sur nos attitudes physiques qui pourraient parasiter notre qualité de présence signes de nervosité, jambes qui bougent, regards échangés, grimaces, froncements de sourcils, soupirs...Attitudes intérieures de l'écoutantPour Maurice Bellet, Écouter c’est se faire l’hôte de l’hôte qui vient. C'est l'hospitalité intérieure ». Se rendre disponible intérieurementL'écoutant doit donc avant tout faire abstraction de ses propres obstacles intérieurs urgences, préoccupations, sentiments négatifs, fatigue excessive, conviction de savoir ou d'avoir raison.... Il doit faire un vide en lui pour être totalement présent à son parti pris de bienveillanceUne attitude de non jugement, d'accueil de l'autre tel qu'il est, est primordiale pour permettre une rencontre en vérité. Écouter, c'est accepter de l'autre qu'il m'emmène dans son univers, dans sa vie, dans son histoire, et c'est accepter de la recevoir sans la de tous les préjugés possibles, l'écoutant doit être dans la neutralité, la bienveillance et le non-jugement. Tout peut être dit, tout peut être décentrement de soi-mêmeL'écoutant doit également se garder de reporter à sa propre expérience de vie ce qui lui est confié Pas de moi je »ou mes propres deuils »et donc exclure ses propres idées préconçues et ses tentatives d’interprétation ou de compréhension des certaine façon, il s'agit de perdre le sentiment de sa propre importance pour ne donner d'importance qu'à l'autre et voir en lui un être peut arriver que l'écoutant entende des paroles qui le choquent, qui réveillent en lui quelque chose de douloureux ou qui sont en opposition avec ses propres idées. Il peut le repérer, l'accueillir, et faire la distinction entre les idées de son interlocuteur, ce qu'elles provoquent en lui et qu'il refuse, et l'interlocuteur lui-même qu'il continuera d' doit être dans une compassion ajustée, dans l'empathie capacité de rentrer dans le cadre de référence de l'autre et de comprendre affectivement, émotionnellement les problématiques et les sentiments de l'autre tout en restant lui-même, authentique et bien écouter, il faut aussi être à l'aise et trouver du plaisir et de la joie dans cette rencontre. Les membres des équipes funérailles gagneront toujours à la confier à l'Esprit saint .Paroles, silences et dialoguesÉcouter, c'est d'abord se taire ! C'est laisser parler son interlocuteur sans l'interrompre, sans lui couper la parole, sans chercher à finir ses phrases. Cela rendrait l'interlocuteur passif et pourrait le faire déconnecter de sa la parole et le débit sont lents, si les mots se cherchent, c'est pour que les idées se frayent un chemin dans la pensée de celui qui parle, et que celle-ci s'affine. Nous pensons quatre fois plus vite que nous sera attentif aux silences, sans chercher à les interrompre, surtout lorsqu'ils sont longs. Il notera les mots ou idées qui sont répétés plusieurs fois ainsi que les sous-entendus. Il invitera son interlocuteur, par des questions ouvertes, à préciser sa pensée et essaiera de reformuler de façon fidèle ce qui a été dit, pour s'assurer d'avoir bien compris ce qu'il veut cours de l'entretien, il aura peut-être à réactualiser certaines représentations que les familles ont de Dieu, de l'Église, des funérailles. Il le fera en évitant les réponses toutes faites, doctrinales, théologiques ou plaquées. De préférence, il témoignera d'abord de sa propre foi avec ses mots à lui, dans la simplicité, comme un frère et non comme un l'émotion submerge la famille, il n'est pas forcement besoin de parler. Mais des paroles apaisantes peuvent aussi être les bienvenues Prenez le temps de trouver vos mots » ou je comprends », je vous écoute », je suis là », » j’entends, je vois votre émotion ».Et si la famille ne parle pas ?Il est courant d'entendre la difficulté que des équipes funérailles rencontrent lorsque les familles ne parlent pas. Pour certaines, effectivement, parler n'est ni spontané, ni facile, ni souhaité. D'autant plus lorsqu'il est blessé, le cœur peut être équipes hésitent alors à trop questionner la famille, de peur de rentrer dans une intimité qui veut être préservée. Mais dans le même temps, elles sont soucieuses de préparer la célébration et de la personnaliser. Mais si la famille ne le désire pas, il n'est pas absolument nécessaire de le proposer. Les équipes auront donc juste à veiller à ce que la liturgie des funérailles soit déployée avec beauté, sans y intégrer des éléments de la vie du conclusionUn écoutant veillera à être lui aussi écouté, en relisant en équipe les différents entretiens qu'il a eu à mener. Il sera attentif à repérer dans son écoute ce qui aura pour objectif de construire la célébration de ce qui aura pour but de permettre à la famille d'exprimer sa souffrance, de partager son questionnement, et de confier les évènements importants de sa vie. Enfin, il sera vigilant à éviter toute sorte de curiosité malsaine qui n'aurait comme objectif ni la préparation de la célébration, ni le mieux-être de la membres des équipes funérailles reliront ensemble les situations où le dialogue s'est avéré difficile, et n'hésiteront pas à envisager de participer aux formations à l'écoute qui existent dans leur diocèse. Celles-ci leur apporteront une grande aide, tant dans leur mission que sur le plan personnel."Entre ce que je pense, ce que je veux dire, ce que je crois dire, ce que je dis, ce que vous avez envie d'entendre, ce que vous croyez entendre, ce que vous entendez, ce que vous avez envie de comprendre, ce que vous croyez comprendre, ce que vous comprene... Il y a dix possibilités qu'on ait des difficultés à communiquer. Mais essayons quand même..."Bernard Werber L'Encyclopédie du savoir relatif et absolu, Le Livre de Poche[1] Cf Fiche n°4 L'entretien avec les familles ». Faisainsi taire l’insatisfaction et l’impatience qui te rongent, d’autant plus qu’autrui semble jouir de cette vie qui, peut-être, te fait encore cruellement défaut. Vois seulement l’amour qui parfois émerge en toi, vois les amitiés naissantes inespérées, vois les improbables rencontres avec toi et les autres. Apprends désormais à jouir de tes petites victoires, à ne plus Le SILENCE , Et si on parlait ? Ce grand oublié peut devenir un allié précieux pour nous aider à rentrer en nous – même, , mais aussi pour grandir dans l’écoute intérieure et l’attention aux autres. Un Sésame pour trouver la paix du coeur. Le silence est pratiquement éliminé de notre environnement, il en est même pourchassé…. Le vrai silence n’est pas mutisme mais ouverture. Il est vrai qu’il y a des silences nocifs qui sont à éviter, car il nous coupent de notre entourage en montant des murs de béton autour de nous. Le Mutisme est rempli d’amertume, de rancœur, de paroles intérieures agressives qui font beaucoup de bruit au -dedans. Ce silence là est destructeur et à éviter à tout prix si nous voulons pas démolir nos proches, mais également nous détruire nous – dedans ! » Je me suis souvent repenti d’avoir parlé, jamais de m’être tu ! » Le Silence permet de mieux écouter, c’est logique ! Or, l’écoute est toute cette partie de l’échange qu’il soit avec Dieu, ou avec les autres , à se centrer, sortir de soi pour se centrer sur l’autre et le laisser exister….Accepter de laisser parler l’autre et donc se taire soi – même, renoncer à envahir l’espace, à se justifier, à expliquer, à convaincre ou à répondre. C’est difficile a réaliser ; mais c’est un moyen radical pour grandir en disponibilité, en ouverture, en tolérance et développer un sage jugement personnel. Le silence est le milieu naturel où la vie de l’esprit peut s’épanouir. Sans un espace de silence intérieur, il n’y a pas de pensées possible. Ce n’est pas pour rien si le silence joue un rôle important dans diverses formes de prières. On pense ne pas savoir prier, c’est dans le fond sans importance, car Dieu entend nos soupirs, connait nos silences Le silence est le tout de la prière et Dieu nous parle dans un souffle de silence, il nous atteint dans cette part de solitude intérieure qu’aucun être humain ne peut combler. Enfin nous avons également besoin de silence pour admirer, contempler, et laisser entrer en nous, la beauté devant laquelle nous nous trouvons. Le silence nous donne la chance immense d’être en » communion Personnellement j’ai appris A garder le silence sur certaines choses qui n’est pas bon de jeter en pâture A garder le silence sur certains éléments pour les divulguer à un moment opportun et conserver la paix et de bonnes relations avec tous. A garder le silence face à certaines sollicitations qui ouvriraient sur des discussions houleuses. A garder le silence en face de celui qui s’exprime, le respecter et respecter les silences qui s’instaurent pour favoriser l’écoute et la En conclusion, ne rien dire est paradoxalement une forme de communication, peut-être la plus évoluée avec soi – même, avec l’autre…. Les anciens disaient » Une eau boueuse ne peut pas être clarifiée si elle ne cesse d’être agitée Mantran°1 pour dépasser sa peur de l’échec : L’échec n’est pas moral. Échouer ne fait pas de toi quelqu’un de bien ou de mal. Souviens-toi de ça quand tu considèreras ton prochain échec. Les gens qui n’échouent jamais (je te mets au défi de me les trouver) ne sont pas meilleurs ou moins bien que toi. Inversement, les gens
Qui n’a jamais utilisé de Nokia ? Marque phare du monde mobile dans les années 90-2000, le finlandais a mal négocié son virage vers les téléphones intelligents et l’a payé cher. En effet, suite au rachat de sa branche mobile par Microsoft en 2014, la marque préférée de bon nombre de français n’avait légalement plus le droit de fabriquer ou concevoir des smartphones à son effigie. Cependant, cette clause étant désormais expirée, le finlandais serait sur le point de revenir sur le marché des smartphones en lançant pas moins de quatre nouveaux terminaux… sous Android. Nokia pourrait lancer plusieurs terminaux sous Android avant la fin de l’année. En effet, des informations recueillies auprès d’un haut cadre de la marque en Chine suggèrent que Nokia pourrait redémarrer ses activités dès cette année, avec pas moins de quatre smartphones. Nokia n’a pas vraiment quitté le marché de la mobilité Ceux qui suivent assidument l’actualité high-tech savent que Nokia n’a jamais vraiment disparu du paysage des appareils électroniques en général, et des smartphones en particulier. En 2014, la marque en partenariat avec Foxconn, a proposé une tablette très bien reçue par le public, la Nokia N1. Elle se sentait un peu seule depuis mais cela devrait changer très prochainement. En effet, c’est Mike Wang, représentant de Nokia en Chine, qui lors d’une interview accordée à TalkAndroid, a mentionné l’imminence de l’officialisation d’une flotte de smartphones conçus et élaborés par les équipes de Nokia. Des terminaux qui devraient être annoncés dès la fin de cette année et commercialisés en début d’année prochaine. Cap sur Android ! Les smartphones dont il est question devraient tourner non plus sous Windows Phone Windows 10 Mobile comme ce fut le cas durant des années auparavant, mais plutôt sous Android. Le choix du constructeur est assez judicieux, puisque, combinée à la renommée de Nokia, la plateforme de Google pourrait rapidement lui permettre d’atteindre de nouveau les sommets, pour peu que ses smartphones apportent une réelle valeur ajoutée. Pour le moment, nous savons peu de choses au sujet de ces terminaux, si ce n’est que deux d’entre eux devraient être équipés d’écrans de 5,2 et de 5,5 pouces. Pas de détails supplémentaires sur leurs composants internes ni même sur les définitions de leurs dalles. Côté design, en revanche, il serait question de boitiers métalliques et de finitions soignées, avec un lecteur d’empreintes digitales en prime. Du moins pour ces deux modèles. Nokia devrait effectivement proposer des téléphones assez différents afin de toucher le public le plus large possible.
. 11 354 301 409 307 332 425 36